Guerre de Transylvannie (1264-1272)

1264

En cet an de disgrâce 1264 coïncide le début de la guerre entre la Bulgarie et la Transylvannie ainsi de la riposte armée des indépendantistes du Moldau et de Valachie. Attaqués de toute part par les armées ennemies comme par les milices locales, les troupes bulgares ont eu peine à établir une stratégie. C'est ainsi que le territoire Transylvanien fut épargné, tandis que les rébellions Valaques furent sévèrement écrasées, et étant plus au nord, le Moldau put déclarer sécession.

1265

Les Bulgares changent d'objectif premier. C'est la Transylvannie qui sera désormais la cible du gros des attaques. La région rurale en question fut rapidement prise par les nombreuses troupes bulgares occupant facilement ce type de territoire dont ils ont pris l'habitude d'occuper facilement. La Valachie demeure soumise alors que le Moldau profite de ce temporaire sursis pour mieux s'organiser.

1266

Avec l'occupation complète de la Valachie et de la Transylvannie, la présente guerre se concentre sur un seul et unique front, celui du Moldau. Nombre de Valaques et de Transylvanniens ayant pris les armes ont trouvé refuge au Moldau, ce qui fut toutefois insuffisant pour endiguer l'afflux de troupes Bulgares. Le Moldau est cette année à moitié occuper, mais les combats demeurent continus et intenses entre les troupes de la Bulgarie et les Milices rebelles.

1267

Les Bulgares continuent leurs progression dans le territoire du Moldau, où la population s'est mobilisée massivement pour aider les milices rebelles. Les Bulgares avancent, n'affrontant que des oppositions moribondes, mais les obstacles se plaçant sur leur chemin ralentissent considérablement leurs avancées. Embuscades et attaques de nuits sont de mise, routes piègées sont règles dans ce territoire marécageux et morne qu'est le Moldau.

1268

Les Bulgares réussissent à dépasser les deux grands fleuves, et les troupes du Moldau, forcées de se replier, doivent compter sur le nord de la Crimée et les berges de l'Azov pour les acceuillir. C'est l'implosion de la rébellion du Moldau. Profitant d'une certaine accalmie plus au sud, les Valaques et les Transylvanniens recommencent à se former des groupes de miliciens, quoique la situation demeure marginale pour l'instant.

1269

Par la frontière Criméenne, un support technique comme matériel en provenance des Byzantins renverse la tendance. Les rebelles du Moldau réfugiés au nord de la mer Noire sont maintenant réapprovisionnés à pleine capacité, et devant des troupes Bulgares en plein retrait pour laisser la place à des conscrits, le Moldau a réussi des avancées très bonnes cette année.

1270

Afflux d'aide venant de toute part en support aux Bulgares comme au Moldau. Le Khanat Nogai pu en peu d'efforts prendre contrôle de la bande de terre se trouvant au nord de la Crimée, et ce avec une violence défiant l'imagination. Les milices Bulgares quant à elle ont pu contenir le Moldau, mais seulement relativement, dans le Moldau historique principalement.

1271

Galych et Kiev joignent leur effort pour le Moldau. Ils se buttent rapidement aux forces du Khanat Nogai, qui au lieu d'avancer en terres du Moldau combat les troupes Russes aux frontières du Galych. Au Moldau, toujours aucune progressions chez les Bulgares comme chez les Moldaves. Le tumulte reprend de plus belle en Transylvannie, la poignée de troupes bulgares étant stationnée là ne peut contenir la nouvelle vague de révoltes. C'est toujours calme chez les Valaques.

1272

Le Moldau obtient officiellement son indépendance de la Bulgarie, ce qui met conséquemment fin à la guerre de Transylvannie avec un appaisement général des tensions. Les combats se déplacent vers le nord, où le Khanat Nogai, le Galych, Kiev, le Rus et la Pologne-Lithuanie entâment un affrontement.

J’aimerais que les généraux de mon armée se concentre davantage à éradique les troupes Transylvanienne en débit des milices peut-être nombreuses mais inefficaces du Moldau. De plus, maintenant que la Valachie est sous contrôle bulgare pour de bon, j’offre au Moldau un cessez-le-feu s’ils laissent tomber leurs idéaux nationalistes. Les dirigeants se feront épargner l’exécution sur la place publique. Il est évident que sans les Valaques leur cause en est une perdue.

L'auto-proclamé duc du Moldau refuse un cessez-le-feu, affirmant être encore loin de la défaite.

Serait-il possible, je comprendrai si vous ne pouvez le faire, d’approximer le nombre de miliciens du Moldau, de Valachie et de Transylvanie s’il-vous-plait.

Il serait effectivement difficile de le faire, sachant que la plupart d'entre eux combattent passivement (Seulement lorsque l'ennemi atteint leur région) et les effectifs organisés ne sont pas constants. Ils peuvent être entre 10.000 et 50.000 selon le moment ou les estimations.

Seraient-ils toujours enclin à m’écouter si je leur propose un marché dans lequel ils retrouveraient leur autonomie sur leur affaires intérieures seulement? C'est juste pour savoir...

C'est l'indépeance ou rien. Libérés des Pechenègues, des Coumans, puis des Mongols, ces peuples tentent véritablement le tout pour le tout.

Donc oublions cela.

Les Moldaves ne gagneront pas aussi facilement. Un jour, des renforts arriveront et leurs milices ne pourront plus les contrer. La situation ne restera pas comme cela indéfiniement.

Est-ce que les débuts de révoltes Valaques et Transylvaniennes ont bel et bien été détruits par mes soldats au passage? Au moins, j'espère que leur cas est définitivement réglé pour que je puisse me concentrer principalement sur un ennemi à la fois.

On n'en parle plus dans la description de bataille, conséquemment elles n'auront été qu'éphémères.