Conquêtes Mongoles (1232-1260)

1232

Des rumeurs courraient depuis quelques décennies sur leur venue. Certains d'entre eux auraient semer la terreur en Orient et dans les vastes plaines Oghouzes et Coumanes, mais personne ne savait rien d'eux. La Géorgie aura goûter à leur médecine cette année. Ce sont des barbares sans pitié, inimaginablement nombreux, archers à chevaux, qui ont déferlé sur la petite Géorgie, prenant avec eux le nord du Mikvari. Le soutiens Seldjoukide a peiné à contenir l'ennemi, qui selon des témoins se compteraient par dizaines de milliers, voire même par centaines. Ces même barbares seraient actifs selon la rumeur en Perse et de plus en plus près des territoires Rus et Pechenegs.

1233

La Perse est totalement occupée, et des positions Seldjoukides jusque là sécuritaires sont désormais victimes d'attaques massives de ceux que l'on apelle les Barbares. L'Azerbaïdjan est occupé alors que la Géorgie est en plein massacre, les Géorgiens fuient par milliers vers Trabzon alors que l'Arménie Seldjoukide voit déferler sur son territoires les troupes de ce que l'on nomme les Ilkhanides. Cependant, en fin d'année, la situation semble s'être tranquilisée.

1234

Calme plat sur le front. Retrait des Barbares d'Arménie et du sud de la Géorgie, sans que des combats vraiment violents ne les y poussent. Des renforts Seldjoukides seraient sur la route. Les Byzantins auraient eu vent d'activités Barbares en Crimée, sans plus. Petit répis dont l'Europe Orientale peut profiter.

1235

Alors qu'à la frontière Seldjouko-Persique, les barbares semblent ne plus être menaçant, la Géorgie est passée proche de l'occupation complète alors que les barbares furent par milliers à déferler à travers une Arménie trop mal défendue pour faire face à l'invasion. L'Arménie fut entièrement occupée, jusqu'aux limites du Chaldea et de la Cicilie, isolant de par le fait même le Trabzon et faisant peser une menace sur Antioche. Les barbares pillent, massacrent et assouvissent tout sur leur passage. Les Seldjoukides sont en état de crise.

1236

Après la chute de l'Arménie l'an dernier, la situation en Asie mineure est pour le moins chaotique. Bagdad est menacée, et la vallée du Tigre est constamment pillée lors de raid barbares. La crise prend tout son sens un peu plus au nord, où la Géorgie a été complètement occupée cette année. Les Seldjoukides repoussent difficilement l'envahisseur dont les avancées technologiques et le nombre semble haut-delà de l'imaginable. Trabzon est sur le point de tomber, assiéger et attaquée de toute part. Le pire reste à venir; les Oghouzes et les Coumans tombent tout deux cette année. Passé le Moldau, les Oghouzes sont complètement ravagés par une hordre barbare réunissant un nombre d'hommes inimaginable. Les Russes furent heurtés de plein fouet, ils furent incapable de pallier à la situation, et durent battre en retraite. Le grand territoire Rus fut presque entièrement pillé et annexé, le centre du pays particulièrement touché, dont Riazan et Kolomna. Novgorod et le nord restent épargnés.

1237

Cinquième année de terreur en Europe. Les russes continuent d'y gouter, mais c'est à l'Europe de l'est que les craintes devraient être les plus fondée. C'est officiel, l'Empire Oghouzes, des frontières polonaises à l'Oural, s'est effondré. Les mongols de la Hordre d'Or sont conséquemment aux limites de l'Europe civilisée. Actuellement, petit répis en Asie mineure.

1238

Chute de Moscou, la menace pèse de plus en plus sur Novgorod et la Baltique. Frappes sur Badghdad, incursions et pillages dans la vallée du Tigre et de l'Euphrate. La situation des Seldjoukides est à un point critique, et le Rus demeure dans une situation encore bien pire en ce moment.

1239

Soumission des dernières tributs barbares du centre du Caucase. Désormais ayant plein contrôle sur la Transoxiane, les Barbares continuent d'impose leurs règles vers l'Est.

1240

Kiev tombe, c'est la panique jusqu'en Hongrie. Les dernières tributs Oghouzes isolées se réunissent sous l'égide du Royaume de Lithuanie. La dernière grande ville Perse fini par céder; Baghdad devrait craindre le pire.

