Guerre du Lancashire (1201-1219)

1201

La guerre a repris dans les îles Britanniques. Les même alliés traditionnels se sont portés au secours du Lancashire, victime d'une attaque de l'Angleterre. En terme de puissance, l'alliance formée de l'Écosse, la Galles, la Cornouaille et le Lancashire est près du quart plus puissante que l'Angleterre. Malgré tout, les combats ont député cette année, avec un front très actif au sud, surtout en Cornouaille, où les combats ont été intenses et où les celtes ont bien avancé. Le Lancashire, un peu pris au dépourvu, a vu sa frontière reculée quelque peu face aux combats intenses. En Écosse, les troupes se positionnent sur le front. Cependant, beaucoup d'anglais de la Cornouaille et du Lancashire souhaitent que l'unité anglaise soit réalisée sous le sigle du royaume d'Angleterre.

1202

La Cornouaille continue de pousser le front plus loin en Angleterre, soutenu par les troupes galloises. Jusqu'au Southampton, les combats font rage entre les troupes Celtes et les troupes Anglaises. Au Lancashire, le front est stable avec le support de l'autre part des troupes de Galles, en Galles, où actuellement presque aucun combat n'a lieu. L'Écosse, tel un raz-de-marée, repousse le front au nord de l'Angleterre très rapidement, jusqu'au East Anglia. L'Angleterre ayant disposé davantage de troupes au sud, surtout au Lancashire où ses positions, contrairement aux 2 autres fronts, sont excellentes, a laissé le front Écossais à l'abandon. Du moins, vu la proportion de troupes de chaque camps sur le front, c'est ce qui est à constater, que les stratèges anglais ont sous-estimé l'Écosse.

1203

Tensions palpables au Dorset et dans le Cumberland, deux régions homogéniquement Anglaises sous contrôle Celte. Partisans de l'unité britannique, les populations de ces régions semblent prêts à prendre les armes à tout moment, ce qui risque de faire pencher la balance dans le conflit actuel. Pour le moment, le front est stable au Southampton et au Lancashire, où l'Angleterre a d'urgence greffé une partie de ses troupes pour endiguer les avances Écossaises. L'Écosse réussi une telle percée dans le York que plusieurs craignent que le Norfolk ne tombe dans l'année à venir. La population anglaise de ces régions est elle aussi sur le point de prendre les armes pour l'unité et pour la supériorité du peuple anglais.

1204

L'Écosse arrête subitement ses avancées cette année. La cause, le remou parmi les population anglaises en territoires occupés. Les troupes Écossaises, tout en maintenant un front stable cette année, se sont attelées à écraser toute tentative d'insurrection en territoires occupés. Au Lancashire, les progressions demeurent nulles d'une part et d'autres. Les combats prennent en intensité sur la frontière galloise, où le Powys assure avec brio la défense de la Galles en entier, signe de la répartition inéquitable du nombre de troupes selon les fronts. Le Southampton continue de s'enflammer sous les combats avec la Cornouaille.

1205

Prolongation de l'opération de stabilisation des territoires occupés par l'Écosse. L'Angleterre continue d'assurer un front stable dans cette région, et réussis même quelques modestes avancées aux dépends de l'Écosse, sécurisant le Norfolk. Stabilité au Lancashire et avancées Galloises plus au sud, surtout au Gloucester. La Cornouaille progresse encore davantage dans le Southampton, et commencent même certains combats dans l'Oxford. Crise des échanges commerciaux à Londres.

1206

L'Écosse reprend ses attaques sur le front avec l'Angleterre, et continue ses fortes progressions qui avaient fait tant craindre l'ennemi il y a deux ans à peine. Les combats, contrairement à ce qui fut constaté dans les précédentes années, se dirigent davantage vers l'Ouest. Si la situation se maintient, peut-être les troupes Écossaises recontreront-elles celles de la Cornouaille dans l'Oxford où elles continuent leur lente progression, ce qui signerait l'arrêt de mort de l'Angleterre. Avancées anglaises au Lancashire, avancées Galloises très fortes dans le Gloucester.

