Cinquième Guerre d'Angleterre (1369-1411)

1369

En tout temps, cette région du monde ne fut jamais bien longtemps dans une période de répis. Alors que les vieux conflits suscitent encore hargne et rancune, la guerre fut à nouveau déclarée. Cette fois-ci, il s'agit de l'excommuniée Empire Celtique qui affrontera une Angleterre en faillite. Occasion parfaite pour les Anglais résidant en terres Celtes, qui vous vous en souviendrez, profitent de chaque occasion pour se rebeller. En début d'année, les forces Celtiques durent se retirer de leurs front actuel pour revenir combattre dans les îles Britanniques. En profitèrent alors les Anglais du Cumberland pour faire des leurs à nouveau, et sans répressions ou presque purent faire des gains importants.

1370

Retour presque complet des troupes Celtes, qui transitèrent d'abord par une Bretagne agitée par la situation religieuse, beaucoup plus préoccupante surtout à cause des nouvelles d'excommunion et d'incitation à la rébellion provenant des fidèles catholiques de l'autre côté de la frontière. En Irlande, la grogne monte aussi chez les catholiques, mais les combats majeurs se produisirent au Cumberland et dans le Dorset, lieu où débarquèrent les troupes Celtes.

1371

Rébellions Irlandaises isolées au Munster. Semblant de calme en Bretagne. Le sentiment nationaliste Celte comme à se dissoudre à toute vitesse dans plusieurs régions. La Cornouaille et tout l'Ouest de l'Angleterre est occupée par les Celtes, qui réussissent malgré la mobilisation phénoménale de la population à réprimer l'opposition. Conséquence directe, les gains se font très lents. Le Cumberland agit comme nation indépendante, et supporte désormais le front anglais par le biet de milices et de mercenaires.

1372

Les Irlandais profitent des autres soulèvements nationalistes et de la volonté populaire du refus de l'Anti-Pape comme il est communément désigné pour lancer des rébellions de grande envergure, à l'image de celles s'étant propagée dans le nord Anglais. Connaught et Munster est donc au coeur de mouvements de révoltes, et l'armée Celte actuellement occupée n'en fait que trop peu pour calmer la situation. Les troupes Celtes, en effet, furent surchargées cette année à maintenir leurs positions et améliorer ces dernières dans une Angleterre qui tombe en miette à force de rébellions incontrôlées. Le pire fut évité au Lancashire, contrairement au York qui est tombé aux mains des rebelles du Cumberland. Révoltes isolées en Bretagne.

1373

Mobilisation des Écossais de l'Ulster pour stopper les avancées des rebelles Irlandais au Leinster. Combats de milices très intenses dans le Mide. Le comté de Man se déclare indépendant. Le calme perdure en Galles alors que les forces Celtes l'imposent au Lancashire. Les Celtes assiègent Oxford et atteignent le Surrey, près de Londres, les rébellions rendant toujours les avancées Celtes lentes et pénibles. Les rebelles Anglais du Cumberland ne peuvent aller plus loin que le Northumberland à cause de la mobilisation Écossaise plus au nord, qui prend une ampleur insoupçonnée. Il est clair que le peuple Écossais est derrière son empereur, la même chose pourrait être dite des Gallois. Mouvements en Bretagne, surtout près de Nantes.

1374

Dublin est assiégée par des meutes de rebelles irlandais en provenance du sud rural. L'Irlande n'est toujours pas soutenue par les troupes Celtes, et c'est la seule mobilisation populaire qui empêche l'île de sombrer aux mains des Irlandais pro-catholiques facilement révoltable se trouvant au sud. Insurrection à Nantes. Londres est assiégée par les Écossais, malgré l'arrivée massive de milices d'aussi loin du Cumberland, mais en majeure partie du Norfolk comme du Suffolk. Rudes combats pour le Lancashire entre l'armée Celte et la population locale.

