1287
Chute de Constantinople, événement majeur et imprévisible sachant que l'Alliance Bulgare semble clairement en perte de vitesse. La mauvaise répartition des troupes Byzantines, trop peu nombreuses dans leur capitale face aux nouvelles stratégies Bulgares, serait la cause de la chute d'une des villes les mieux défendues d'Europe et d'Asie. Le Chaos gagne tout le centre Bulgare, que seuls des milices défendent toujours. Les troupes Bulgares s'efforcent difficile de contenir les troupes ennemies hors de Thrace. La Livonie et la Lithuanie sont toujours en état de guerre civile, tandis que le Nogai fait des percées importante au Galych et au Moldau. Les rébellions musulmanes foisonnent en Anatolie ce qui perturbe quelque peu l'organisation des Byzantins.
1288
Les Bulgares mettent le pied au Nikomedeia, où les musulmans les acceuillent comme libérateur sachant la position critique d'encerlcement que vivent les musulmans au Nikomedeia. Les Byzantins pénètrent de plus en plus la Thrace, faisant craindre le pire aux Bulgares qui commencent à perdre tout leur pays au profit des Serbes. La Cilicie profite de la nouvelle vague de rébellions pour reprendre l'avantage sur le front. L'Erzerum recommence ses activités de supports aux rebelles, les Géorgiens recommencent à avancer constamment sur leur front avec les Musulmans. Le Chaldea tombe entièrement aux mains des Byzantins. Le Moldau et le Galych sont sous contrôle Nogai, les troupes de Kiev sont entièrement concentrées sur le Nogai, qui commence à reprendre contrôle de territoire Bulgares au nord. C'est toujours l'impasse en Lituanie et en Livonie, où l'ampleur de la rébellions et sa violence dépasse tout entendement.
1289Situation quelque peu étrange cette année. Constantinople est en venue à être à nouveau assiégée, mais cette fois l'attaquant est Byzantin et l'occupant est Bulgare. La Bulgarie est complètement occupée, si l'ont met de côté les avancées Nogai dans le nord de cette dernière. La population Bulgare révoltée n'est cependant pas encore totalement maitrisée. L'impasse se poursuit en Lituanie et en Livonie, tandis que les troupes Moscovites joignent leurs efforts à celles de Kiev au Galych. Les musulmans recommencent à perdre leur avantage en Anatolie.
1290Les Bulgares postés à Constantinoples maintiennent leurs positions, et l'espoir que les musulmans leur viennnent en aide par le Nikomedeia est révolu, le recul musulman et Cilicien redevient inquiétant pour ceux-ci. Les révoltes en Bulgarie s'essoufle, tandis que le Nogai faisant du surplace au Galych avance en Bulgarie au niveau de la Transylvannie. La Livonie est presque tombée sous occupant Rus, mais tient toujours fasse à l'envahisseur comme la Lituanie le fait, de manière presque surhumaine vu les rapports de forces actuels.
1291Voilà vingt années que cette guerre qui aura couté la vie à des centaines de milliers de personnes perdure. Les Bulgares encore à Constantinople sont plutôt prisonniers de l'enceinte de la ville plutôt que grands défenseurs de la ville la plus grande d'Europe. Leur situation sous les bombardement est constamment plus précaire. Les Byzantins débarquent en Crimée pour reprendre celle-ci sous occupation Nogai. Ces derniers réussissent toujours à contenir les Russes et repousser les Serbes en Bulgarie, ce qui ne saurait durer vu l'arrivée incessante de renforts Byzantins. Revirement de situation en Lituanie où une nouvelle vague de révoltes repousse l'envahisseur.
1292Les musulmans sont repoussés au niveau du Chaldea et de la frontière de l'Erzerum, siège d'Adana. La Byzance Bulgare est sur le point de céder, le Nogai stoppe ses avancées en Bulgarie pour contrer l'ennemi faisant pressions en Crimée et au Galych, où les pertes commencent à inquiéter le Nogai. Les Rus sont en difficutlés face aux Lituaniens, comme les Polonais le sont. Les rebelles païens ont pu repousser l'ennemi encore une fois cette année, en empiettant même un peu sur le territoire Prusso-Danois.
