Troisième Guerre du Nord (1302-1316)

1302

Après moult décennies de paix, le grand nord Européen retombe dans un état de conflit. Les bélligérants sont le Saint-Empire et la France, qui affrontent l'Union de Kalmar dans le grand nord. Dès le début de la guerre, une attaque surprise dans les territoires Dano-Mecklembourgeois de l'Union partageant ses frontières avec le Saint-Empire furent victimes de vigoureuses attaques. Les troupes de l'Union n'y étaient pas positionnées, le Saint-Empire étant considéré comme un allié, rien ne laissait présager de telles attaques. Des troupes Françaises progressent en renfort en Lorraine actuellement. Les Germaniques ont atteint la Baltique, et ont pu prendre le Danemark jusqu'à la hauteur du Sjaelland. La panique prend les commercant de l'Union qui commencent à fuir. La plus grande puissance économique et commerciale d'Europe commence à être ébranlée sérieusement.

1303

La guerre se poursuit cette année, alors que la confusion est semée en Saxe parmi les troupes Françaises se trouvant avec des ordres contradictoires lancés en l'espace de quelques mois seulement. Les généreaux Français commenceraient même à faire des plans à ce sujet. Venise et la Pologne joignent les rangs Germaniques, tout comme une panoplie de nation païennes du portour de la Baltique. Siège d'Alborg au Danemark, combats maritimes féroces au Sjaelland entre l'impressionante en nombre flotte de l'Union et les lourdement armés paquebots Germaniques. Le Lolland est cependant occupé par le Saint-Empire, qui pu déloger l'Union du Mecklembourg, chose faite rapidement par la Pologne en Poméranie. Batailles au Suomi et en Prusse.

1304

Les territoire de l'Union situés hors-Scandinavie, donc au sud de la Baltique, désormais sous occupation ennemie, le furent facilement à cause non seulement de leur faible protection et d'une répartition des troupes peu prévoyante à l'endroit d'une telle guerre, mais aussi que les armées de ces territoires une fois en difficultés se retrouvent face à la mer, situation très précaire. La Lituanie et la Pologne réussissent à s'occuper de la Prusse en quelques instants, Memel est toujours assiégée. Chute d'Alborg et de la Fionie et débarquement Germanique réussi au Sjaelland, les combats se transportent de plus en plus près de Copenhague. Le Suomi est en difficulté, les combats se rapprochent rapidemnet de Turku. Vague de révoltes Suédoises au Svealand. Débarquements Vénitiens sur les côtes Croates laissées sans défense par une armée absente.

1305

Chute de Memel et donc de la Prusse Danoise. La Pologne se retrouve incapable d'attaquer son ennemi, désormais bloquée par l'océan et une flotte absente. Féroces combats maritimes entre les îles danoises, causant de nombreuses pertes dans les rangs Germaniques, ce qui fut toutefois insuffisant pour contrer leurs avancées au Sjaelland leur ayant permis de lancer le siège de Copenhague. Chute du Suomi; siège de Turku et massacres parmi les populations danoises. La riposte armée de l'Union fut insuffisante face au raz-de-marée ennemi. Les Suédois continuent leurs activités de rébellions malgré la répression dont ils sont l'objet par les troupes de l'Union. Les forces Vénitienne ont déferlé sur les côtes Croates, entre les îles et les côtes, la Croatie fut cette année complètement coupée de l'Adriatique.

1306

Copenhague est toujours assiégée, les combats sont féroces, des renforts de milices Danoises arrivent d'un côté tandis que de l'autre des forces Germaniques décimées par les combats maritimes débarquement massivemnet pour soutenir le siège. Dans le reste du Danemark, outre les difficutlés d'ordre nautique, le Saint-Empire assouvit son contrôle de ces territoires. Les massacres de danois se poursuivent au Suomi, tandis que les Suédois sont si violemment réprimés au Svealland que leur tentative de révolte échoue bien rapidement. Arrivée massive de troupes et de milices en provenance de Norvège pour protéger le Smaland, logiquement la prochaine victime du Saint-Empire. L'hiver rigoureux de cette année aura empêché de bien bonnes progressions au nord. Les Vénitiens, face aux miliciens Croates largement mobilisés, peinent à sortir de leurs côtes occupées, les montagnes défendues par ces paysans armés étant difficilement prenable vu l'éparpillement des troupes Vénitiennes.

