1049Les tensions avec les païen ont atteint leur comble en cet an de grâce 1049. Les paiens des défunts Moldau et Pechenegs mènent le combat, secondés par les juifs, paiens, et musulmans du Khanat Khazar, désirant retrouver une autonomie politique et non une hégémonie orthodoxe.
Les troupes nord-byzantines, postée en Moldavie, ont eu peine à partir avec les nombreuses attaques dont elles furent localement victime. Presque tous les paysans de la région ont pris les armes, et l'anarchie reigne un peu partout. Incapable de combattre dans de telles conditions, les soldats nord-byzantins ont du se réfugier à plusieurs reprise en Olvia. La situation est vraisemblablement plus explosive que prévue. En Crimée, les troupes ont réussi à maintenir le calme malgré les tensions, comme elle l'ont fait dans les anciennes terres Khazares. On soupconne toutefois les divers communauté ethnoreligieuses locales de planifier moult attaques.
1050Difficile de faire état de la situation. Partout à travers le Nord de l'Empire Byzantin du nord différentes zones d'occupations évoluant en n'importe quel sens de semaine en semaine rend difficile de faire état de la situation. La seule chose qui est possible dans l'anarchie actuelle de dire est que personne ne semble actuellement prendre le dessus. Les juifs et les musulmans lancent des embuscades secrètent pour éviter que les troupes stationnées localement ne se lancent dans des combats constants.
1051Les zones d'occupation se clarifient. En Moldavie, les troupes barbares agissent avec une violence étonnante, ce qui rend difficile de contenir ceux-ci à la seule Moldavie. La Crimée est préservée de tout combat, tout comme l'est la Géorgie. Par contre, l'Astrakhan s'est transformée en véritable poudrière. Des combats éclatent à différents endroits dans cette région, et s'éclipse aussitôt. Ce n'est pas une guerre au sens strict du terme dans cette région, les troupes rebelles posant des embuches sur le chemin des troupes byzantines plutot que d'attaquer directement.
1052Explosion de la poudrière Byzantine. L'affut de réfugiés grecs fuyant le génocide causa bien des dommages en Géorgie. Les Géorgiens, voyant d'un mauvais oeil l'arrivée des centaines de milliers de Grecs, se sont révoltés contre l'inaction de leur gouvernement pour contrer le génocide. Mais, ils se révoltent surtout pour ne pas à avoir à acceuillir ces grecs, qu'ils jugent avec certain racisme et préjugés. Les terres paiennes de la Mer Noire sont coupées du monde par les sanglants combats. La mer d'Azov tourne au rouge sang avec le début des combats en Astrakhan. Pour l'instant constituée d'enclaves, la zone d'occupation s'homogénisera dans les années à venir.
1053L'Anarchie reigne dans l'Empire Byzantin du Nord (Sauf pour la Crimée et la région d'Azov). Différentes zones d'occupations rendent la situation incontrôlable, même la Géorgie étant en état de crise. La situation demeure la même en Moldavie, tandis que l'intensité des combats s'accroit en Astrakhan. Plusieurs milliers de Juifs fuient vers l'Itil. Les tensions inter-ethniques sont très loin de s'appaiser. L'on croit même que les guerres paiennes en Moldavie s'étendront en Basse-Galicie.
1054Les Byzantins, après avoir perdu le contrôle sur la Moldavie, perdent le contrôle sur l'Astrakhan. La situation explosive en Moldavie au début de cette guerre s'est transposée en Astrakhan, et même voire en Géorgie. En Moldavie, toutefois, la puissance des troupes byzantines en aura eu raison des convictions paiennes. Les avances ont recommencer, et les Byzantins traversent en ce moment le Dnierp.
1055La situation redevenue favorable pour les Byzantins en Moldavie se déteriore de nouveau de façon abrupte. L'on constate même un certain recul en Olvia, ou les soldats Byzantins, repoussés sur la frontière Olvienne, ne peuvent agir effiacement sans l'accord du gouvernement d'Olvia. (Accord devenant inutile sachant que les Byzantins sont chassés de la région) La situation se calme d'elle-même en Géorgie. Situation moins reluisante en Astrakhan, ou les relations avec les Byzantins sont complètement coupées jusqu'au Karzma, même voire jusqu'en Azov. Ceci est une preuve de la violence, de la densité et de la virulence des combats en Astrakhan.