1293Constantinople tombe aux mains des Byzantins dans un bain de sang et de combats acharnés. La Bulgarie n'existe plus à titre officiel, seul le Khanat Nogai combat toujours sous son égide, reculant dans le nord Bulgare pour affronter les Russes toujours plus nombreux à riposter au Galych et les Byzantins en Crimée ainsi que pour garder stable le Moldau. La Cilicie est en situation critique alors que le siège d'Adana se poursuit. Recul des musulmans cette année encore.
1294Le front avec les Serbes est stable en Bulgarie. Le Moldau est toujours hors d'atteinte tandis que le Nogai maintient ses précaires positions au Galych alors que les combats sont toujorus plus intenses. En Crimée, les Byzantins ont repris toute l'île ou presque, alors que le Nogai commence à riposter. Les Ilkhanides portent secours à l'Erezerum, qui enchaîne les bourdes et se retrouve au tier occupé par les Byzantins et les Géorgiens. Chute d'Adana, le roi de Cilicie se réfugie à Chypre.
1295Cessez-le-feu entre les Byzantins et le Nogai. Le Nogai retire toutes ses intentions d'attaques en Bulgarie, et ne fait que répondre aux seules attaques Serbes. Enlisement au Galych, les combats atteignent des sommets. En Anatolie, reprise musulmane assez sérieuse, qui n'aura toutefois pu empêcher la douloureuse et rapide chute de la Cilicie.
1296C'est l'impasse au Galych, qui, toujours scindé en deux, est dévasté par une guerre aux proportions extraordinaires. Le support Ilkhanide permet aux musulmans d'Anatolie de se reprendre en mains et à repousser les Byzantins du moins de l'Erezerum, que les Ilkhanides se sont empressés d'annexer. Une telle situation pourrait se reproduire au Moldau où le Nogai a des visées. Ce fut la vingtième année de ce sanglant conflit.
1297Le Khanat Nogai réussit à prendre les devants au Galych face aux Russes, désormais libérés de la pression Byzantine, le réogranisation du Nogai fait des miracles. Le Moldau a été annexé par le Khanat Nogai. Vague de révoltes musulmanes en Anatolie, des émeutes à Constantinople et à Ankara ont semé le trouble tout au long de cette année. Les musulmans progressent tout particulièrement rapidement en Cilicie.
1298Pour toutes les armées, l'essouflement est visible. Cette guerre traversera-t-elle les siècles se demandent plusieurs avec raison. Le Nogai avance lentement au Galych, les combats demeurent d'une intensité exceptionnelle, depuis la constitution de ce front plus d'une centaine de milliers sont morts autant dans les combats que dans d'autres tentatives de sabotage et de massacres. Un front commnence à s'installer en Anatolie, à la hauteur d'Ankara. Les Byzantins combattent férocement, et ralentisse la poussée Ilkhanide Musulmane. Les Mongols aident leur satellite Nogai en pillant irrégulièrement la principauté de Moscou.
1299La Galych est toujours sous le coup d'attaques répétées et vaine vue la stabilité du front. Les Mongols ont étendu leurs pillages au Rus, des villages sont brulés, ses habitants dépossédés puis massacrés. Et l'armée Moscovite ne peut agir, étant occupée par le Nogai plus au sud. Siège d'Ankara, les musulmans avance peu, mais des renforts Ilkhanides arrivent par dizaine de millier par l'Erezerum.
1300Cessez-le-feu avec le Khanat Nogai selon certaines conditions. La guerre est finie dans le nord. Cependant, cela n'eut empêcher la Grande Guerre Orthodoxe de traverser les siècles. Ankara tombe aux mains des musulmans, qui profitent de cette déstabilisation des Byzantins pour déferler jusqu'au Lykia. Au Nord, les avancées sont lentes et difficiles, le Chaldea est encore hors de la portée des musulmans.