1207

L'Écosse avance plus lentement cette année sur le front, bien que les avances continuent. L'Angleterre a réorganisé sa défense, et ce fut bénéfique sur chacun des fronts, où les avancées ennemies ont été ralenties, et où la position de force sur le front du Lancashire a pu être reprise. Cependant, la perte totale du Gloucester au profit de la Galles n'a sur être évité.

1208

Les avancées massives de l'alliance celte reprennent de plus belle, avec l'enclavement de territoires anglais à l'ouest. La Cornouaille a rejoint l'Écosse au Southampton, coupant ainsi l'Angleterre de tous ses territoires à l'Ouest, situation catastrophique pour les Anglais. La Galles et le Lancashire peuvent conséquemment en profiter pour prendre les territoires anglais isolés, qui sont occupés par une armée désemparée, désorganisée et désapprovisionnée. La situation devient inquiétante pour l'Angleterre, qui tente actuellement de se constituer une milice estimable pour éviter la défaite.

1209

Éclatement complet et total de la "poche" anglaise entre le Southampton et la Galles. L'unification de toutes les troupes de l'alliance celte sur un seul front a donc pu se réaliser cette année. Tel un mur de pierre des champs, le front a repoussé les anglais aux confins de leurs territoires. Heureusement que l'apport de milice fut là pour les anglais, sinon ce fut bien pire qu'actuellement. Londres, Norfolk et Suffolk sont menacés, et la panique gagne les Anglais. Cependant, les zones rurales anglaises occupées sont loin d'être stable, et un soulèvement anglais dans cette région pourrait survenir à tout instant.

1210

Les Écossais contournent le front et sèment la pagaille au Norfolk. L'emprise sur l'Angleterre dont le sort semble sceller se ressert. Les combats ont lieu anarchiquement et de manière désordonnée sur une large bande territoriale sur tout le long du front. Les forces unies de la Cornouaille, de la Galles et du Lancashire agit comme un rouleau compresseur sur l'Angleterre. Révoltes isolées en territoires occupés par la Cornouaille.

1211

Occupation du Suffolk, du Kent et de l'Essex; siège de Londres. L'Angleterre en entier à l'exception de Londres est désormais sous occupation ennemie. La dernière ville est évidemment plongée dans le chaos. La guerre ne se terminera pas là pour autant, les anglais n'ont pas dit leur dernier mot. Les campagnes du Southampton et du Cumberland occupés sont ravagés par des milices planifiant de longue date leur coup. Leur organisation s'en trouvant améliorée, l'Angleterre bénéficie d'une tribune inespérée pour sa survie.

1212

Londres est pillée, bombardée, détruite en entier, et le roi des Anglais a été brûlé vif sur la place publique. Heureusement pour la monarchie Anglaise et pour le salut du royaume d'Angleterre, des héritiers du thrône combattent actuellement aux côtés des rebelles au Southampton, qui échouent toujours à s'imposer. Contrairement au Souhtampton, les rebelles du Cumberland réussissent à rapidement prendre le contrôle de larges bandes de territoires rurales sous occupation écossaise. La population rebellée se mobilise pour l'Angleterre, et pour rien d'autre.

1213

Le retour massifs des troupes alliées de Londres vers le Southampton complique les tentatives de rébellions locales. Les régions rebellées sont enclavées sous les attaques de la Galles et de la Cornouaille, et l'organisation des milices rebelles approche du zéro. La situation est plus avantageuse pour les Anglais au Cumberland et au York, où les troupes Écossaises doivent litéralement tenir un nouveau front tellement les milices sont bien organisée. Cependant, l'avantage du nombre leur fait défaut.

1214

Répressions massives au Southampton, les enclaves rebelles sont anéanties. L'hérétier du thrône d'Angleterre reste introuvable. Au Cumberland, les ripostes Écossaises font craindre le pire aux rebelles et miliciens. Des révoltes éclatent au Norfolk et dans l'Essex.

1215

Les rebelles du Norfolk, s'étant propagés jusqu'au Suffolk, sont gravement réprimés par les troupes de la Galles et du Lancashire. Au Cumberland, l'Écosse a réussi à réduire à presque rien les mouvements rebelles. Les rispostes écossaises auront été d'une violence inouïe, ce qui aura fait assez bien passé le message. Les révoltes continuent de foisonner en Essex.

