1142De la Hongrie au Lykia, en Anatolie, des mouvements rebelles se sont propagés à une vitesse ahurissante. L'ordre de converstion lancé par l'autorité centrale Seldjoukide a été très mal accueilli parmi les populations concernés. Déjà, alors que les églises catholiques ou orthodoxes sont transformées en mosquées, tout ceux refusant la conversion sont sévèrement réprimandés par les autorités militaires. Actuellement, en Grèce et en Hongrie, de nombreuses régions rurales ont coupées les liens avec l'autorité, et le foisonnement des mouvements révolutionnaires continuent de se multipliés en Croatie et en Serbie. Aucun territoire n'est cependant croncrètement sous occupation rebelle.
1143En Hongrie, Budapest est cernée par les rebelles, alors que la cathédrale de l'endroit est transformée illico en Mosquée. Toutes les régions campagnarde de Hongrie ne sont plus sous contrôle Seldjoukides. Ceux-ci envoient de petits contingent dans chaque village pour en reprendre le contrôle, mais les habitants ne se laissent plus faire. Loin du centre décisionnel de l'empire Seldjouk, la défense est mal assurée en Hongrie, et Budapest risque vraiment de souffrir d'un siège des rebelles. En Croatie, c'est plus différent, seul quelques communautés, la plupart isolées, réussissent à prendre les armes contre l'occupant. Ces petites rébellions sont rapidement écrasée, quoique plus que l'on se rapproche de la Slovénie, les musulmans éprouvent de la difficultés à maintenir le calme. Au Rashka et en Serbie, c'est le calme plat, contrairement à la Grèce, ou les rébellions éclatant un peu partout à n'importe quel moment sont écrasées dans une violence sans égal.
1144Les Seldjoukides reprennent le dessu dans le sud de la Hongrie. Les campagnes du nord demeurent hors de contrôle, et le blocus de Budapest commence à faire mal. En Croatie, les rébellions s'intensifient dans les villes et près de la Slovénie, alors qu'ailleur elles s'essouflent. Des montées de violences sont à signaler en Serbie et au Rashka, à cause des conversions religieuses forcées. En Grèce, Thessalonique est aux mains des rebelles, même situation ou presque pour Athènes, alors que le Péloponnèse sombre dans le chaos. Les grecs orthodoxes sont chassés de Constantinople, et sont remplacés par des turcs venant du coeur de l'empire Seldjouk.
1145État de la situation dans les Balkans
1146Déplacement de troupes almoravides vers le Piedmont Fatimide, en direction des zones rebellées de Slovénie. L'instabilité et l'incertitude demeure en Hongrie et en Croatie, les seldjoukides éprouvent de la difficutlé à affirmer leur autorité sur ces territoires. Les montées de violences sont violemment écrasées en Serbie, alors qu'au Rashka la guerre civile bas sont plein. En Grèce, le Péloponnèse demeure sous contrôle rebelles, sauf que Athène et Thessaloniques sont désormais sous le siège des troupes Seldjoukides. Des renforts d'Asie sont prévu en Grèce dès l'an prochain.
1147Suite à une mésentente, l'arrivée de renfort de par l'Italie est annulée, ce qui a redonné confiance en eux au rebelles de Croatie. Budapest est tombée aux mains des rebelles, et un front entre armée et rebelles se constitue entre la Croatie et la Hongrie. Bains de sang en Serbie avec le refus de conversion des catholiques de la région. Le Rashka demeure ignoré des stratèges seldjouks. En Grèce, suite à la libertée de religion garantie aux orthodoxes, un essouflement des combats a eu lieu (perte de Thessalonique par les rebelles) sauf que la population combat cette fois-ci, en moins grand nombre toutefois, pour l'indépendance d'une nation grecque, ou pour la libération de la nation. Le Péloponnèse et Athènes demeurent sous occupation rebelle, quoique leurs positions sont affaibilie, et une grande partie de la population des régions occupées n'appuie plus les entreprises de rébellion.
1148Sac de Budapest. Les troupes seldjouk en provenance de Serbie ont repris la ville en début d'année, alors que la Hongrie en entier n'est plus sous le contrôle des Seldjoukides, à quelques exceptions près. Cette reprise a donné lieu à des événements majeur, les batailles étant constantes, les morts se comptent par milliers. La Cathédrale de Budapest, où étaient réfugier plus de 5000 catholiques qui fuyaient, a été réduite en cendre, au même titre que ces catholiques, brûlés vif. De par la frontière serbo-hongroise, les Seldjoukides reprennent pied en Hongrie rurale. Stabilité en Croatie. Massacre et exode catholique en Serbie. Répressions mineures au Rashka. Athènes est encore assiégée, et certaines régions du Péloponnèses sont revenues sous contrôle Seldjoukide.