1375

Après Nantes, c'est Rennes et Brest qui deviennent des centres de rébellions, surtout à cause des nouvelles arrivant tout d'abord dans les villes plutôt que reculé en campagne. La mobilisation est faible en Bretagne, les habitants du maillon faible de l'union supporte l'Église de Rome de manière modérée. Dublin reste aux mains des Celtes, par contre Londres tombe, ce qui cause une commotion chez les Anglais. Le Kent suivra rapidement et les combats se déplacent au Suffolk. Les Celtes font définitivement du surplace au Lancashire. Rébellions isolées près de Bristol.

1376

Les troupes Celtes arrivent à temps en Bretagne pour éviter que la crise ne prenne plus d'ampleur. Ce n'est pas ce qui est arrivé en Irlande, où malgré que Dublin résiste toujours aux assaults répétés des rebelles, la région de Tyr dans l'Ulster tombe aux mains des rebelles. Les Celtes, après leur victoire facile et rapide sur le vaste territoire Anglais, affrontent un mur de rebelles au Suffolk, et pour l'instant leur victoire n'est pas assurée. Le Lancashire cède désormais peu à peu face aux Celtes, ce qui laisse craindre le pire au Cumberland.

1377

Dublin, toujours plus encerclée, résiste toujours, comme le fait la plus grande partie de l'Ulster. Des renforts en provenance de Galles ont permis en début d'année à Dublin de ne pas tomber hâtivement aux mains des rebelles Irlandais. Semblant de calme revenu en Bretagne. Les Celtes atteignent les limites du Cumberland, non seulement au Lancashire mais tout autant au York. Les combats majeurs éclateront là sous peu, assurément. Au Suffolk, la progression Celte est limitée, mais les rebelles Anglais ne pourront plus tenir bien longtemps. Pillages répétés à Londres.

1378

Arrivée très attendue de renforts Ibères en Bretagne. Profitant de l'instabilité de la région pour provoquer encore davantage de rébellions, le faible nombre de troupes Celtes fut insuffisant à contenir le flot ennemi. S'en sont suivies les chutes rapides de Nantes, Rennes et Brest. En Irlande, l'Ulster résiste toujours, tout comme Dublin malgré les années de guerre qui s'empilent. Combats intenses et nombreux sur le front que tient les Celtes au Cumberland. Le York est repris par les Celtes qui profitant d'un avantage momentané gagnent aussi le Suffolk.

1379

En un peu plus d'un an, la Bretagne fut occupée par des puissances étrangères et par la volonté de catholiques n'étant pas fidèles au dit Anti-Pape. La défense Celte, minimisée par la disposition de la majorité des troupes présentes dans une Angleterre à feu et à sang, n'a pu contrer l'ennemi cette fois-ci. Après cette défaite, les Celtes sont sur la voie de la victoire en Angleterre, alors qu'à l'ouest ils grugent les positions rebelles au Cumberland, le Norfolk tombe cette année. En Irlande, les combats diminuent d'intensité, et les Celtes en profitent pour améliorer leurs positions à Dublin et pour étendre la zone d'occupation de l'Ulster.

1380

Les forces d'occupations s'efforcèrent cette année à conserver leurs avantageuses positions en Bretagne suite à quelques ripostes Celtes mineures en début d'année. Dès l'an prochain, l'on craint un débarquement en Cornouaille, mais la logistique n'y est pas, donc les gains ennemis pourraient fort malheureusement se limiter à la Bretagne seule. Le Cumerbland fait désormais cavalier seul dans une Angleterre déchirée. La résistance opère toujours. Dublin n'est plus assiégée, et la menace Celte dans une Irlande fidèle en grande partie au pape de Rome se répand désormais au Connaught.

1381

Calme plat en Bretagne. Des problèmes de financement et d'approvisionnement limiteront comme prévu les avancées de nations autres dans l'Empire Celtique. En Angleterre, il y a des tendances aux révoltes dans le York, et près de Londres, mais aucune rébellion d'ampleur n'éclate. Dans toute l'Angleterre, la tension demeure à son paroxysme. Les rebelles du Cumberland ne peuvent résister bien longtemps face à l'armée Celte en entier, ils reculent sur tous les fronts. En Irlande, les fronts sont stables, les combats se maintiennent comme étant d'une très forte intensité.

