Découlant évidemment des révoltes grecques, cette guerre est en fait la mise en action du jeu des alliances. Pour la cause, la description de bataille sera divisée pour chacun des front. Il me faut aussi mentionner que cette guerre inclue tout aussi les révoltes Grecques, les révoltes du Cherson et les révoltes du Karzma que la guerre contre les Germains, Alémaniques et leurs alliés.
Front Nord (Pologne-Hongrie-Croatie)Les troupes pomméraniennes, lituanienne et prusienne, un contingent entièrement païen, a pu mettre en déroute les troupes postés au nord de la Pologne. Le 1/3 ouest de ce même pays est occupé à l'est par les Germains. La capitale, Cracovie, se prépare à subir un siège.
Les Sudètes Bohémiennes ont été rapidement occupés par les nombreuses troupes germanique, qui ont ainsi pu encercler Prague, laissant à plus tard l'occupation de la Grande Moravie.
Moins d'action en Hongrie ou un unique front subsiste, front qui, face à l'écrasante quantité de troupes germanique, se du de reculer, à la hauteur de la frontière Croate. Buda, la capitale, reste trop mal défendue pour résister à un siège pourtant imminent.
Les faibles aides envoyer pour la protection du front croate n'ont pas été suffisant, les croates ont été litéralement anéantis, leur pays occupé, et les Germains tiennent maintenant un front avec les Serbes
Front Italien (Naples)Les troupes germaniques postés là, en quantité impressionante, n'ont eu que faire des faibles troupes Napolitaine proportionellement ridicule. La ville de Naples est assiégée et le front est rendu dans les environ de Tarante, on craint un débarquement en Grèce.
Front GrecAvance des rebels Grecs dans la vallée de Philipopolis, ils pourront meme apporter leur aide aux serbes si possible. Byzance est occupée par les rebels. Aidés des grecs de Valachie, traversant la frontière Valache par milliers, la thrace a pu être occupé.
Les Hélléniques tiennent difficilement le meme front que l'an dernier face aux Alémanique, controlant bien leur région.
Front de l'EstToujours difficile pour les grecques de garder leur pied en Crimée. Ca va bien au Karzma qui résiste aux attaques, maintenant aidé par les rebels Géorgiens, pro-grec.
Les Arméniens n'ont toujours pas pu organier de rébellion structurée. La situation explosive dans la région a bien évidemment tenté le géant et tentaculaire Almoravide-Fatimide, régant arabe et musulman, qui dès le début de cette année a envoyer ses troupes occupé l'Arménie mineure.
Les Almoravides-Fatimides se joignent alors indirectement aux Germains.
Carte de la situation en l'an 946
947
La situation est désastreuse en Pologne. Cracovie est encerclée et assiégée, et est le seul morceau de territoire encore sous contrôle Polonais. Prague est prise et la Moravie aussi, donc la Bohême est conséquemment entièrement sous contrôle Germanique.
La capitale hongroise est assiégée, et les germains ont franchis le Danube, laissant mal auguré la suite des événements. Des milliers de Polonais, de Hongrois et de Bohémiens fuient les Germains en direction de la Valachie.
La Croatie occupée, la Serbie ne résista pas longtemps à l'assault, occupée à son tour. Les forces germaniques peuvent donc conséquemment appuyer les forces alémaniques directement, ayant désormais une frontière commune en Albanie.
Naples a été prise. Débarquement Germains au Dyrrachion, et occupation de cette région. Le roi de Naples fuit vers Athènes, seule région encore sous contrôle Napolitain.
Prise de la vallée de Philipopolis par les rebels grecs, qui doivent cependant reculer face à l'affut incomptable de troupes germaniques en Macédoine. Cependant, prise de Smyrne et de Izmir, occupation de la côte Pontique Oues. Le territoire de la confédération Héllénique est désormais occupé par les Almoravides-Fatimides, qui prévoient un débarquement à Crête.
Les rébellion du Karzma s'éssouflent et celle du Cherson sont stables. Cependant, la situation se maintien, grâce aux juifs orthodoxes en rébellions contre le roi pro-catholique. Ils ont seulement pu aider le Karzma, trop peu nombreux pour prendre un territoire a eux seul.
