France

Ce décret Royal vaut sur toutes les lois écrites du Royaume de Poitou et de l'etat satellite Annaba.

Les forces armées présentes dans l'Etat d'Annaba ont pour ordre de faire appliquer ces lois à la lettre, et ce à partir de 1330.


Toutes les mosquées doivent être fermées et détruites sur le champ, ces lieux de culte maléfiques seront détruits et tous les biens confisquées et revendus ou fondus (or, argent ...).

Nous reconnaisont deux types de personnes dans ce royaume :

Les non-religieux, musulmans qui doivent travailler pour le conte des maires Chrétiens des communautés locales. Les maires doivent avec l'appui des forces armées, faire respecter la vraie foi, ils ont pour but d'évangéliser les habitants de leurs communes.

Les religieux, imams ou autres, qui doivent immédiatement être traqués et envoyés en galère. Ces personnes doivent être condamnés le plus durement possible pour leurs crimes contre notre foi.

N'obtiennent la citoyenneté que les hommes de confession Chrétienne Romaine.

Les marchands Chrétiens peuvent revendiquer les posessions et terres des autres marchands.

L'esclavagisme est applicable, il sera tenu pour chaque famille de livrer son 5eme enfant mâle aux autorités locales, afin qu'il soit envoyé au Royaume du Poitou.

Ces mesures sont sans aucun doute terribles pour ces populations, mais nécessaire à notre rétablissement économique et à la diffusion de notre foi.

[HJ : Ceci n'est qu'un jeu je vous prie, je dois jouer mon rôle de roi européen chrétien et ce bien que je condamne ces paroles et actes cruels et insensés. Merci de ne faire aucune remarque là dessus ! ]

La Papauté vous exprime ses compliments face à ces mesures qui sont, jusqu'à présent, les plus remarquables.

Paris, Capitale du royaume de France. Février 1369.
Le Roy de France, Charles XV L'illustre : Charles XV était très vieux et faible, très jeune il était devenu Duc de Poitou et puis s'était fait couronné Roy de France. Il avait réussi à unifier le royaume, et tous les Français vivaient entre eux. Il était aimé du Pape et luttait toujours pour le Chrétienté.

Le 22 Février 1369 avait eu lieu une réunion entre le Roy et ses conseillers, ainsi que quelques ducs et le fils du Roy, Jean Le Brave.

L'ordre du jour était clair, il venait de se passer trop de choses et la france devait réagir très vite pour ne pas sombrer.

Le rapport économique était désastreux, les comptes étaient en déficit, la monnaie inexistante, l'armée désagregée, et le peuple avait souffer dans le nord face aux Flandres.

La décision d'attaquer les Flandres avait fait l'unanimité, et tous voulaient voir ce royaume tomber.

La situation avait dégénérée pour le cas de l'Empire Celtique.

" L'Empereur est mon ami depuis l'enfance, nous avons tant luttés ensembles, et aujourd'hui il quitte le jargon Catholique pour être plus indépendant... Je ne comprend pas sa décision, malgré tout je ne peux attaquer cette nation amie..." Dit le Roy Charles.

" Père, cet infidèle ne respecte plus le dogme du Pape ! Il est un traitre, ce n'est plus l'ami que vous avez connu. Il doit être vaincu après les flandres ! " Répondit le Prince Jean.

" Seigneur, mon peuple a trop souffert des invasions musulmanes, et je ne pourrais lui demander d'endurer les efforts d'une nouvelle guerre. La France ne doit pas repartir en conflits ! " Répondit le Duc de toulouse.

" Hé bien ... Je sais... Je ne veux pas de cette guerre non plus. La Papauté, la religion, tout fout le camp j'ai l'impression. Plus rien ne va dans ce monde cruel. Je sais que mon pays est à genoux et... "

" Père, cela suffit, je ne veux plus entendre parler de la France comme d'une nation faible et détruite ! "

" Allons, calmez vous, mon bon Prince... " Répondit un vassal de Jean.