1056Les combats continuent partout, toujours aussi anarchiques et désordonnés. Pour vous aider à y voir plus clair, voici une carte la plus récente possible des zones d'occupations.
1057Ce qui n'aidera pas la tâche des byzantins dans les années à venir, c'est l'arrivée des barbares portant le nom d'Oghouzes, qui risquent fort malheureusement d'empirer la situation. Ils ne sont pas arrivés que déja tous va trop mal pour les Byzantins du Nord. Le Caucase et l'Astrakhan sont complètement hors de contrôle, sans parler de la Moldavie. Plusieurs nations non-reconnues font secession dans le Caucase. Des villes telles Trabzon et Chaldea sont même assiégée, et l'on craint même pour Azov et la Crimée...
1058Perte de contrôle des Byzantins de leur territoire audelà d'Azov. Toute la Géorgie, les terres de Trabzon et de Chaldea, sont occupées par les divers mouvement rebels. La Crimée est menacée. Les troupes nord-byzantines ont du reculé en Moldavie, donnant au rebels le paroxysme de leur occupation territoriale. L'empereur, face à la menace qui pèse sur la Crimée, a du revenir à Byzance, pour sa sécurité.
1059Azov est assiégée. Des mouvements miliciens pro-byzantins émergent en géorgie occupée, mais ces mouvements en sont encore à leurs premiers balbutiements. La Crimée est littéralement entourée et par tous les moyens l'on tente d'éviter une prise de celle-ci par les rebels. Si tel serait le cas, l'on serait témoins d'un inévitable exil vers l'Empire Byzantin du Sud. La situation n'est cependant pas perdue d'avance et aux limites de la Cimée font rage de sanglant combats pour que la dernière enclave byzantine dans cette région du monde réussissent à subsister.
1060Les troupes Byzantines doivent reculer en Crimée. Les rebels paiens pénètrent donc la Crimée de plein fouet; leurs incessantes attaques ont portés fruit. Les Grecs criméens fuient par milliers vers le sud. En Géorgie, Trabzon et Chaldea, les mouvements pro-byzantins commencent à se concrétisés. Trabzon et Chaldea risquent même de revenir dans le giron Byzantin dans les années à venir. Cependant, ce serait étonnant que la Géorgie agisse de la même façon; l'indépendance semble actuellement la voie que les Géorgiens démontrent massivement. La Famine s'installe dans le Caucase.
1061Les Oghouzes pénètrent l'Astrakhan violemmment. De vastes territoires occupés par les rebels sont lentement pris par les Oghouzes. Cela ne change que légèrement l'état du front en Crimée, qui recule toujours aussi douloureusement. Situation plus encourageante en Géorgie et en Arménie mineure ou les milices pro-byzantines ont repris le contrôle de la majeur partie du territoire. L'arrivée de Oghouzes dans cette région pourrait cependant être très nocive pour les Byzantins de cette région.
1062Carte de la situation avec l'arrivée des Oghouzes en Azov et l'essouflement des attaques paiennes dans cette région.
1063Les Oghouzes continuent de faire pression. La Crimée est même isolée par les zones d'occupation Oghouzes, les juifs sont compressés vers la Mer Noire tandis que le Caucase est à feu et à sang. Dans tout ça, les Byzantins, malgrés qu'ils continuent de tuer leurs soldats en vain dans divers combats, ne réussissent toujours pas à tirer leur épingle du jeu. La Crimée et Trabzon tiennent cependant le coup, bravant encore et toujours les éléments.
1064 Trèves entre les groupes rebels suite aux attaques Oghouzes. Les généraux et maréchaux Byzantins stoppent aussi leurs attaquent pour ainsi pouvoir se réorganiser. Après 15 ans de guerre civile, une intervention de l'Empereur face à cette trève se fait attendre.
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Ven 26 Oct - 8:52