La rumeur dit que des chevaliers de l'enfer auraient été vu dans les lointaines terre désertiques et paiennes du Khazar. Ceux-ci tueraient et pilleraient sur leur passage. Ils seraient les fameux
Coumans.Carte de la situation en 947
948Au grand déboire des anti-germaniques, Cracovie, dernier chateau-fort polonais, est tombé, entrainant avec elle des milliers de paysans ayant pris les armes pour contrer la menace Germanique.
Prise de Buda, la capitale Hongroise. Le roi fuit vers les Carpates, chaines de montagne frontalière avec la Valachie, où se situe actuellemment le front. L'érosion des troupes germaniques est à ce temps trop peu importante pour pouvoir jouer dans le processus d'occupation
Les troupes Germaniques ont massivement foncer dans la vallée de Philippopolis. Athène est assiégée, la confédération Héllénique occupée, et la Krête subit des débarquements.
Ca va mieux en Gérogie et au Karzma, ou le front se stabilise. Des pays jusqu'à présent neutre voient leur peuple, devant l'effondrement des pays voisins, se révolter en faveur d'une guerre contre la Germanie. Ces soulèvement, encore de faible amplitude et peu important ont été vu en Valachie et dans le Nord Francs, plus précisément dans l'ex-Lotharingie.
Les coumans auraient frapper et piller la vallée de la Volga sur des centaines de kilomètre, mais les informations à ce sujet demeurent éparses et peu précise.
949Occupation complète de la Hongrie et de la vallée de Philippopolis. En Anatolie, seule Byzance demeure Pro-Grecque (ainsi que la Thrace Européenne et la Gérogie). Le Cherson est occupé totalement par les Khazars et le Karzma devient de plus en plus vulnérable.
La rébellion se prépare en Valachie. Tout l'ouest du pays, composé de paysan révoltés, combattent désormais l'est du pays, ou l'armée de Valachie est positionnée. Chez les Francs, les rébellions s'accentuent dans les régions frontalières et affrontent peu de résistance, les troupes franques étant positionnées sur la frontière Espagnole.
Les Coumans déferleraient dans le centre de l'Empire Khazar, mais sachant qu'aucune ville juive a été touchée, ce ne reste que rumeurs.
La confédération Almoravide-Fatimide lance un ultimatum à la Germanie. Si celle-ci refuse de concéder tout le territoire Anatolien aux arabes, les Almoravide-Fatimide changeraient de camp.
Les Anglais prépareraient un débarquement dans le Hannovre.
950Guerre civile en Valachie. Les Anti-Germanique ont l'appui des grecs du sud, et ainsi consolident leur avance dans cette région. Les rébellions sont étouffées chez les Francs.
Prise de Byzance et de la Thrace, attaque réussie contre la Géorgie, les rébellins grecques sont presque anéantis. Le Karzma est lui aussi en déroute.
Les Coumans seraient arrivés au Itil, et revendiquent toute la vallée de la Volga et le territoire Kiptchaks (D'autres coumans arrivés plus tôt, il y a 40-50 ans...).
Débarquement victorieux à Hambourg, les Anglais réussisent à prendre possession de la Saxe du Nord. Des contingent germaniques sont toutefois en route pour chasser ces intrus de leur territoire.
951Défaite des rebels géorgien et quasi-anéantissement de ceux du Karzma. Victoire Germanique sur les attaquant anglais, dans le nord de la Saxe. Un débarquement en Angleterre est à l'étude.
Fin de la guerre civile de Valachie sur l'indépendance d'un nouveau pays anti-germanique, la Bulgarie, pays qui a vu rapidement ses frontières rétrécir dès qu'il s'eu prononcer sur ses opinions face à la Germanie.
Les Coumans lancent un ultimatum à Moldau et à Chuvash, ci ceux-ci refusent de s'intégrés à son empire il leur déclarera la guerre.
952Occupation complète de la Bulgarie. Débarquement germanique victorieux en Angleterre; prise de Londres. Les Coumans cessent leur avancée pour regénérer leurs troupes.
953Occupation de l'Angleterre, seule l'Irlande Anglaise demeure sous contrôle anti-germain.
954Fin de la guerre avec l'occupation de l'Irlande. Après le démantèlement de l'Empire Romain, cette guerre d'une durée de 8 ans a été la guerre avec le plus d'ampleur. Ce qu'elle entrainera comme conséquence ne peut être estimé tellement l'histoire a été fondalementalement modifiée.