1301Les renforts Byzantins qui affluent vers l'Anatolie stoppent momentanément les musulmans grâce à des combats à l'ampleur inimaginable impliquant des dizaines de milliers d'hommes. L'Anatolie est divisée en deux, et la guerre atteint son paroxysme, à la hauteur d'Ankara. Chute du Chaldea. La Géorgie est en difficutlés dans ses territoires Arméniens.
1302Situation de crise en Géorgie, le coeur de la nation est maintenant atteinte par des combats de plus en plus violents. Le Trabzon tombe à son tour, mais sur le front le plus majeur, celui qui scinde le coeur de l'Anatolie, l'égalité des forces et des appuis mène à une stabilisation du front.
1303Siège de la capitale Géorgienne, fuite des commercants de Trabzon et de Géorgie vers la Crimée. Pillages et massacres en Géorgie. Une vague de renforts Ilkhanides brise la stabilité qui avait gagné le front Anatolien, permettant une importante percée au Lykia, la prise d'Ankara, allant jusqu'à permettre aux musulmans le siège de Smyrne.
1304La Géorgie est toute occupée ou presque, à l'exception de quelques territoires Ossètes et Abkhazes. Catastrophe pour les Byzantins sur le front, alors que les renforts Orthodoxes tardent à arriver, se précipitant à la traversée de la Bosphore l'armée Byzantine en entier ou presque. Les musulmans resserent leur étau en approchant d'Abydos et du Nikomedeia. Cependant, les musulmans n'ont pris aucune île jusqu'à présent, et beaucoup d'Arméniens ont fuit vers Chypre et de Byzantins vers Rhodes.
1305Après avoir traversé la Méditérranée, s'être réorganisées aux Balkans, les fragiles armées Françaises sont enfin arrivées entièrement cette année sur le front. L'afflux de renforts Byzantins transitant par Constantinople a mis un frein aux énormes avancées des musulmans des dernières années, enfin un front stable pu être tenu cette année malgré la situation qui demeure critique pour les Orthodoxes.
1306Alors que les Byzantins purent progresser dans les territoires grecophones côtiés de l'Égée, ils ne purent empêcher une progression ennemie au Nikomedeia. En regardant le tout dans l'ensemble, le front oscille, tout simplement, alors que les combats s'intensifient d'une par et d'autre, et de par la même occasion s'enlisent un peu plus.
1307Cette année fut particulièrement bénéfique pour les forces Orthodoxes. Grâce à des forces Franques ragaillardies et des renforts pleinement présent en Anatolie, les forces musulmanes attaquant violemment sans véritable organisation furent forcées cette année de reculer face à l'ennemi, mais ce de manière trop peu importante pour être significative à long terme. Un enlisement semble de plus en plus se dessiner.
1308Cette guerre égalise le record de la guerre la plus longue des 4 deniers siècles. Un an de plus et le nouveau record est fixé à 38 ans. Les combats continuèrent cette année, mais d'une part et d'autre l'équivalence des forces fut insuffisant à faire bouger le front. Pour compenser l'arrivée des renforts Byzantins, encore plus de milices musulmanes venant aussi loin d'Arménie sont mobilisées pour contenir l'ennemi. Actuellement, le Lykia est le principal objectif Byzantin.
1309 Nouveau Record Basrah recommence les combats, désormais assisté d'un État Satellite se trouvant dans ce qui était il y a quelques décennies à peine la Cilicie. Les Byzantins progressent lentement vers le Lykia, ailleurs les combats ne mènent qu'à perpétuer une impasse. Arrivée de renforts Azerbaïdjanais. La situation économique déplorable des Byzantins commence à affecter l'approvisionnement.
1310 Les renforts musulmans sont arrivés sur le front cette année, donnant momentanément l'avantage aux musulmans. Ces derniers engloutirent ce que les Orthodoxes avaient peiné à reprendre au cours des dernières années. Les combats recommencent à se transporter près d'Abydos et du Nikomedeia. Les troupes Byzantines se repliant se concentrent donc en direction de Constantinople, donnant lieu à des combats encore plus intenses et constants.