" Tu as raison Jean... Nous sommes dans une difficulté croissante, une pente interminable... Que proposes tu alors ? " Dit le Roy Charles.

" Détruisons les flandres en premier, puis nous devons nous unir avec les nations germaines pour nous reconstruire, et puis quand la situation le pourra, nous nous vengerons des celtes...Nous allons être le bras armé de la justice ! "

A ce moment, les Ducs étaient choqués, ils ne voulaient point d'une autre guerre. Mais ils ne pouvaient rien dire de plus dans cette réunion.

La suite tourna court, et aucune solution ne fut trouvée. La situation était tendue en France.

Extrait des "Chroniques du Royaume de France, Livre 2 'La Chute', par Josselin Beaumont

Paris, Capitale du royaume de France. Mars 1369.

La situation était encore plus tendue, maintenant que les Catholiques se liguaient contre le Pape, plus personne ne pouvait défendre cette religion décemment.

Les Français avaient peurs des musulmans, ils ne savaient pas comment faire si ils revenaient.. Et au nord tous craignaient une invasion des Celtes, même si ils avaient été leurs alliés.

C'était une époque de terreur constante, tous se fortifiaient, et tous se préparaient à un retour vers un système féodal. Ils avaient, dans une certaine mesure, raison...

Le 26 Mars 1369 - Paris - Chambre du Roy Charles XV

Le Roy était mourant. Il était sur son lit de mort, l'évêque et son fils à ses côtés. Son testamentaire arriva alors, pour recueillir ses dernières paroles.
Il s'adresse à son fils.

" Jean. Je ... La France est en danger. Tu sais ... quand j'aurais terminé ma vie ici, tu sera légitimement le nouveau Roy de France, et j'aurais aimé te placer dans une meilleure position... J'en suis vraiment désolé. Mais tu va devoir faire affaire à une grave difficulté, surtout pour défendre notre territoire... "

Le Roy essaya de donner quelques derniers conseils à son fils. Il aurait malheureusement du prévoir une garde plus rapprochée... Nous savons maintenant que Christophe Rocard était infiltré depuis 3 semaines à la Cour, mais jamais n'avait été soupçonné.

Vers 19h il faisait presque nuit, et les gardes étaient fatigués, c'est surement ça qui l'a incité à passer à l'acte à ce moment là. Christophe s'était infiltré dans la chambre du Roy, en tuant deux gardes froidement.

Ce fut un drame pour la France entière. Le meurtre de l'evêque, du testamentaire est d'un garde ne fût pas une grande peine, mais la perte de Jean l'était. Christophe avait tué tout le monde, sauf le Roy qui avait assisté impuissant à la scène. C'était incroyable, un quadruple homicide dans la chambre du Roy, sous ses yeux.

C'est en ce jour de peine que la France apprit la mort du Prince, et quelques jours après, du Roy. La famille royale n'avait point d'héritiers mâles encore vivants. Personne ne pouvait assurer la régence du royaume, c'était une crise incroyable.

Extrait des "Chroniques du Royaume de France, Livre 2 'La Chute', par Josselin Beaumont


Christophe Rocard : Un assassin expert qui est responsable de l'assassinat du Prince Jean le Brave. A participé à de nombreux mouvements anti-royaux. Capturé sur les lieux du crime, il passera de longs mois au cachot ou il sera torturé et ou il avouera être un agent de la Confrérie Noire. Il sera exécuté en Mars avec 3 de ses complices.

Confrérie Noire : Une guilde crée en 1350 qui avait pour mission de renverser le pouvoir royal, jugé trop faible. Cette guilde était soutenue secrètement par des barons locaux voulant plus de pouvoirs. Elle était impliquée dans la mort de Jean le Brave et d'autres membres royaux.
Elle fut découverte en 1369, par des monarchistes. Ses membres vont être massacrés, mais restera active jusqu'en 1375 malgré la chute de la monarchie.

Extrait du Lexique Français, par Josselin Beaumont