1241

Les Barbares implantés dans ce qui fut les territoires Oughouzes n'arrêtèrent pas leurs avancées. Les Mongols sont inarrêtables, franchissent la Vistule et mettent à siège une Pologne qui sombre dans le chaos le plus total. Destruction des grandes villes Polonaises et pillages dans les campagnes. Les Hongrois ne sont pas épargnés et un raz-de-maré mongol emportent leurs régions rurales et leur capitale. Les troupes barbares massacrent tous leurs opposants, et de par leur nombre et leur avantages technologiques, ils demeurent inarrêtables. Après la Hongrie, ils ont commencé en fin de cette années leurs attaques dans le nord de la Croatie, allant jusq'aux limites des chaînes de montagne Austrio-Bavaroises.

1242

Voilà dix ans que les Barbares désormais communément appelés mongols ravagent nos terres. Après avoir ravagé la Croatie et la Hongrie qui est sous occupation complète, les Barbares atteignent la mer Adriatique et commencent des attaques simultanées sur la Serbie et les Pechenegs. Les Mongols resserent aussi leur étau sur le nord de la mer Noire, prenant le Cherson avec une facilité déroutante. En Asie mineure, les mouvements de troupes recommencent, les mongols prenant de l'avance en Cilicie.

1243

Invasion de l'Anatolie, les Seldjoukides sont repoussés sur les côtes de l'Égée. Chute des villes grecques côtières en importance, pillages et prise de tous les territoires de la Cilicie au Trabzon jusqu'au Lykia et près de Constantinople. En Europe, les barbares sont peu habitués à combattre dans ces territoires peu peuplés, parsemés de forêts et peu organisés. Leur avancées ont conséquemment largement ralenti, ils ont même relâcher leur emprise sur certaines régions hongroises, ont lancé de faibles assaults sur le Kärnten et des pillages au Brandebourg et dans les restes de la Pologne recluse en Silésie. Destruction totale de la région Pechenegs.

1244

Reculs barbares sur les côtes Adriatiques, cependant les assaults demeurent constants au Kärnten. Les barbares commencent à pénétrer le territoire Brandebourgeois, mais fortement timidement. Création de nombreux vassaux mongols en terres russes. Les assaults se sont arrêtés en Serbie. Les Seldjoukides font face à des rébellions grecques sur leurs côtes, ce qui sera leur arrêt de mort. La dynastie Seldjoukide s'est éteinte avec la destruction totale des dernières ruines du calife. Tensions à Baghdad, et progressions mongoles en Lithuanie.

1245

Pillages à Venise et au Kärnten. Profitant de l'ouverture proposée au Brandebourg, les mongols abandonnent l'idée d'un abandon des combats à cause de l'essouflement militaire grandissant et le manque d'expérience dans les terrains Européens, car maintenant, grâce à la Bohême et au Brandebourg, ils peuvent avoir sous leur égide des troupes européennes fraîche qui apporteront de leurs compétences pour gagner encore plus de terrain. Des combats éclatent en Poméranie, près de l'ordre Teutonique et aux frontières du Mecklembourg, alors que les Mongols prennent le contrôle des territoires récemment vassalisés. Révoltes germaniques plus à l'est contre le Brandebourg. Pillages en Bulgarie et en Mésopotamie.

1246

Vassalité Vénitienne, partout en Vénétie des mouvements de protestation éclatent, la population prend les armes contre les autorités royales vassalisées, et les mongols ne semblent pas en mesure de les aider pour l'instant, vu leur situation précaire sur l'Adriatique. Tout ce qui se trouve à l'est de la Saxe-Anhalt ne fait plus parti du Brandebourg, révoltent inopressées obligent. Les Mongols commencent à peine à prendre un véritable contrôle de la baie de Poméranie et à engager des combats valables au Mecklembourg. Ce sont cependant des troupes Bohêmiennes et Brandebourgeoises, pour leur expérience, qui combattent. Les Bavarois, en guise de risposte, approchent déjà rapidement de Prague. Les Mongols instaurent en états satellite de nombreux territoires russes.

