Guerre de Poméranie (1203-1227)

1203

La Poméranie, dernière nation païenne de sa région, est une figure de résistance importante pour les peuples païens du Mecklembourg et de la Pologne. Cependant, la Poméranie a été victime d'une déclaration de guerre en cet an de grâce 1203. Grâce à ses réserves monétaires enviables, la Poméranie n'aura pas hésité à immédiatement offrir à quiconque et à n'importe quel prix une place au sein de ses armées. Malgré tout, les combats auront commencé lentement cette année, et aucune nation, ni la Poméranie, ni la Pologne ni l'Ordre Teutonique, n'a vraiment pris le dessu lors d'aucun combat jusqu'à présent.

1204

L'Ordre Teutonique progresse dans la région de Gdansk, où elle combat les milices locales sur ce plat territoire agricole. L'armée Poméranienne, confiante en la fierté païenne de la population locale pour assurer la protection du territoire, s'est davantage concentrée sur ses territoires chrétiens du sud-ouest du pays, où la Pologne maintient un front en mouvement. Cependant, avec presque toute la force de l'armée Poméranienne massée sur ce front, c'est la Pologne qui a eu davantage à craindre une perte territoriale cette année.

1205

Avancées modestes des troupes Teutoniques cette année, qui font face à des coupures d'approvisionnements et des embuscades perpétrées par une population païenne farouchement opposée à l'invasion. Les polonais ont, quant à eux, réussis bien mieux en occupant une grande partie des territoires Poméraniens polonophones, en repoussant l'armée Poméranienne en pleine restructuration. Des mercenaires grassement payés en provenance de Germanie risquent de changer la donne rapidement dans l'Ouest du front avec la Pologne.

1206

Certaines troupes Teutoniques quittant pour combattre en Lituanie, les peuples païens Poméraniens en ont profiter pour lancer leurs pires assaults contre les troupes chrétiennes depuis le début de la guerre. Assistés de l'armée Poméranienne, les réseaux de milices païennes ont délogé les Teutoniques de nombreux territoires que ceux-ci avaient récemment conquis. Le front se maintient stable avec la Pologne, alors que la Poméranie reprend un peu de ce qu'elle avait perdu l'an dernier. Les mercenaires germains sont redirigés vers le front avec l'Ordre Teutonique.

1207

Le recul des Teutoniques s'est poursuivit cette année. Massivement, les territoires que peu à peu les chrétiens avaient occupés sont grugés par les milices païennes. La Pologne peine toujours à repousser les troupes et mercenaires de Poméranie, le front entre les deux nations demeure stable, mais non pas dépourvu de combats.

1208

À la frontière de l'Ordre, un refoulement de troupes chrétiennes vu le support Rus à l'Ordre en Lithuanie a stoppé aux limites de la prusse l'avancées des païens. Bien que ceux-ci aient arrêté leurs avancées, l'Ordre Teutonique doit repartir à zéro en Poméranie. Sur le front polonais, la Pologne réussi quelques modestes avancées, mais l'armée slave n'a toujours pas pénétré la Poméranie historique.

1209

L'Ordre Teutonique n'a toujours pas pu remettre le pied en Poméranie, malgré les combats ayant eu lieu cette année. Heureusement, la Poméranie n'a non plus pas avancée d'un centimètre sur le front avec l'Ordre. La Pologne continue d'avancer lentement en territoires polonophones, se rapprochant de plus en plus de la vraie Poméranie. Jusqu'à présent, l'armée polonaise n'avait pas encore affronté des problèmes d'organisation, mais la situation semble tourner en ce sens. Les troupes polonaises n'ont pas depuis des décennies, voire même des siècles, participer à une guerre similaire, longue, contre un ennemi de calibre égal. Une telle situation met à l'épreuve les Polonais.