1382

Les Celtes écrasent cette année un Cumberland qui était en pleine possession de ses moyens depuis près d'une douzaine d'année. L'Angleterre a été contrecarrée, pour le moment du moins, car la domination Celte risque fortement de ne pas être tolérée bien longtemps. Les combats sont toujours de forte ampleur en Irlande, surtout pour la prise du Connaught par les Celtes, car définitivement Dublin est hors de danger, et le Laigin tend à être dans la même situation.

1383

Vagues de rébellions en Angleterre à cause d'une famine causée par les événements des précédentes années. Insurrection contrôlée à Londres. Les Irlandais conservent le Connaught malgré les attaques ennemies, ne peuvent en faire davantage pour leurs positions au Leinster qui ne cessent de diminuer. En quatorze années de guerre, c'est la première période où les combats diminuent d'intensité. Débarquements prévus en Bretagne.

1384

Les rébellions qui avaient pris naissance l'an dernier en Angleterre furent sévèrement réprimée, et de beaucoup moindre ampleur se limitent désormais au Lancashire et sa région. La présence Celte sur le territoire Anglais est constante, car à la moindre occasion des actes de résistances sont posées. Stabilité du front en Irlande, renversement de la tendance au Laigin. Débarquement Celte près de Brest, qui n'est acceuilli ni par des troupes ennemies, ni par des milices alliées ou ennemies.

1385

Semblant de calme en Angleterre alors que les rébellions s'essouflent considérablement un peu partout. Cependant, si une telle situation persiste et que la menace d'une annexion subite fait son apparition, la population Anglaise risque d'à nouveau se mobiliser, donc la chose n'est pas gagnée d'avance pour les Celtes. En Irlande, les combats perdent d'intensité, mais demeurent constants. Avancées Irlandaises au Laigin, Dublin reste hors de portée. Siège de Brest.

1386

L'instabilité perdure dans une Angleterre sous occupation. Les forces Celtes sont alertes à chaque instant pour éviter toute nouvelle vague de révoltes qui pourrait être fort dommageable pour l'Empire Celtique. Les combats demeurent vifs en Irlande, où le Connaught est définitivement hors de danger mais où des renforts Celtes permettent de mettre un terme au changement de situation en faveur des Irlandais sur le front du Laigin. Lentes avancées Celtes en Bretagne.

1387

Retrait des troupes Andaloues de leurs maigres positions en Bretagne, s'en suit le siège de Rennes. Les avancées Celtes en Bretagne sont très lentes et effectuées par très peu de troupes, l'opposition recontrée étant mineure, le tout fonctionne. La tension diminue peu à peu en Cornouaille et dans le Dorset, jusqu'à Londres, après une autre année sans grande rebellion en Angleterre. Chez les Irlandais, le front demeure stable entre le Connaught et l'Ulster, tandis qu'au Laigin les forces Celtes atteignent pour la première fois en 18 ans de conflit la frontière du Munster.

1388

Débarquement Hollandais en fin d'année en terres Bretonne, bloquant par la même occasion le faible nombre de troupes Celtes s'afférant à récolter les territoires occupés. Le siège de Rennes est arrêté. Révoltes dans le Surrey et au Cumberland, après un relâchement de l'emprise Celte, conséquence des précédentes années qui avaient été généralement plus calme. Cela permis aux Celtes d'apporter un support à leurs troupes combattant en Irlande, qui purent reprendre le dessus au Connaught et maintenir leurs positions au Munster.

1389

Vingtième année de guerre. Renforts Celtes en Bretagne pour arrêter le raz-de-marée Hollandais qui a repris presque tout le terrain perdu par les forces Catholiques Romaines. Insurrection de taille à Londres, tandis que les mouvements au Cumberland se résorbent à cause d'une nouvelle vague de famine. La sécurité alimentaire de toute l'Angleterre laisse fortement à désirer. Pareil en Irlande, où cependant la mobilisation populaire restant forte permet de perpétuer la stabilisation des fronts meutriers des dernières années. Révoltes sur l'île de Man.