1216

Le nord de l'Angleterre avait commencé la résistance, ce sont les zones côtières fièrement anglaises de l'est qui la poursuivont. Les répressions sont intenses au Norfolk et au Suffolk, où la population prend massivement les armes toutefois même si la situation semble d'emblée perdue d'avance. Dans l'Essex et à Londres où les révoltes se multiplient, les répressions commencent.

1217

Les rébellions sont écrasées au Norfolk, à bout de combats sournois et intenses qui auront laissé le territoire défigué. L'alliance celte a de plus en plus de difficultés à maintenir les territoires occupés stable; une division territoriale rapide s'impose. Dans l'Essex, les rebelles réussissent à prendre une partie de Londres et le Sussex.

1218

Insurrection de Londres. Les troupes celtes sont chassées de la ville, et les combats recommencent de plus belle, alors que des ébauches de répressions s'organisent dans le Sussex et l'Essex. L'urgence d'une séparation territoriale devient de plus en plus criante alors que l'instabilité gagne les territoires occupés de plus en plus profondément. Le contrôle de l'alliance sur l'Angleterre s'amenuie.

1219

Les combats se poursuivent à Londres, où des tentatives sont faites pour chasser les rebelles de la ville. Agitations au Suffolk. Ripostes massives dans le Sussex et le Kent, la base des rebelles est quelque peu renversée. Dans l'Essex, les rebelles qui fournissent le nécessaires aux rebelles du Suffolk ne subissent aucun problème majeur pour le moment.

Maintenant que son armée est réuni, le Lancashire fait fasse à l'armée anglaise pour combattre.

Elle demande aussi a ses alliées d'éviter le pillage car le peuple anglais ne doit pas payer pour la folie de leur dirigeant.Il leur demande de prévenir le peuple anglais d'Anglette qu'une fois que leur dirigeant sera retiré du trône qui n'est pas le sien car il pense à lui avant son peuple, l'unité anglaise sera faite. Si les habitants des différentes régions ne risquent pas le pillage, tout se passera bien.

Le dirigeant explique à son peuple anglais que L'Angleterre les a lachement attaqué et que s'ildoit avoirunité anglaise sa sera sans lui.

Le Roi Mc Alan tient à faire passer un message aux habitants des régions occupées. Il veut dire que la guerre menée n'est pas menée selon une politique de conquête, mais dans un désir de survie. L'assimilation du Lancashire par l'Angleterre mènerait à un isolement de l'Écosse. De plus, l'Angleterre ne s'arrêterait pas là, et l'Écosse refuse de perdre à nouveau son indépendance.

Le Roi demande donc la compréhension des habitants Anglais, et assurent que leurs droits seront respectés si ils tolèrent la présence Écossaise sur leurs terres.

je crois que la population anglaise a également envis d'avoir son pays.

mon avis celon moi c'est que le peuple anglais est fier de l'être et ne désire pas vraiment devenir peuple écossais.

Je le répète, notre but n'est pas d'envahir l'Angleterre, mais de la persuader d'abandonner sa guerre contre le Lancashire. Les terres Anglaises ne nous intéressent que très peu, nous voulons avant tout que nos alliés et nous mêmes soyons en sécurité.

Je suis Anglais aussi et pourtant j'ai le droit d'etre attaqué car j'ai refusé d'être le vassal de cette infamie, est une raison à part de l'expansion?

je vous comprends très bien rois du lancashire, cepandant c'est tout à fait normal la décision de l'angleterre et réclame vengeance.

cepandant c'Est du suicide et je trouve ceci absurde.

je tiens à préciser je suis d'aucun côté.

Le duc Gall of Clay, revêtu de son armure d'acier, participe activement aux combats, commendant les troupes de cavalerie. James Granville commende l'avant garde de fantassins lourds; les ailes droites et gauches sont tenus par de solides piquers.
Des arbaletriers en grand nombre, revêtus d'armures matelassées, ferment la marche.
L'armée de Galles affronte présentement l'armée anglaise avec des succès assez conséquants. Sans doute vont-ils appuyer l'offensive Ecossaise dans les années à venir et mettre à executions leurs menaces d'il y a trois ans.