1247

Bris de vassalité pour Venise, la situation dans le petit pays ne s'en trouve que plus chaotique, nombreux sont-ils à fuir vers l'Italie ou à faire du tapage en région par le biais de vandalismes, sabotages et pillages. Les troupes Vénitiennes peinent à maintenir Venise calme alors que la tension atteint des niveaux très importants. Cependant, la situation des Mongols au sud n'est pas si clémente, ils reculent actuellement en Croatie où le territoire montagneux et forestier leur donne des difficultés, mais aussi où les milices commencent à se mobilisées en grand nombre. Les troupes Serbes combattent les mongols d'égal à égal au sud de la Hongrie, tandis que les barbares ne pillent plus la Bulgarie faute de moyens. Siège de Prague, instabilité au Brandebourg et destruction des zones rurales Poméraniennes comme Mecklembourgeoises.

1248

Alors que les rébellions populaires se poursuivent un peu partout près du front, à Venise, dans l'ouest du Brandebourg comme en Croatie, les Mongols ont commencé cette année des opérations de pillage sur leurs propres terres, prélude probable à un retrait dans les années à venir. Un front se constitue près de la frontière Hongroise et Prague tombe aux mains des Bavarois. Les Mongols occupent presque entièrement la Poméranie et resserrent leur étau sur le Mecklembourg, où des troupes de l'Union de Kalmar débarquent massivement pour assurer un front stable. La Lithuanie se vassalise complètement aux Mongols, tandis que l'Ordre Teutonique se retrouve quasi-encerclée.

1249

Les Mongols se retirent de Croatie, pillent un peu la Bohême leur vassal, puis continuent leur retrait. Les Bavarois récoltent les territoires en passant derrière. Siège de Baghdad, pillages en Mésopotamie et en Aleppe. Chaos au Brandebourg, les Mongols continuent leurs attaquent près de la Baltique, mais pillent surtout et font du surplace. Les Mongols brûlent des dizaines de villages dans leurs retrait, et ce n'est que la désolation qui reste après leur passage. Essouflement global de la présence barbare en Europe, à l'exception de la région Polonaise où les Mongols demeurent très actifs. Occupation de la Poméranie et siège de Memel.

1250

Les Mongols continuent de se retirer lentement, laissant derrière eux une Hongrie dévastée divisée en de nombreux états satellites et des territoires inadministrés qu'une Croatie et une Bavière en faillite ne peuvent prendre en charge. Occupation de l'Ordre Teutonique et de Gdansk, les Mongols relâchent leur étau au Mecklembourg et reculent au Brandebourg face aux Germaniques. En Pologne, division territoriale en plusieurs vassaux. La Bohême, ce qu'il en reste, se dévassalise, et déclarant la guerre aux Mongols, est aussitôt victime d'attaque de son voisin vassal la Moravie. L'occupation du petit pays dévasté n'aura su tarder.

1251

Les Mongols seraient retirés jusqu'en Transylvannie, et commencent à abandonner leurs territoires en Anatolie et en Pologne. Le Brandebourg doit donc agir seul au Mecklembourg, les troupes danoises en profitent. Guerre civile entre vassaux en Pologne. Les Bulgares, assistés d'alliés orthodoxes, commencent des attaques dans les régions Mongoles du nord, anciennement Pechenegs, et récoltent les territoires avec aisance jusqu'au Moldau ou presque. Siège de Baghdad et invasion du Calife Abbaside.

1252

Cela fait désormais 20 années que les Mongols sèment le chaos dans le monde civilisé. Éclatement de l'Anatolie mongole en divers états autant orthodoxes que musulman. Les Mongols pillent se retirent aussi entièrement de la Pologne, qui elle est toujours sous le coup d'une sanglante guerre civile entre les différentes forces en présence. Le Brandebourg est mis à sac tandis que les Orthodoxes affrontent une résistance au Moldau.

1253

Les Ilkhanides recentrent leurs priorités au Moyen-Orient et occupent Baghdad tout en commencant des assault massifs sur la Syrie et Jérusalem. Les Mongols libèrent la Hongrie, en proie à des guerres intestines. Les Bulgares occupent rapidement les Oghouzes, tandis que les Orthodoxes peinent à continuer d'affronter un flux de mongols en plein retrait passant au nord du Moldau qu'ils occupent. Le Brandebourg est occupé par les Danois et les Germanique, les dernières enclaves mongoles en Europe Centrale se trouve au nord de la Silésie polonaise, et sont au bord de l'éclatement. Les Lithuaniens profitent du retrait mongol pour s'étendre, tout comme commence à le faire le Rus.

