Carte des Territoires Impliqués
1091Début des hostilités. Les troupes grenadines, déja postées sur le front, ont bénéficer d'un manque de préparation de leur adversaire pour avancer grandement, mettant en déroute les territoires Ibériques, sans que bien des combats aient lieu. Cependant, la situation ne se maintiendra pas ainsi longtemps, sachant le nombre de soldats chrétiens se dirigeant actuellement de part les Pyrénées vers le front. Toutefois, il faut craindre pour la Galice et le Leon une disparition fort probable dans l'année à venir.
1092Vigo, en Galice est assiégée. Cependant, la situation en Galice est nombre de fois plus favorable qu'au Léon, où, adossés à la mer, les armées se désorganisent peu à peu. La Castille est dans la même situation, reculant inexorablement vers la défaite. Le Navarre se prépare à combattre, tandis qu'arrivent par millier de part les Pyrénés les soldats francs de la grande région de l'Occitanie. Les troupes d'Italie débarqueront près de Valence dès l'an prochain.
1093Le Leon est totalement occupé, ce qui est presque la situation de la Galice, face au nombre disproportionnelle de troupes Grenadines donnant l'assaut. La Castille est sauvée de peu par l'arrivée en renfort des troupes provenant d'Occitan. Commotion chez les musulmans, avec la perte simulatnée de Valence et de Murcie, sous le coup des débarquements italiens. C'est une concentration militaire exceptionnelle qui a, après avoir pris les îles Baléares, a débarqué sur plus de 100 kilomètres de côtes entre les deux villes tombées. De par cette nouvelle zone d'occupation, les forces catholiques sont en bonnes positions pour attaquer les troupes Grenadines de par derrière le front qu'ils tiennent actuellement dans le nord de l'Ibérie.
1094La Galice tient le coup, avec comme centre Vigo, seule ville du pays encore debout, cernée de toute part. Un front stable se crée au centre de la Castille, ou reigne les combats acharnés et la destruction. Cependant, c'est une mission suicide pour les troupes occitanes, et quand, d'ici quelques années, la Grenade sera venue à bout de ces assaillants, plus rien ne bloquera les grenadins dans leur progression vers le nord. Dans la région de Valence, l'invasion chrétienne n'a toujours pas pu être endiguée, la progression des envahisseurs toujours plus rapide et concise, l'on craint pour la ville de Grenade. L'apport en troupe de par la voie maritime étant toujours constant, les chrétiens sont plus puissants dans cette région d'instant en instant.
1095Voici, alors que la dynamique se maintient, la carte de la situation.
1096La situation est stable en Galice, ce qui demeure une victoire en soi. En Castille, l'usure du front atteint son maximum, les forces chrétiennes ne tiendront plus le coup dès l'an prochain. Situation bien plus reluisante près de Valence, alors que les premières contre-attaques grenadines sont incomparables par leur inefficacité. La ville de Grenade est toujours menacée, tandis que les chrétiens progressent rapidement vers la Castille. Les débarquements sont continus sur la côtre Valencienne, apport indéniable aux actuelles avancées.
1097La Galice tient le coup, malgré des difficultés accrues cette année. Le front cède en Castille, les forces chrétiennes reculent d'un coup jusqu'à la Navarre, désormais sérieusement menacée. Près de la ville de Grenade, les chrétiens opposent leurs premières résistance dans la région. Cependant, plus au nord, les avancées des années précédentes se poursuivent avec plus d'intensité. La région de Zaragoza tombe aux mains des chrétiens, ce qui est un gain d'importance.
1098Situation actuelle.
1099Malgré toutes les attentes et les espérances les plus folles, la Galice tient le coup. Encerclée et inlassablement attaquée, la mobilisation générale de la population permet aux Galiciens de tenir d'une main de fer les régions de Vigo et la côte atlantique. Situation moins reluisante dans le Navarre, ou le recul des chrétiens n'est limité que par le relief montagneux. Les troupes chrétiennes sont ici en manque. Les Grenadins pourrait atteindre la Gascogne dès l'an prochain. Dans la région Valencienne, dans le sud-ouest, les chrétiens reculent légèrement, tandis qu'ils commencent à être limités au nord. Toutefois, les combats prennent de l'intensité, et un flux régulier de soldats débarquent sur les côtes grenadines.
1100Le XIIe siècle s'ouvre dans le sang pour la péninsule Ibérique. Alors que les messages de la Galice affirment encore que celle-ci tient le coup, en Navarre, la situation prend des aires de défaites. Les Grenadins ont pénétré de par les Pyrénés en Gascogne, n'ayant plus d'opposition dans cette région. L'on constate même un essouflement et un recul dans les territoires occupés suite à des débarquement, où le remplacement des troupes se fait au ralentit, ce qui occasione plusieurs troubles. La situation économique des pays chrétiens participant à cette reconquista devient inquiétante.
1101Plus de 17000 soldats débarqueront sur les côtes castillanes l'an prochain, ce qui donnera un nouveau souffle aux chrétiens de la région, dans une situation fortement défavorable. Le Navarre est occupé, le Béarn et la Gascogne en voie de l'être. S'il n'y aurait pas de montagne, les Grenadins seraient plus loins encore, n'opposant pas de résistance outre quelques fermiers occitants armés de fourches. Au sud, la situation se stabilise. La ville de Grenade est de nouveau sécuritaire. Les chrétiens n'auront pas atteint les frontières castillanes. De nouvelles frappes sont cependant planifiées par les Italiens du Nord, postés actuellement dans la région de Molina.