1210

L'Ordre Teutonique réussi toujours, à bout de force, à maintenir le front stable avec la Poméranie. La situation demeure très difficile pour les Teutonique, et contenir les Poméraniens n'est pas une tâche facile. Quant aux Polonais, ils cessent momentanément leurs avancées, bloqués par un nouvel apport de troupes fraîches de Poméranie et de mercenaires allemands récemment arrivés et bien payés par la Poméranie qui n'hésite pas à répandre ses larges réserves monétaires pour en arriver à ses fins.

1211

Les Poméraniens s'introduisent en territoire Teutonique. Que quelques communautés sont tombées sous contrôle Poméranien, simple oscillement du très stable front entre les deux pays, sur lequel les combats ne perdent pas en intensité. Les Polonais reprennent une lente avancée, quoique si lente que c'est comme si le front ne bougeait pas. Cependant, à force de petites avancées, c'est à la frontière de la Poméranie traditionnelle que les Polonais ont terminé leurs avancées à la fin de l'année.

1212

Les Teutoniques échouent à contenir les Poméranien davantage, et ceux-ci s'introduisent encore une fois un peu plus profondément en territoire prussien. La situation n'est cependant pas perdue pour les Teutoniques qui s'efforcent à maintenir deux fronts simultanément. Les Polonais sont stoppés en Poméranie, et reculent légèrement. Plusieurs polonais des territoires occupés soutiennent les troupes Polonaises, mais en contrepartie, les païens des territoires occupés font tout pour rendre la vie dure aux troupes Polonaises.

1213

Les Teutoniques endiguent cette année les avancées Poméranienne avec brio, permettant même de chasser la plupart d'entre eux de son territoire. Sur le front Polonais, stabilité pour cette dixième année de conflit. Les combats demeurent intenses sur tout le front Polono-Poméranien, et des milices et mercenaires des deux camps venant incessament s'ajouter aux troupes combattant fait persister l'égalité en terme de puissance entre les deux pays sur ce front.

1214

Les Teutoniques éprouvent cette année de graves difficultés d'organisation, la pression exercée sur le petit pays est prête à le faire flancher. Les Poméraniens ne relâche pas leur emprise pour autant, au contraire, ils sacrifient un peu du front polonais pour porter l'assault final et se débarasser des Teutoniques. Les Polonais progressent bien cette année, et réusissent à attaquer et envahir des communautés Poméraniennes à 100% pour la première fois depuis le début des hostilités.

1215

Les Teutoniques flanchent sur le front Poméranien, le recul est marqué et inexorable. Les Polonais, quant à eux, atteigne leurs avancées maximales. Ils sont forcés de stopper leurs bonnes avances de l'an dernier à cause de l'ajoute massifs de miliciens païens craignant de plus en plus l'invasion ennemie. La Bohême joint la Pologne dans son conflit avec la Poméranie, les troupes venant en renfort sur le front progressent actuellement dans la région de Varsovie.

1216

Les Teutoniques lâchent littéralement le front après leur implosion de l'an dernier. Leurs troupes combattent en retraite, et la capitale Teutonique, Memel, est menacée d'un siège. Les troupes Bohêmiennes arrivent sur le front Poméranien, ce qui change complètement la donne. Malgré les actions posées par la population locale, les avancées chrétiennes en Poméranies sont excellentes cette année, les meilleures depuis le début de la guerre.

1217

Siège de Memel. La Poméranie est coupée en deux par le front Polonais qui avec ses avancées spectaculaires de l'an dernier ont permis de joindre la mer Baltique. Il ne reste plus à la Poméranie que les côtes de la baie de Poméranie orientale, peuplée de païens farouchement opposés à l'invasion, supportés par les mercenaires germaniques, et la région Prusso-Poméranienne, où la population moins dense est moins patriotique, mais possède un meilleur appareil défensif. Le visage de cette guerre se met à changer, et à vive allure.

