Guerre d'Aquileia (1193-1206)

1193

C'est en cet an de grâce 1193 que la guerre a repris en Europe, en Italie plus précisément, à la limite des Balkans. La ville-état de Venise a déclaré la guerre au tout petit Aquileia, qu'elle a rapidement occupé en écrasant la petite armée adverse. Cependant, les choses n'allaient pas se passer si facilement pour Venise, car son voisin, la Vénétie, allait user de représailles pour punir Venise d'avoir envahi l'un de ses alliers. Les troupes vénétiennes ont entrepris de reprendre les territoires d'Aquileia, et organisent actuellement un siège sur la ville de Venise. Cependant, ces préparatifs ne sont en aucun cas gage d'un succès.

1194

À la suite de vigoureux combats, Venise a été chassé d'Aquieila, le front se déplacant à la frontière entre les deux pays. C'est ainsi que la Vénétie entreprend le siège de la ville de Venise, en lançant des attaques mineures au nord de la ville en plus du front déjà en cours à l'est. La ville de Venise peut être préparée pour tenir un siège assez longtemps, sauf que le manque d'approvisionnement en choses élémentaire deviendra un fardau très rapidement.

1195

Venise est désormais complètement encerclée et subit un siège constant. Les troupes vénétiennes, aidées de ce qui reste des troupes de l'Aquileia, sont globalement légèrement plus puissante que les troupes de Venise réunie, mais la bonne défense de la ville assiégée, cernée de muraille et d'autres appareils défensif, rend le siège de la ville une lourde tâche pour la Vénétie et l'Aquileia, qui ne doivent pas espérer de progression concrète avant plusieurs années. Pénétrer les murs de la ville serait même un exploit avec le rapport de force actuel.

1196

Le siège continue, avec toujours aussi de vigueur. La population commence à manquer de certains éléments essentiels dans la ville assiégée, mais l'armée de Venise, quant à elle, est toujours en état de combattre adéquatement. Aucune progression n'est à constater d'une part et d'autre. Venise est désormais bombardée par les trébuchets Vénitiens.

1197

Venise est toujours sous l'emprise d'un siège. Cependant, les combats s'effectuant seulement en périphérie de la ville permettre aux activités commerciales de suivre leur cours sans encombre. La Vénétie dépense des ressources gigantesque dans cette guerre, qu'ils sont prêts à poursuivre à n'importe quel prix, leur objectif étant clair; c'est la ville de Venise qu'ils veulent.

1198

Les murs nord de Venise ont été percés. Un quartier en entier tombe sous occupation ennemi, mais la brèche a rapidement été endiguée par les troupes de Venise. Les riches marchands quittent la ville pour Gênes ou Pise, alors que la population locale tente de traverser la frontière avec l'Italie pour éviter d'avoir à subir le siège plus longtemps.

1199

Après les mouvements de l'an dernier, le front se stabilise. Les ressources immenses qu'investit la Vénétie dans cette guerre risques de faire céder la capacité de cette nation à être efficace économiquement, mais surtout, militairement. Les forces en présences étant presque de même puissance sur le front, un enlisement est inévitable.

1200

Les bombardements recommencent sur Venise. De nombreux quartiers sont détruits sous les rochers que les trébuchets postés en territoire Vénitien bombardent sans relâche. Du côté de l'affrontement entre soldats, c'est le calme plat, chacun caché derrière sa barricade et aucun n'osant lancer l'assault au risque de perdre beaucoup d'homme dans un enlisement et des combats incessants. Tout le nord de la ville de Venise est donc dans un calme troublant, à l'exception des bombardements perpétrés par les trébuchets.

1201

Assaults massifs de la part de la Vénétie cette année. Des troupes fraîchement recrutées dans la région du Frioul ont joint le siège cette année, brisant momentanément l'enlisement. Les combats ont donc repris en intensité, et la progression de la Vénétie entre les murs de Venise a été grande cette année, qui fut marquée par un arrêt progressif des bombardements pour laisser le champs libre aux troupes vénitienne pour l'occupation de la ville. Venise sombre dans le chaos alors que 40% de la ville est sous occupation, une chute est imminente.

1202

Implosition de l'appareil de défense de Venise. Les restants de commerçants et de la bourgeoisie locale fuit vers l'Italie ou passe du côté de la ville sous contrôle ennemi pour s'attirer ses bonnes faveurs. Les institutions de Venise ainsi que la vieille ville, tout cela est tombé aux mains de l'armée Vénitienne qui continue sa progression. Les combats sont réduit au minimum, l'armée de Venise combattant en retraite, aidés par quelques habitants armés de cailloux et d'autres armes de fortune.

1203

Après une décennie de combats et de siège, les forces au départ presque égales auront finalement réussies à se départager. La ville de Venise, partiellement détruite, économiquement fortement handicapée, est désormais sous occupation et contrôle complet de la Vénétie. L'annexation de la ville est imminente, à condition que l'Italie agisse en joignant le camp de Venise. Dans le cas contraire, c'est trop peu trop tard pour la république de Venise.

1204

Alors que Venise était en train d'être incluse dans l'administration d'une Vénétie étendue, l'Italie, le puissant voisin jusqu'à présent hors du conflit, est venu porter secours à son allié, et ce en trahissant son autre allié qu'était la Vénétie. Les batailles ont commencé lentement en montagne, alors que le siège d'une Venise affaiblie et détruite a rapidement repris. Les armées Italiennes ne sont cependant pas des plus efficaces, ayant été portée à l'abandon depuis la fin des Révoltes Italiennes.

1205

Chute de Venise aux mains de l'Italie. La ville sans appareil défensif a rapidement flanchée vu le nombre élevé de troupes Italiennes face au nombre de troupes Vénitienne. Gênes et la Provence coupent leurs relations diplomatiques avec l'Italie, pour cause la traitrise de l'Italie face à la Vénétie l'an dernier. Dans les montagnes, l'Italie n'oppose que peu de résistance et réussi à occuper de vastes territoires jusqu'au Frioul.

1206

Occupation complète de l'Aquileia et de la Vénétie, avec une dernière charge massive en début d'année. L'occupation est réussi, mais la stabilisation des territoires laisse à désirer. Des milices ennemies sont encore dispersées un peu partout et sèmeront l'instabilité en Vénétie dans les années qui viendront.

Je propose la paix a la Vénétie

HAHA! La Vénétie refuse. Vous n'aviez qu'à y songer deux fois avant d'attaquer son allier.

Je ne sais pas si vous y teniez tant que ça a votre allié ou vos raisons sont autres pour m'envahir avec autant d'acharnement, mais vous êtes sûr de préférer l'enlisement à la paix?

Nous sommes surs.

je fait une demande d'aide à la hongrie et la croatie mes alliés de coeur!pour qui moi je ferait tout pour vous courageux rois!

La Hongrie et la Croatie, vu vos avancés considérables en territoires Vénétiens, doutent de la pertinence de leur hypothétique aide, et refusent votre demande.