1307

Cinquième année de guerre en Scandinavie. Chute de Copenhague, encerclement de plusieurs navires Danois réquisitionnés par l'armée Germanique. Le Danemark est totalement sous controle du St-Empire, à l'exception du Skäne étant toujours sous contrôle de l'Union de Kalmar, par contre des débarquements y sont déjà planifiés. À Bergen, l'on réclame la proclamation d'indépendance du royaume de Norvège. Les Suédois lancent à nouveau une tentative de rébellion fragile. Aucune avancée significative pour les Vénitiens en Croatie, ces derniers pouvant à peine conserver la côte face aux attaques de milices déferlant des hautes montagnes Croates. Au Nord par contre, Venise avance inéluctablement.

1308

Les troupes du Saint-Emprie réussisent difficilement un débarquement au Skane, et même là les avancées en découlant furent minimes, et les troupes Germaniques demeurent fortement en état d'instabilité donc sont mals ancrés au Skane. Les renforts Norvégiens furent responsable de cette minimisation des avancées ennemies, pouvant bientôt être contrées grâce à l'arrivée imminente de renforts Germaniques en provenance du Jutland et du Mecklembourg. Venise peine toujours à prendre quelques territoires Croates, à cause de la mobilisation pour venir en défense au Sud menacé les forces de l'Union de Kalmar ne peuvent plus endiguer les révoltes Suédoises.

1309

Alors que les eaux entourant le Danemark commencent à tomber sous la suprématie Germanique, les troupes du Saint-Empire avancent lentement au Skane, l'arrivée constante mais lente de renforts réussisant à donner une supériorité au Saint-Empire face aux troupes ennemies. Malmö est depuis longtemps tombée. En Croatie, Venise sort de l'impasse alors que la défense Croate est déstabilisée par une attaque de la Hongrie, dont les troupes déferlent déjà dans les régions rurales de la Croatie,

1310

Siège de Zagreb, grâce aux avancées Hongro-Vénitiennes la Croatie se résume désormais à quelques enclaves instables de taille plus ou moins grande éparpillées un peu partout dans le coeur montagneux de la Croatie. Les milices ont d'ores et déjà perdu tout espoir de victoire et combattent en retrait. Le Smaland est sous occupation Germanique, malgré l'afflux toujours plus important de milices se portant à la défense de l'Union. Cependant, les hivers rigoureux de Scandinavie risquent potentiellement de causer problème à court terme aux armées du Saint-Empire.

1311

La Croatie n'est plus. Son excommunion n'aura été que le coup de grâce à cette nation déjà aux trois quarts occupée. Les combats gagnent en violence au Smaland, où les troupes Germaniques commencent à arriver en grands nombre pour la première fois au cours de cette guerre. La flotte Danoise a été mise hors d'état de nuire, et un couloir maritime permet de porter renforts aux positions du Saint-Empire. Débarquement sur Öland.

1312

Débarquements au Gotland et siège de Stockhlom. Des combats ont lieu près de la capitale, Visby. L'avancée Germanique semble plafonnée à l'approche du Svealand, où les Suédois les acceuillent en libérateurs. Déjà, l'Islande souhaite déclarer son indépendance, les Iles Shetland, Féroés et Orkneys n'aurant pas tardé à exprimer le même désir, comme songe le faire le Royaume de Norvège pour éviter de subir le même sort que la Suède et que le Danemark. Révoltes opprimées au Danemark. L'Union de Kalmar, malgré son prestige et son unité, est au bord de l'éclatement après 10 années de cette terrible guerre.