1254

Les Bulgares et leurs alliés stagnent et sont forcés de reculer au Moldau sous le coup des troupes Mongoles se retirant de Pologne. Le Royaume de Hongrie est reconstitué, mais de nombreux duchés rebelles subsistent. La région de Galicie est elle aussi en proie aux guerres civiles tandis que les Mongoles viennent cette année de quitter la région. Les Abbasides sont sous occupation tandis que les Ayyubides respirent un peu cette année.

1255

Paix fragile en Pologne. Le Royaume de Pologne n'occupe que le tier de son ancienne superficie, le reste appartient à des duchés hostiles les uns envers les autres. Les Mongols deviennent moins actifs au Caucase et en Arménie, tandis que leur retrait du corridor Moldau-Lithuanie continue de s'accentuer. La présence mongole la plus occidentale se trouve en Moravie.

1256

Les Mongols libèrent le Basrah et la Géorgie, mais pillent la Syrie et l'Aleppo. Les Bulgares réussissent l'occupation du Moldau, mais des attaques en provenance de la Basse-Galicie risque de comprometre leurs positions. Quant aux troupes de l'Union orthodoxe, ils progressent actuellement entre le Dniestr et le Dniepr. Des missionaires orthodoxes ont joint l'effort russe au nord pour reprendre les territoires mongols vassaux de la région.

1257

Les Mongols quittent la Moravie, et cessent tout contact avec leurs positions en Pologne et en Lithuanie. Ils sont désormais retirés de l'Arménie en entier, et font face à des révoltes des Alains, ce qui rend leurs positions difficiles au Caucase. Les Mongols réussissent toujours à maintenir les Orthodoxes au Moldau, et en guise de riposte à l'approche de la Crimée des orthodoxes, lieu qu'ils entendent bien défendre, des attaques ont été perpétrées sur la Théodosie. En Crimée, des missionaires ont été massacrées lors de violent combats avec les troupes Barbares.

1258

Les Bulgares continuent leurs combats face aux Mongols dans le nord du Moldau, toujours en surplace. Au terme d'un chaos total, un état unique se forme en Basse-Galicie. Les troupes de l'Union Orthodoxe joignent la Crimée et la Théodosie, les Mongols ne lâchent cependant toujours pas leurs attaques, désormais assistés des Khazars s'étant vus redonnés un statut important dans la région.

1259

La région de Kiev est en pleine instabilité, forces mongoles et rebelles locaux combattent et s'entremêlent dans le fouilli le plus total. Les troupes Bulgares peuvent ainsi faire une percée et accroître leur occupation au nord du Moldau. Cependant, les pressions de la Transylvannie font craindre le pire pour l'avenir du Moldau bulgare. Les combats continuent en Crimée, tous campent sur leurs positions. Les Mongols libèrent Baghdad, mais pillent la Galilée.

1260

Cessez-le-feu généralisé alors que les Mongols et les dirigeants militaires des autres nations essouflées par les décennies de combat en sont arrivé à un compromis. Les Orthodoxes ont atteint leurs objectifs tandis que tout le Rus est satellisé et que les Mongols redeviennent l'équivalent des Oghouzes d'avant guerre, territoires occidentaux en moins.

Je rapelle mes 35 000 sodats et je les envoies sur les Barbars et le reste de mon armée aussi, la totalité de mon armé sera sur le front, et dans ma nation je commence a avertir mon peuple de se préparer a se défendre, j'ignore si mes armées tiendront.