"Rapellez-vous," écrit-il dans une lettre adressée à ses alliés, ainsi qu'à certains gouerneurs Anglais, "que le tiers-etat n'est pour rien dans la lutte qui oppose les seigneurs locaux. Faites savoir toutefois que ceux qui se mettront en travers de notre armée seront passés par l'épée, et les autres épargnés."

Puis, dans une lettre publique adressée au Roi Edouard :

"Mon ami, il n'y a plus qu'un moyen de sauver votre couronne, votre tête et votre honneur, c'est de vous déclarer notre vassal et de nous ceder vos terres."

Lettre visiblement provocatrice.

(note : quand je dis "peuple", je ne parlais pas des pécores dont Gall of Clay se fout royalement -d'ailleurs je ne comprends pas que des seigneurs de l'an1200 s'y interessent-, mais de ce que désignait le mot "peuple" à l'époque, à savoir sa cour, sa femme, ses enfants, ses officiers, ses ministres et ses amis)

Cher ris d'angleterre je comprend tout vos frustration, mais pourquoi avoir écrit quelque chose d'aussi choquant?

Le roi d'Angleterre regardant ses hommes :

"Anglais, mes frères, je préfère encore mourir pour voir un jour l'Angleterre unie que de vivre au côtés de traître, nous n'avons voulu que donner justice pour tout les morts de la dernière guerre, et on nous attaque avec des arguments qui disent que nous allions envahir toute l'île britannique. Je ne suis pas fou, un pays englobant plusieurs peuples ne peut survivre, nous voulions que le seigneur du Lancashire paye pour le massacre des innocents. Alors debout hommes d'angleterre, debout, et aux armes, nous partons pour une dernière guerre, une dernière bataille, et si nous sommes tous réunis face à l'opression, alors je serais fière de me battre à vos côtés, et de gagner, ou de mourir fièrement à côté de mes frères anglais."

Appel à tout les anglais ou anglaises capables de porter une arme blanche ou un arc, il est temps de montrer que notre peuple n'est pas lâche face à cette coalition du mal !

Edit : Année 1209

Il y eut deux sifflements fugaces comme si la réalité venait de se séparer en plusieurs parties. Avec tous les cris de la bataille, le crépitement sourd des flammes, l’assourdissant vacarme des tambours de guerre et des hennissement des chevaux, on n’entendit pas les deux soldats anglais crier.
La main gauche engoncée dans un écu d’acier, la main droite saisissant fermement une épée décorée d’or et de pierres précieuses, monté sur un furieux cheval de trait noir revêtu d’un solide caparaçon, Gall of Clay venait de les occire tous deux.
Un peu plus loin, James Granville était décendu de sa propre monture, et luttait avec ses fantassins contre les restes épars de la garnison anglaise. Les soldats du Roi Edouard étaient désorganisés et tétanisés de terreur ; la rapière du chevalier traça parmi eux des sillons sanglants.
Ce fut une question de minute avant que les derniers soldats et nobles Anglais encore en état de se battre ne hissent les drapeaux blancs, jetant leurs armes sur le sol et criant mercy.

« Pathétiques insectes ! » lança le vieux Seigneur, au comble de sa rage et de son excitation. Ses adversaires n’avaient même pas fourni à ses muscles vieillissants un exercice convenable. « Pensez vous réellement mériter de vivre ? »

Granville se précipita sur son seigneur et posa le genou au sol. Quand Gall le vit, sa rage baissa immédiatement d’un niveau. Le chevalier devait avoir autour de trente ans, à présent. C’était un dandy d’une beauté rare, les traits sveltes, la moustache bien taillée, le corps sculpté par un maître. Le vieil homme avait une parfaite confiance en lui.

« Mon Seigneur, » lui dit-il quand il eut reçu l’autorisation de parler. « Je vous prie de reconsidérer ! Les passer tous par le fer aurait un effet désastreux sur votre réputation en territoires conquis ! »

Gall rengaina son épée dans son fourreau brodé et caressa sa barbe que la guerre avait rendue très longue. Granville avait raison, quelque part. Oh et puis, pour le marriage de sa fille, il pouvait bien se montrer magnanime !