1390

Malgré les récents renforts, les Hollandais gardent le dessus et réoccupent finalement la Bretagne au complet. La présente année fut destinée à bien assimiler le territoire, et à éliminer toute probable tentative d'opposition au nouvel occupant. En Angleterre, la région de Londres demeure fortement instable, mais dans la fragilité alimentaire actuelle, les rébellions des deux précédentes années commence à avoir des répercussions là aussi. En Irlande, les rebelles locaux maintiennent l'ennemi à la limite du Connaught, et petite victoire, réussissent à les repousser du Munster.

1391

Débarquement Hollandais très attendu dans les Cournouailles et au Dorset, où la population en a profité, contrairement aux deux précédentes décennies, pour lancer des révoltes majeures contre l'autorité Celte, en majeur partie au Dorset car les Cornouailles demeurent favorables aux Celtes en général, partageant plusieurs repères communs. Calme ailleurs en Angleterre, les troupes décimées d'un Empire Celtique en banqueroute rendent très difficile la tâche de maintenir la cohésion dans leur occupation de l'Angleterre. En Irlande, les rebelles gagnent du terrain. Formation accélérée de milices pro-Celtes en Écosse.

1392

La riposte Celte à l'attaque Hollandaise se voulu faible, entre autre à cause de la cessation de paiements réduisant la taille des armées et du faible nombre de miliciens arrivés aussi au sud. Les Hollandais, occupant désormais une bonne portion de territoire, purent entâmer le siège de Bristol, alors que le sud de l'Angleterre, là aussi où les miliciens Celtes demeurent peu nombreux pour remplacer l'armée, les révoltes prolifèrent. Les Irlandaise réussissent enfin à prendre le dessus sur les deux fronts simultanément, en Ulster et au Laigin.

1393

Chute de Bristol, mobilisation Galloise en faveur de l'Empire Celte. Énième insurrection entre les murs de Londres, les révoltes se propagent au Suffolk mais les milices et mercenaires Celtes, accompagnées du reste de l'armée, maintiennent le calme dans l'endroit le plus sujet aux révoltes, le Cumberland. Les rebelles Irlandais n'auront jamais été aussi loin dans l'Ulster, leurs progressions demeurent cependant modestes au Laigin, où un nouveau siège de Dublin est tout sauf d'actualité.

1394

Voilà un quart de siècle que les remous d'une la séparation Celtique du reste de l'Église catholique romaine continue d'avoir des effets explosifs un peu partout sur son territoire. En premier lieu, la faillite Celte et la minimisation des troupes pouvant servir sa cause aura eu pour conséquence un fâcheux sacrifice alors que sur le front Irlandais les rebelles gagnent du terrain à vive allure. Face aux Gallois et autres milices, les avancées Hollandaises furent minimes cette année, concentrées principalement au Dorset. À l'est, au Kent, à Londres et au Suffolk, les Celtes sont chassés.

1395

Siège de Dublin et de Belfast. Fuite des colons Celtes en Irlande vers Man. Aucun renfort ne peut contenir les avancées ennemies sachant que la mobilisation dépasse déjà son maximum pour les fronts du sud. Les Celtes maintiennent les avancées Hollandaises au minimum, et ce aux dépends de la propagation des révoltes de l'est vers le centre de l'Angleterre. Les rébellions tendent aussi à gagner en force au Cumberland.

1396

Pour la première fois depuis le début de ce long conflit, l'Irlande et sa chute semblent inévitable. L'appareil défensif Celte peine à contenir les avancées hollandaises, qui se sont cependant arrêtées en fin d'année, une politique du maintient du front remplacant celle du gain, sachant que les Hollandais prévoient retirer une certaine part de leurs troupes du front. Près de Londres et vers le York, les rébellions sont hors de contrôle, contrairement à celles du Cumberland où l'emprise Celte demeure.

