Cher Souverain.
Nos deux nations sont voisines depuis longtemps, mais ne se parlent pour ainsi que trop peu. Le Souverain Jobst de Morabie, déjà bien agée, souhaitera voir ces différents entre nos deux nations dépassées, et son fils épouser votre Auguste Fille, afin de lié plus fermément nos deux nations.
Nous devons là constaté que chacun d'entre nous avons une nature et une culture Germanique clairement affirmée, et que nous souhaitons voir réussir nos deux nations dans un interêt d'émulation et d'agrandissement de notre prestige national de manière certaine.
Il est sûr, et affirmé, qu'indépendament l'une de l'autres, nos familles royales sont faibles et ne peuvent voir leur prestige croitre. Une union entre nos deux familles ferra assurément de nous une nation au prestige reconnue.
Si de plus, elle est déclarée devant Dieu et devant les hommes, par sa Sainteté le Pape Grégoire XII, il nous semble ainsi voir dans cette possibilité une option non negligeable.
Concernant la dot de votre Fille, il nous semble peu courtois de notre part de vous la réclamer, alors que notre neveu demande sa main. Aussi preferons-nous sacré tout simplement cette union à titre d'Union Personnelle, entre la Poméranie et le Duché de Brandebourg.
Je vous prie d'agréer, votre majesté, de mes
salutations les plus amicales et les plus sincères.
Messire Sigismond De Luxembourg, pour son cousin,
Messire Jobst de Morabie, Margrave de Brandebourg.