J'ordonne que la loi sur le service millitaire soit exécuté. J'ordonne que le peuple construise un réseau de tunnelle reliant tout le pays ou une bonne parti pour mieux nous défendre des mongoles. J'ordonne aussi que deux tranchées souterraines soientt construites sur la frontière est de mon pays. Les deux trancher devront être construites à 10 km de distance chacune. Des brindille devront être préparées pour faire effondrer et bruler ces tranchers et donc nous emprissonnerons une partie des mongoles dans un cercle de feu. Des archers seront poster à l'extérieur de la trancher la plus prêt de l'ouest. Des tunelles seront construit pour aller dans le cercle de feu pour ainsi envoyer des soldats armées ou citoyens armées tuer des mongoles. Aussi j'aimerais que les villes du pays soit modifié pour ainsi nous permettre de faire des embuscades plus facilement. J'ordonne qu'une épée et un arc avec des flèches soient distribuées à chaque homme de mon pays. Alors bonne chance à tous.

Si je ne m'abuse, la majorité de votre pays est sous contrôle ennemie, alors comment vous allez faire pour faire tous ça?

Non, mon pays est encore tout à fait entacte. Allez voir la carte des statistiques.

Allez voir https://europa-feudale.forumsrpg.com/guerres-batailles-f16/guerre-d-italie-1212-1232-t1621-60.htm

Mon pays n'est même pas sur la carte.

Eyalëts, c'était la description de bataille qu'il fallait lire, votre pays est en effet sous occupation.

En passant, message à tous les joueurs, Barbares s'écrit avec un "e" à la fin.

J'envoie 25 000 troupes pour supporter Seldjoukide contre les barbares

Pas tout le pays allors nous allons prendre le peu qu'il nous reste. Les mongoles s'occuperont des barbares et nous nous nous protégerons.

Êtes-vous toujours en guerre contre la Croatie, si oui, je vais vous envoyer un grand bataillon.Veuillez me répondre svp

Oui, il l'est, il est même sous occupation!
Ordonnez au bataillon de partir tout desuite si vous voulez sauver Eyalëts et l'empêcher d'être annexé par la Croatie, la Hongrie et autre.

J'ordonne un départ immédiat pour un bataillon de 10 000 troupes.

Aller voir mon plan de bataille ou sinon demander le à empire byzantin. Merci de cette initiative, car j'en aie grandement besoin pour me défendre contre les mongoles.

Empire Byzantin a écrit:

Oui, il l'est, il est même sous occupation!
Ordonnez au bataillon de partir tout desuite si vous voulez sauver Eyalëts et l'empêcher d'être annexé par la Croatie, la Hongrie et autre.

Et voilà, il se met a collaborer avec les musulmans, c'est pathétique.

C'est un orthodoxe, il n'est pas sous l'influence papal.

Oui, peut-être, mais l'Italie, les Francs et les autres alliés sont purement chrétiens. S'allier à des personnages tels que vous, que ce ne soit que par intermédiaire, est de la pure traitrise ! Surtout quand on voit les refus du pape à être aidé par... vous.

Moi je veut surtous pas aider franc, j'aide Eyalet c'est différent.

Je demande l'opinion des chrétiens.
Devrons nous aller aider seldjoukide???Bien sur cela serait pour sauver notre peau.

Et la votre, plus particulièrement. Assumez votre allégeance à une guerre d'un mauvais camps, et combattez du mieux que vous pouvez. Priez aussi.

Hélvétie tu dois comprendre que notre guerre ne s'arretra pas avant l'arrivé des mongols ils vont arriver et n'auront plus qu'a nous bruler vif.Je croix bien que les mongols seront bien pire que les musulmans.

Francs a écrit:

Je demande l'opinion des chrétiens.
Devrons nous aller aider seldjoukide???Bien sur cela serait pour sauver notre peau.

Si vous faites cela, je vous excommunie.

Des paroles de traitre à sa foie, rien d'autre ! Que les musulmans se débrouillent, ils ne méritent que cela. Nous n'auront qu'à exterminer le reste par nos propres forces.

Je ne veut pas de votre aide, s'est de celle Byzantine et des autres grec que je désire occuper vous de vous défendre de votre bort.

Les Mongols se sont retirés. Je demande de l'aide aux Seldjoukides face aux Croates et aux Serbes.
Non pas par rapport à moi, mais par rapport à leur allié musulman, Eyalëts. Il se doit de lui porter secours.

Quand au Pape... Depuis le schisme de 1054, nous nous sommes excomuniés réciproquement, je ne suis plus sous votre autorité mais sous celle du Patriarche de Constantinople, savez-vous...