Voir suite page 2

Ne sous-estimer jamais les Anglais. Nous sommes très fort. J'encourage la population à prendre les armes. Femmes , enfants et hommes doivent se battre avec des roches s'il le faut. J'invite aussi les rebelles irlandais à nous aider. Si les irlandais nous aident, je leur donnerai leur indépendance. J'incite aussi les Anglais vivant en territoire celte à continuez leur travail. En ce moment je trouve que vous faîtes du très bon travail. Nous sommes la dernière ligne de front de la chrétienneté et nous devons prouvez que nous ne sommes pas des lâches. Dieu est de notre côté. Dieu nous sauvera et nous pardonnera nos pêchés. Vive l'Angleterre libre, vive sa majesté, vie le pape, vive Dieu et surtout la population Anglaise.

La population anglaise est par définition anglaise, depuis que Guillaume le Conquérant à conquit ses terres, le peuple anglais et radicalement opposé au celtes qu'il considère comme des barbares violents. Il n'est pas étonnant que la population va opposé une vive résistance. D'autant plus que cette dernière à dus se sentir trahis ce qui ne fait que renaitre plus fort la haine passée...

Le courage des hommes peut par fois être plus fort que la plus forte des armées.

Aucune armée ne peut vaincre un peuple, c'est un fait, mais l'armée peut faire peur au peuple, le forcer à se plier aux ordres...

Mais le souverain celte ne pourra résister, car j'unirai mes forces avec la population et nous nous révolterons. La population Anglais et Celte veut rester chrétienne à jamais et nous vaincrons donc cette hérétique qui nous a tous trahi alors que nous comptions sur lui. Mort au souverain Celte.

Une simple lance de soldats conquerants comme les soldats de l'armées celte pourrai percés 10 coeurs civil armés de bâtons de bois! c'est une poigner de paysant pas une armée, ne l'oubliez pas!

Le roi anglais voudrait adresser se message à la population celte: Bonjour cher cousins celtes, moi, le souverain anglais aimerais que vous vous révoltiez. Pourquoi; parce que votre empereur est un fou. Il a détruire votre réputation, il a détruit votre unité national, et a détruit votre religion. Vous pouvez dire que vous avez maintenant un nouveau pape, mais celui en qui vous croyiez ne peut pu croire en vous à cause de votre empereur. Votre empereur à plonger l'empire celte dans le chaos en donnant au pays un cadeau: une excommunion. Alors je vous invite à vous révolter contre votre empereur. Nous devons libérer l'Angleterre et l'empire celte de votre empereur. Et ainsi peut-être que vous pourrez retrouver votre religion, vos habitudes de vie et bien sûr votre pays. J'aimerais toutefois remercier les différentes populations qui se sont révoltés, car nous avions besoin de beaucoup d'aide. Pour les autres n'ayez pas peur de vous battre, votre bravour vous sera surment récompenser par le pardon de tous vos pêchés.
Alors merci encore.

Du Souverain Anglais

Message au Anglais: Je suis très heureux de voir la mobilisation nationnal dont le pays fait preuve et j'invite tout le monde à continuer. Nous gagnerons, car nous avons foi. Alors je ne vous demande que de vous battre pour 10 ans, car dans dix ans l'empire celte sera en faillite, alors nous avons déjà tenu trois ans et c'est donc à nous de tenir dix ans pour gagner et nous gagnerons. Alors bonne chance à tous et n'oubliez pas que vos pêchés seront pardonnés.

De la part de votre cher souverain

Quand arriveront les renforts d'Andalousie? Moi et mon gouvernement sommes impatient.

Ils devraient arriver sous peu. Dès cette année en fait.

Alors nous combattrons jusqu'au dernier paysant.

Je crois savoir qu'une partie des troupes andalouses se trouvent aux côtés des anglais. Dans la confusion, après la prise de pouvoir musulmane à Séville, lesdites troupes se retirent du combat anglais et reviennent au pays.

Les musulmans ont le contrôle de l'Andalousie à présent ???

La conversion du suzerain n'implique pas que la population suivra cette voie, loin de là comme dans toute conversion hâtive et précipitée comme celle-ci.

Sans parler que la majorité Catholique d'Andalousie s'est déjà mobilisée contre l'Islam, et ne fera pas d'histoires à le refaire.