1102Débarquement majeur sur les côtes non-protégées du Leon et de la Castille. Avec l'aide des populations locales, les soldats ayant survécus au voyage des îles britanniques à la péninsule Ibérique ont dès le débarquement débuter la reconquêtes des territoires. Presque toutes les Asturies sont de nouveau sous contrôle chrétien. La Galice, malgré tout encore isolée, tient encore le coup. Alors que le Béarn allait être entièrement occupé par les Grenadins, les troupes de ce même pays rebroussent chemin pour aller endiguer les attaques dans les Asturies. Le territoire chrétiens de la région Valencienne reste généralement inchangé, un front stable étant constitué, mais au nord les chrétiens réussissent à atteindre la frontière castillane.
1103Lueur d'espoir en Galice, isolée depuis une décennie, détruite par sa résistance digne de mention. Les territoires occupés par les nouveaux arrivants des iles britanniques ont permis de reprendre toutes les Asturies, et même plus. Une poche d'occupation a été créée en Navarre. En fait, la zone d'occupation chrétienne isolerait complètement une grande partie de l'armée Grenadine dans les Pyrénées, désormais tout simplement non-approvisionnés, n'ayant plus de contact direct avec Grenade. L'armée se disperse donc petit à petit malgré elle, sauf si un pont d'approvisionnement se fait à travers la zone d'occupation chrétienne, ce qui ne risque pas d'arriver. Au sud, la situation est stable. Les renforts d'Italie ne font que réussir à maintenir le front, sachant que les populations musulmanes commencent à prendre les armes pour chasser les occupants.
1104Les tendances de l'an dernier se poursuivent, voici la carte de la situation.
1105La Galice, le Leon et la Castille, détruits par quatorze ans de guerre intense, sont de nouveau presque entièrement sous contrôle chrétien, grâce aux Anglais et aux Irlandais. Au Navarre, par contre, ces deux-même pays sont en difficultés, les Grenadins prenant de l'avance de par leur enclave des Pyrénés. S'étant conséquemment restructurés, cette section de l'armée Grenadine a repris le contrôle entier de la Gascogne et du Béarn, l'Occitanie est même menacée. Faible recul chrétien au sud, ou la stabilité reigne. Près de Valence, des rébellions musulmanes éparses se manifestent.
1106Quinzième année du conflit. Toutes les Asturies sont récupérées par les chrétiens, tandis que des avancées satisfaisante sont faites dans la libération du Portugal. La Navarre demeure sous contrôle grenadin, mais est contenue et il n'y a aucun débordement en Castille. L'Occitanie maintiens un front avec les troupes grenadines de l'enclave des Pyrénés. L'occupation chrétienne près de Valence éprouve des difficultés, avec encore cette année un recul non négligeable à constater.
1107La situation suit la ligne de ce qui s'était produit l'année précédente.
1108Au centre de l'Espagne, peu d'avancée cette année, pareil pour la région de Valence qui s'est stabilisée. Tous les efforts ont été concentrés sur le Navarre et le Midi. Les frappes Anglo-Irlandaises simultanées ont permi de reprendre du territoire dans cette région, au-delà du Navarre et des Pyrénés. Les grenadins dans cette région s'en sont vu déstabilisés, ce qui a permis à l'Occitanie de prendre le dessu sur le front. La Seconde Reconquista persiste depuis 17 ans.
1109Les chrétiens reprennent le Navarre, et commencent des attaques massives sur la Gascogne. Avec l'aide de l'Occitanie, l'enclave grenadine outre-pyrénés sera du passer dans les années à venir. Avancées moins fortes au Portugal, et maintiens du front ailleur en Ibérie, les forces chrétienne étant concentrées sur l'élimination de la dite enclave. Murcie est assiégée par les Grenadins. L'on craint une massive contre-attaque de la Grenade dans les années à venir.
1110Les combats se transportent encore plus profondément dans les Pyrénés, les troupes grenadines étant isolées et complètement encerclée dans le Béarn. Les troupes chrétiennes ayant coupé l'approvisionnement aux Grenadins, la Gascogne et la Garonne ont rapidement été repris, l'Occitanie tout aussi capable de repousser l'ennemi. Ailleur, léger recul des chrétiens, dans la région de Murcie où sur le front les combats reprennent, et au Portugal où les avancées n'avaient pas été sécurisées. Des reculs importants pour les chrétiens sont à signaler en Castille.
1111Éclatement de la poche Grenadine aux Pyrénés. Stabilité ailleur en Ibérie.
1112La situation demeure relativement stable dans le secteur Valencien. Sur l'autre front, le Portugal a été libéré cette année, le retour des attaques massives de la part des chrétiens ayant surpris les Grenadins dans cette région. Sur le front castillan-léonais, cependant, les Grenadins semblent tenir le coup, même voire maintenir une supériorité en terme de nombre, ce qui devient néfaste pour les chrétiens dans la région, forcés de reculer. Selon les autorités papales, la Reconquista tire à sa fin et une trêve sera bientôt déclarée.
1113La trève est déclarée suite au rapatriment des troupes anglaises. Les Grenadins ne se manifestant pas, ils préfèrent surement enterrer leurs morts et redresser leur économie avant de recommencer les combats. Outre cela, notons que le catholicisme aura vaincu les infidèles à la gloire de dieu. Voici les nouvelles frontières de l'Ibérie.