« Tuez les nobles, lança-t-il d’une voix forte, et encachotez les autres ! Je veux qu’on sache qu’on ne provoque pas impunément la Galles ! »

le dirigeant demande a ses hommes de perservere. Ils sont pas loin de la victoire, il est temps de montrer notre valeur au combat.

1912 : Gall of Clay, après avoir mis à sac le chateau de Londres et brûlé le Roi Edouard, capture les filles de celui-ci et force la plus agée d'entre elles à épouser son jeune fils. Il décrète ensuite les autres héritiers du trône "batard incapables d'hériter", tandis que la fille, selon la trasmission semi salique en vigueur au pays de Galles, portera les seigneurs du royaume d'Angleterre futur.

POur le Lancashire la guerre est finit et donc décide de prendre son dû qui lui a été volé voilà plus de 30 ans : toutes l'Angleterre. Il annonce de suite que les plus grands nobles du territoire qui décide d'arréter la guerre verrait un titre de Duc pour eux. Contrairement au roi anglais fou,il ne veut pas tout pour lui, Il sera roi et les ducs ses vasaux et auront tous des parties de l'Angleterre.

Pour les fils du Roi, il leur demande d'accepter la même chose.

Il cherche aussi s'il y a des héritiers de son ancien allié de York.

1212, une lettre du Duc Gall of Clay à l’intention du seigneur du Lancashire. Une copie est également adressée aux autres puissances du pacte d’Amsterdam de l’archipel britannique.

« Cher Roi du Lancashire,

Comment vous portez vous, en l’an de grâce 1212 ? J’ai cru entendre, au milieu des cris de guerre, d’agonie des soldats anglais et entre deux sifflements de mon épée que les affaires fonctionnaient plutôt bien pour vous. Je m’étonne de surcroît que nous n’ayons eu le temps de nous parler, nous qui avons combattus presque côtes à côtes pendant plusieurs années.
J’ai entendu dire à ce propos que vous étiez fameux bretteur ! Pourquoi ne pas organiser une joute, l’un de ces jours ? Je vieillis, mais suis encore à l’aise dans mon armure.

Parlons à présent de politique.

Des mauvaises langues bien mal intentionnées ont traînés près de mes oreilles, et m’ont sifflé que vous vouliez faire main basse sur toute l’Angleterre. Je n’y ait prêté gare, évidemment, car cela ne pouvait être qu’un mensonge !

Premièrement parce que vous êtes un homme juste et bon, que vous n’avez pas mené de guerre contre l’Angleterre, que vous n’avez fait que vous défendre sans ambition de vous élever.
Secondement, parce que qu’en seigneur intègre, vous n’imaginez pas une seule seconde avoir pût l’emporter sans le soutien généreux de vos alliés, et qu’en temps que tels ils méritent leurs parts du gâteau.
Tercement parce vous êtes un seigneur intelligent et pragmatique, et que vous savez que de telles actions vous ammèneraient forcément à vous heurter à des forces comme les miennes ou celles de la Cornouialles, et qu’en bon allié, vous ne vous y risqueriez pour rien au monde.

Pourquoi, pour faire cesser les ragots, vous ne nous prouveriez pas vos intentions ?

A bientôt autour d’un bol de vin,
Gall of Clay. »