Je vous préviens cependant, aller aider l'Andalousie à taire ces révoltes pourrait, j'ai bien dit pourrait, être considéré comme briser la trève signée entre les Catholiques et les Musulmans, sachant que l'Andalousie peut être davantage considérée comme un état catholique rebelle qu'un état musulman en tant que tel pas les autorités Catholiques et la plupart des suzerains Européens signataires de la trève.

Bien entendu ce qui concerne les affaires andalouses ne concerne que l'Andalousie, aucuns peuples musulmans ou chrétiens ne doit s'en meller

La Hollande déclare la guerre à l'Empire Celtique et dirige ses troupes vers la Bretagne pour sécuriser les positions actuelles.

Les anglais et moi même attendons toujours la réponse de la norvège et l'invitons à faire un débarquement directement sur les côtes anglaises.

Vous êtes mort empire celte nous vous tuerons.

Empire Celte vous allez mourir.

1397

Chute de Dublin, l'Irlande est perdue. Les Celtes profitent du retrait d'une part des troupes Hollandaises pour lancer un assault sur Bristol, qui échoua. Les rébellions Anglaises atteignent, au sud, les zones d'occupation Hollandaises, approvisionnements et supports se fondent pour une efficacité maximale. Les rébellions se propagent au York, les Celtes maintiennent leurs emprise sur l'est Anglais alors que l'ouest devient de plus en plus hors de portée. Les difficultés financières Celtes commencent à peser sur leur appareil défensif, mais certains de leur bastion, la Galles entre autre, leur assure une bonne présence continue au sud des territoires Écossais.

1398

Les Hollandais et les rebelles Anglais, dont la ferveur de plusieurs commence à ralentir, font front commun pour déloger les Écossais d'Angleterre. Alors qu'une farouche opposition est rencontrée dans une Galles vivement défendue, les défenses Celtes flanchèrent au Lancashire, et les troupes Anglo-Hollandaises se propagèrent plus au nord, au Cumberland, où les combats demeurent omniprésents.

1399

Trentième année de guerre. Rares sont les conflits qui s'éternisent si longtemps, il est clair que la volonté religieuse y fut pour beaucoup dans l'étirement en longueur du temps que dure cette guerre. La frontière Anglo-Celte se font en un seul front opposant rebelles à milicens. Les combats y sont vigoureux, personne ne fait de claire percée. Au Cumberland, les Écossais reculent inexorablement, et pour la première fois du conflit le territoire national Écossais pourrait être à court terme menacé, ce qui réhausse la mobilisation du peuple de cette contré.

1400

Difficile de croire lors de son éclosion que ce conflit traverserait les siècles. L'Angleterre libérée sort de sa situation de faillite malgré les faibles apports en revenus des dernières années, et peut dès lors mobiliser une armée face aux Celtes toujours en cessation de paiements. L'étau se resserre sur la Galles, qui dois pour maintenir ses positions faire quelques sacrifices. Stabilisation des gains au Cumberland.

1401

La défense Galloise aura été honorable, mais elle ne put résister longtemps face aux armées Anglaises et Hollandaises, sans parler des rebelles Anglais toujours de la bataille. Des combats majeurs se déclenchent aussi en Écosse, où un certain endoctrinement de l'Église d'Édimbourg semble avoir accru considérablement la mobilisation populaire. Les Écossais semblent dotés d'une ferveur sans égal face à leur Église et leur nation, et alors que les combats se concentreront là dans les années à venir, il en sera fait preuve.

1402

Occupation de la Galles, après plus de trente ans de résistance de la part de la petite région profondément Celte. Cette guerre, particulière par le nombre de ses fronts tout au long de se déroulement, deviendra plus concise, les troupes Anglaises et alliées se concentrant sur l'Écosse elle-même, tout en devant conserver une présence à bien des endroits où des rébellions Celtes pourraient surgir, entre autre en Galles conquise.

1403

Tant d'année de guerre commence à peser sur la mobilisation, sur la sécurité alimentaire et économique. Malgré tout, cela n'aura pas empêché les forces Anglaises de buter face à une farouche résistance de la part des milices et divers troupes Celtes. Un nombre certain de convertis Irlandais se sont aussi installés dans le sud Écossais, au sud de la capitale, et participent activement aux combats pour la défense du coeur d'un empire meurtri.