1218

Quinzième année du conflit en Poméranie. Memel est toujours assiégée, mais désormais encerclée, alors que les Poméraniens continuent leurs avancées modestement, car la plupart des troupes Poméraniennes ont été dépêchées d'urgence sur le front alors que la situation devient critique en Poméranie alors que les troupes Bohêmo-Polonaises ont divisé en deux le pays. À l'ouest, les milices assistées des mercenaires réussisent à repousser toute tentative d'invasion, allant jusqu'à mettre feu à leurs propres champs pour repousser les troupes ennemis. La Poméranie éprouve plus de difficultés à l'ouest, où l'ennemi progresse à vive allure. Instabilité chez les païens du Brandebourg, qui traversent la frontière en support aux Poméraniens de l'est.

1219

Chute de Memel. Arrêt des progressions sur le front Teutoniques, les avancées ennemies en territoire Poméraniens deviennent beaucoup trop inquiétante, et la riposte organisée par les troupes Poméranienne aura été loin d'être suffisante. Les Bohêmiens et les Polonais sont aux portes de l'avancée maximale que les Teutoniques ont eu en territoires Poméraniens. La situation demeure plus encourageante à l'Ouest, où, encerclés, les populations poméraniennes usent de toutes les possibilités pour éviter l'occupation, ce qui fonctionne assez bien jusqu'à présent.
La Poméranie propose la paix selon la situation actuelle du front.

1220

La Poméranie réitère sa propositon de paix, alors que l'Ordre Teutonique fait partie du passé à partir de cette année. Sur les rives de la baie de Poméranie Orientale, toujours la même résistance de la part de la population locale que doivent affronter l'alliance Bohêmo-Polonaise, qui échoue incessament toute tentaive d'avancées. À l'ouest, débandade pour la Poméranie, le duc fuit et les territoires sont pillés. Les troupes chrétiennes avancent rapidement, et sont sur le point de joindre l'ancienne frontière teutonique.

1221

Les troupes chrétiennes pénètrent en territoires de l'Ordre Teutoniques, où ils affrontent quelques milices Lithuaniennes sans vraiment se concentrer sur des avancées. Les populations Poméraniennes sous occupation s'appliquent à ralentir le plus possible les avancées et tentatives chrétiennes. À l'ouest, toujours impossible d'avancer pour la Bohême ou la Pologne.

1222

Les chrétiens pénétrènt massivement la Prusse sous occupation païenne. Soutenu par les catholiques locaux, la progression chrétienne, inégalée, est stoppée à la hauteur de Memel où les Lithuaniens ont commencé à tenter de renflouer la brèche dans leur front. Les païens de la Poméranie orientale continuent de tenir le coup, même s'ils semblent à bout de force, d'usure et de moyens pour continuer de mener leurs combats.

1223

Vingtième année de guerre en Poméranie. Un front stable près de Memel demeure entre les forces chrétiennes et Lithuaniennes, les combats sont rares et peu intenses cette année sur ce front. Rébellions païennes en Poméranie occupée, que les armées chrétiennes s'efforcent d'écraser. Toujours aucune progression à l'Ouest. Un enlisement serait en train de s'opérer sur les fronts, la situation est très difficile à gérer.

1224

Toujours aucune progression d'une part et d'autre sur chacun des fronts, les combats continuent malgré tout. Les rébellions qui avaient éclaté en Poméranie ont été rudement écrasée, alors que ce conflit commence à s'éterniser. Bientôt, la Pologne et la Lithuanie seront incapable de soutenir un front ou des fronts d'une telle ampleur, et la complexe stabilité actuelle s'effondrera de nouveau.

1225

Voila un nouvelle année sans progressions d'une part et d'autre. L'emprise devient de plus en plus insoutenable pour les païens de la baie de Poméranie, qui risquent de chuter à chaque instant, mais tiennent le coup contre les assaults répétés des troupes chrétiennes. En Prusse, les Lithuaniens tiennent le coup. Cependant, c'est l'armée Polonaise qui commence à flancher.