"Il fut brûlé vif, pas un mot sortit de la bouche du roi Edouard, mort pour ses
convictions et fière de partir en ayant servi son pays jusqu'à la mort. Mort au seigneur des pays voisons qui ne rêvent que d'agrandir leur territoire ... tel que le Lancashire, se croyant tout de suite digne de porter la couronne alors qu'il n'a rien fait pour notre belle nation lorsque la troisième guerre éclata. Moi, Arthur, fils d'Edouard, héritier du trône d'Angleterre, je vous envoie ce message à vous tous mes frères d'armes, je ne me cacherai pas face à ces traîtres, je n'arrêterai pas ce combat, je préfère mourir en ayant tenté de protéger mon pays, que vivre sur des terres anglaises soumises à des étrangers. Le combat n'est pas fini mes frères, nous sommes peu nombreux, faibles, mais l'espoir n'est pas nulle ... montrons toute notre hargne ... moi je sais pertinemment que l'un d'entre vous vaut bien une dizaine de soldats ennemis ... ne vous rangez pas du côté du Lancashire qui essaye de souiller votre honneur en vous achetant, en vous offrant des terres à vos les nobles, mes frères. Il dit mon père fou, mais ouvrez-les yeux chers paysans, vous la base de notre belle nation, il propose des terres aux nobles mais vous vous n'aurez que les miettes et vous payerez des taxes pour des terres qui vous reviennent de droit ... En avant les anglais, que le soleil qui se lève soit rouge, rouge comme celui du sang de nos ennemis qui coulera sur nos terres pour le salut de nos frères."

1. Gall of Clay propose à ses alliés de délimiter un territoire provincial autour de Londres, qui resterait légtimimement aux Anglais.
2. Les autres terres seraient partagées en part égales entre les alliés.
3. Les anglais deviendraient vassaux de l'alliance Galles-Ecosse-Lancashire.

Cher Roi Gallois, je commence à comprendre pourquoi mon père vous appréciait tant.

La proposition que vous nous offrez là est très intéressante, et sachez que j'y adhère entièrement.

Il faudrait juste fixer les limites de nos acquisitions.

La position de l'Ecosse est bien changeante...
Dois-je rappeller ses premiers messages?

Citation :

Je le répète, notre but n'est pas d'envahir l'Angleterre, mais de la persuader d'abandonner sa guerre contre le Lancashire. Les terres Anglaises ne nous intéressent que très peu, nous voulons avant tout que nos alliés et nous mêmes soyons en sécurité.


Le Roi Mc Alan tient à faire passer un message aux habitants des régions occupées. Il veut dire que la guerre menée n'est pas menée selon une politique de conquête, mais dans un désir de survie. L'assimilation du Lancashire par l'Angleterre mènerait à un isolement de l'Écosse. De plus, l'Angleterre ne s'arrêterait pas là, et l'Écosse refuse de perdre à nouveau son indépendance.

Le Roi demande donc la compréhension des habitants Anglais, et assurent que leurs droits seront respectés si ils tolèrent la présence Écossaise sur leurs terres.

[HRP] La position de l'Ecosse est celle du Roi. Hors, comme tu as dû le remarquer, le Roi est MORT
Son fils a pris sa place, et rien ne dit qu'il va garder toutes les idées de son père. [/HRP]


Mon père n'avait pas tout à fait les idées claires concernant les Anglais.
Il me semble évident que l'idée proposée par la Galles est la plus adaptée à la situation.

"Des murmures se propagent dans les rues de Londres ... elles sont parvenues à mes oreilles, et elles ne sont que vérité. L'alliance des étrangers, soit-disant ceux ne voulant pas entendre parler de conquête, a décidé de découper notre beau pays en plusieurs morceaux. Mais tant que moi, Arthur, roi d'Angleterre, vivrait sur cette terre, je n'arrêterais pas le combat pour tout mes frères d'armes. C'est ensemble que nous allons reconquérir nos terres, c'est ensemble que nous allons faire couler le sang de ces traîtres. En avant mes frères, il est temps de se battre pour un monde meilleur où personne n'a de droit sur personne. Aujourd'hui nous allons nous battre pour nous, mais aussi pour donner un monde meilleur à nos fils. En avant mes frères, le combat n'est pas fini !"

La Cornouaille vous demande si vous l'avez oublié. Vous parlez de l'alliance Écosse-Lancashire-Galles, alors que sans la Cornouaille dit-elle, vous n'auriez pu vaincre l'Angleterre. La Cornouaille exige ses parts de territoires.

La Cornouaille aura sa part de territoires. Gall of Clay propose qu'elle dispose des territoires au Sud de l'artchipel, ce qui en fera dans le futur une pièce importante de la diplomatie avec le vieux continant.

Si c'était un simple oubli que de mentionner la Cornouaille, vous êtes entièrement pardonné par celle-ci, qui accepte les condition de la séparation de l'Angleterre.