1404

Trente-cinquième année de guerre. Il était inévitable qu'une armée pleinement mobilisée assistée de renforts ne finisse pas prendre le dessus sur une population quelque peu excédée face aux événements qui auront laissé leur marque sur plusieurs générations désormais. Les sièges d'Édimbourg et de Galsgow furent simultanément entâmés cette année, alors que plusieurs Écossais résignés à combattre fuient vers le nord, espérant échapper aux persécutions.

1405

Chute de Glasgow, Édimbourg tient le coup malgré la baisse significative du nombre de miliciens et la hausse massive du nombre d'ennemis, alors que plusieurs soldats Danois et Français risquent d'atteindre le front dans les mois à venir. Plus au nord, dans les régions rurales Écossaises, une nouvelle ligne de défense se constitue pour contenir le flot ennemi qui découlera de la prise imminente d'Édimbourg.

1406

Les renforts promis pour cette année ont, comme prévu, déferlé tel un raz-de-marée dans les terres rurales et montagneuses du nord de l'Écosse où tous étaient préparés à leur défense. Alors que dans les Highlands, l'avantage du terrain et de la mobilisation populaire réussit jusqu'à présent à vaincre la supériorité numérique, à l'est, les troupes Catholiques ravagent les territoires rapidement vaincus. Vent de panique parmi les dernières possessions Celtes.

1407

Les derniers combats se passent désormais dans les îles Hybrides, où les derniers vents de résistance sont encore de la partie. Sinon, ailleurs dans l'Empire Celtique, l'hérésie est éradiquée, tandis que les nombreuses forces d'occupations assurent que le calme sera maintenu. Cependant, en fin d'année, une surprise vint troubler la victoire des Catholiques alors que les troupes Portugaises débarquèrent dans le Kent avec comme objectif la prise de Londres aux Catholiques.

1408

Répressions dans les îles Hybrides. L'apathie gagne une Écosse éprouvée par quarante années de guerre, dont la moitié fut supportée par la seule mobilisation populaire. Si un once d'espoir subsiste, il se trouve à Londres, où les troupes Portugaises toutes débarquées repoussent actuellement les forces Catholiques appelées en renfort dans le sud pour déloger les alliés des Celtes déchus. Sinon, le Portugal ne se voit opposer que les troupes chargés de la stabilisation de la région, car la population ne fait pas des siennes.

1409

Alors que les Portugais, après leur courte victoire à Londres et dans le Kent s'afféraient à propager leur occupation au Suffolk, la concentration de nombreuses troupes Catholiques dans le sud-Est anglais avec l'unique but de déloger les Portugais d'Angleterre mis un frein assez rapidement aux ambitions de ces derniers. Sur le front, la vapeur se renverse et l'infériorité numérique des Portugais dans ce territoire qui leur est climatiquement peu favorable commence à devenir une réalité.

1410

Les Portugais sont rapidement repoussés du Suffolk et doivent tout autant de retirer du Kent, se repliant à une Londres désormais assiégée de toute part. Les quinze milliers de soldats restant n'ont plus eut de nouvelles du Royaume cette année, et ce qui élève le climat de tension au sein des troupes, mais ce qui dérange le plus, c'est bien évidemment les dizaines de millier de soldats et milices ennemies qui s'affèrent à les déloger d'Angleterre.

1411

Les Portugais purent, malgré un manque d'approvisionnement croissant, offrir une longue résistance aux forces ennemies, elles aussi exténuées. Cependant, après 42 longues années de guerre, il fut inévitable que les troupes Portugaises finiraient par flancher face à un ennemi dont les avantages sont multiples. Londres fut donc prise aux Portugais, dont l'armée, désormais isolée au coeur des terres Anglaises, fut forcément dissoute alors que les nouvelles du Royaume Portugais, il n'y en avait plus du tout.

Je lance mon armée contre celle des celtes. Maintenant que je ne suis plus en cessation de paiement je vais vous détruire empire celte.