1226

L'enlisement atteint son paroxysme alors que pour une quatrième année consécutive, les troupes alliées comme ennemies font du surplace en Prusse, Memel en plein front complètement dévastée. Sur la baie de Poméranie, l'emprise chrétienne se fait sentir, mais la population résiste toujours. Tensions en hausse en Poméranie rurale, où la débandade Polonaise pourrait être utilisée contre les chrétiens lors de révolets.

1227

La guerre ne semble aboutir nulle part après 24 ans de combats. Presque un quart de siècle dont le tier aura été perdu dans un enlisement sans précédent, qui se sera poursuit cette année. Alors que les combats continuaient, de moins en moins intenses vu l'essoufflement de chaque camps sur les fronts inchangeants, des négociations de paix ont été sérieusement entâmées. Celles-ci auront abouti en fin d'année à un cessez-le-feu, bien accueilli par tout le monde, expection faite des païens de Poméranie centrale, qui désormais se verront devenir Polonais.

Message à la Hongrie,

Cher Hongrie,je vous propose de me rejoindre afin de contrer la Pomméranie.Elle est en train de l'emporter sur la Pologne.Si elle gagne elle deviendrait une menace pour nous.Éliminons l'ennemi et toute les menaces qu'elle ammener avec sa présence.

La Hongrie n'est pas convaincue. Elle doute que même avec la Pologne en plus la Poméranie puisse être une menace tangible.

Elle annexera un des pays de l'est!!Si nous voulons restés unies et fort c'est la chose à faire.Deplus nous perdrons un allié catholique un détriment d'un paien.Je vous en conjure aider-moi a vaincre cette ennemi et dison que j'aurai une dette envers vous.

Je profite de ce même post pour déclarer la guerre à la Pomméranie.

À vous seul, vous êtes assez puissants pour la vaincre, juge la Hongrie, qui doute de la pertinence de votre demande.

mais nous pourrions la vaincre plus rapidement et éviter trop de dégât.

Les dégâts sont déjà faits à ce que je vois; douze ans de guerre laissent des traces.

oui mais nous empecherons la pomméranie de pouvoir causé des revirements et de causé plus de dégât.

Vous manquez d'arguments, vous êtes très loin d'être convainquant.

Je sais que je ne suis pas très convainquant mais la Pomméranie pourrai causé plus de tord encore.La Frise a tenue bon a des attaques de ses adversaire pendant 31 ans et c'est sa que je veux éviter à tous pris.Si la situation s'enlise la Pologne et l'Ordre Teutonique seront annexés.La dette qu'ils auront entrainera une cessasion de paiemant et la situation commence a être alarmante car ils ont déja une dette.Deplus je risque aussi d'avoir une dette.

Actuellement, les rapports de force entre la Pologne et la Poméranie sont relativement égaux. Vous ferez pencher la balance avec brio, seul, et un enlisement est simplement impossible. Cependant, si la situation que vous décrivez en viendrait à ce produire d'ici 1220, je vous apporterai mon aide.

Je vous remercie.

Je vais consulter la Pologne pour en savoir plus sur les mesures a prendre que peuvent découlé de ce traité de paix.

Je ne pense pas que ce soit une bonne idée de faire la paix, nous devons détruire ce païen pour le catholiscisme et la Hongrie a promit de nous venir en aide car la guerre n'est pas encore finie. Mais si la Bohême veut se retirer, j'accepterai ce traité de paix.

Est-ce que l'un des deux partis voudrait l'aide de mon Glorieux Empire?
Si oui, qu'est-ce que j'ai en retour?

La Poméranie et la Lithuanie vous offrent l'île d'Elbing et une large portion de la Prusse ainsi que la restitution de votre ville côtière de Lithuanie si vous leur venez en aide!

De mon côter je décide de proposer la paix.

La Poméranie n'acceptera que si l'Union de Kalmar ne puisse leur venir en aide.

Je ne pourrais vous venir en aide

Je propose la paix avec les frontières actuelles.

La Poméranie et la Lithuanie acceptent.