1149Budapest est de nouveau encerclée par les rebelles. La ville, sous occupation Seldjoukide, a vue l'ensemble de sa population chrétienne fuir vers les campagnes environnantes. Les combats prennent de l'intensité en Croatie, les troupes Seldjouks progressent vers l'ouest, écrasant rapidement les rébellions mal organisée. Cependant, ils n'ont toujours pas atteint l'Istrie. Répressions majeures et massacres de catholiques au Rashka. La population catholique de Rashka et de Serbie fuit massivement vers la Croatie. En Grèce, les rébellions se sont rapidement réduites à néant avec la chute d'Athènes et le recul des rebelles au Péloponnèse. Nombre de grec fuient vers la Bulgarie.
1150Carte de la Situation
1151Siège de Budapest, les troupes musulmanes non approvisionnée et peu nombreuses doivent affronter la colère des hongrois. Massacre de troupes musulmanes capturée dans la région. La Hongrie entière demeure sous contrôle rebelle, les attaques Seldjoukides lancées de par la Serbie demeure inefficace. En Croatie, avance des rebelles, sauf que les représailles des musulmans se font plus coriaces, pillant les villages et tuant tout ce qui se trouve sur les territoires repris aux rebelles. Une partie des rebelles croates s'est dirigée vers l'Adriatie, région Fatimide où ils tentent de créer un soulèvement.
1152Dixième année de conflit. Budapest est de nouveau sous contrôle des rebelles. Ces même rebelles perdent énormément de territoire dans le sud-est de la Hongrie, où ils sont en pleine déroute face à la répression Seldjoukide. Même étant d'esprit en Croatie, en Serbie et au Rashka, ou les attaques Seldjoukides font craindre le pire pour la rébellion. Les zones sous contrôle rebelle dans la région ne se limite plus qu'a l'ouest de la Croatie. Des mouvements rebelles sont à observer en Grèce.
1153Le siège de Budapest recommence, cette fois-ci, au sud, ce sont des territoires occupés par les Seldjoukides, qui ont énormément progressé depuis les deux dernières années dans le sud Hongrois. Arrivée de troupes bohêmiennes dans le nord de la Hongrie, consolidant l'occupation rebelle, et qui prêtront dès l'an prochain leur aide bien utile aux rebelles pour le siège de Budapest. En Croatie, la déroute se poursuit, les quelques territoires rebelles se concentrent en Istrie, où ils sont au bord de l'éclatement. Les Iles Grecques sont sous haute tension à cause des nationalistes.
1154Retrait stratégique des Seldjoukides, les rebelles n'auront pas hésiter un instant à en profiter. Alors que vers la Serbie se dirigeaient les troupes musulmanes, les rebelles, quant à eux, avec une distance raisonnable, les suivaient de derrière, ralliant à eux les paysans rencontrés sur le chemin. (Sans oublier l'armée Bohêmienne s'étant jointe aux troupes rebelles) C'est ainsi que la Hongrie entière et une bonne portion de la Croatie sont retombées sous l'occupation rebelle, et ce sans grand combats. Les musulmans se retrouvant malgré eux en territoires rebelles vu le retrait rapide des Seldjouks ont tous été brutalement tués.
1155Les Seldjoukides ont rappliqué cette année, mais les résultats sont en dessous de ce qui était escompté. Ils n'ont récupéré que quelques territoires Croates au sud de la Hongrie, sans que leur armée n'ait vraiment eu le temps durant leur trop court retrait de se réorganisée. Les rebelles et les troupes bohêmiennes tiennent le coup à la plupart des endroits. Des renforts d'Anatolie arriveront dès l'an prochain pour remplacer les soldats morts au combat des dernières années.
1156 Sachant que les Seldjoukdies désirent ne combattre que pour se défendre, les rebelles et les troupes chrétiennes n'agiront pas stupidement, derrière une zone tampon raisonnable avec les positions Seldjouks, ils éviteront tout combat. C'est alors que peu se terminer ces rébellions, avec une victoire des rebelles face aux Seldjoukides cessant ses attaques.