1313

Siège de Visby, tournant significatif dans cette guerre, moment clé de l'invasion de l'Union, sa capitale. Les forces défensives positionnées à Visby ne sauront tenir longtemps face aux assaults ennemis, mais la volonté de l'Empereur à rester parmi les siens fait qu'il n'a toujours pas quitté le Gotland en proie aux attaques et débarquements Germaniques. Les révoltes sont toujours opprimées au Danemark, tandis que le siège d'Oslo devient imminent et que Stockolm chute. Proclamation du Royaume de Suède à Goteborg, sous controle Germanique.

1314

L'hiver fut fort désastreux pour les troupes Germaniques, encore peu habituées au climat très rigoureux de la Scandinavie. Visby est tombée, l'empereur se cacherait dans la petite ville, mais rien n'est sur. Le siège d'Oslo est retardé. Les Germains bloquent toujours au Svealand. La Norvège est face à un dilemme de taille; sauver leur peau en se déclarant indépendant, ou rester symboliquement et pour l'honneur au sein de l'empire qui à porter la Norvège à son apogée, empire auquel la Norvège et les Norvégiens sont très attachés.

1315

Le Royaume de Norvège est proclamé à Bergen, suite à la récente proclamation d'indépendance du Royaume de Suède il y a de cela deux ans. L'Islande, les Féroés et les Shetland joigneront le Royaume Norvégien, qui, au contraire du royaume Suédois, n'est pas sous occupation Germanique, et peut donc assumer ses pleins pouvoirs souverains. Ne reste plus de l'Union de Kalmar que le sud du Norrland.

1316

En Quatorze ans, un Empire centennaire à la puissance difficilement estimable, a été poussé à bout par un ennemi encore plus puissant, et sans même subir une occupation totale s'est vu complètement anéanti. Pour débusquer l'Empereur, Visby fut rasée. Ce dernier fut ainsi découvert caché avec des familles Danoises dans un sous-sol, et fut pendu sur la place publique à Copenhague le mois suivant. Le Saint-Empire ayant finalisé sa tâche, il se retirera des terres Scandinaves en ne gardant que l'intégralité du Royaume du Danemark. Le Smaland dano-suédodophone obtiendra quant à lui une satellisation Germanique.

Quel malheur pour nos alliés !

Il faut se ressaisir, rapidement reprendre le Dannemark...

Si le Roi de l'Union de Kalmar le veut bien, l'Empire Celtique peut l'accueillir dans la ville de Edimburg, en attendant que le conflit soit réglé.

Je suis le roi de mes terres, je dois vivre quand mon empire vit, et mourrir quand mon empire vit, voila mon rôle. Je remercie votre offre, mais mon peuple ne pourra s'enfuir, il en est normal que je dois vivre les atrocité qu'il se passe dans mon empire.

Soit. Si vous changez d'avis, sachez ma porte vous sera toujours grande ouverte.

Oh Union Kalmar que de beaux mots ! J'espère que les gens ne tomberont pas dans un piège aussi futile.
J'espère que nous réussirons, France et moi, car il semblerait que le reste de ce beau monde acheté ne veule rien faire, réussirons à faire comprendre à celui-ci ses gestes puérils passés.

L'Empereur Mc Alan commence à en avoir assez des paroles insultantes du Saint-Empire à son encontre.
Si l'Empire Celtique avait été acheté, il aurait envoyé toutes ses troupes au combat pour aider l'Union de Kalmar. Or, le but visé pour l'instant est l'arrêt d'une guerre que l'Empereur perçoit comme dangereuse pour l'Europe toute entière.

Je ne vous cite nullement dans ses phrases Celte... sachez-le. Je n'y pensais pas, je songeais un peu à la Croatie que ses gestes brusques à mon encontre m'ont fait rire. Mais je comprends vos récitences. Alors ne le prenez pas ainsi.
Je parlais d'Union Kalmar.

SON propre peuple souffre de tout le génocide qu'il leur fait subir ! J'Espère qu'ils agiront, je leur souhaite de sortir de cette assimilation massacrante.

Je dédis mon aide au Saint-Empire et va aider la Venise.

Le Doge vous en ai reconnaissant.

Ah bah tiens, ça m'aurait étonné ça ^^

Plus on est de fous plus on rit ...

On voit bien la une tentative pour la Hongrie de prendre la Croatie, terre qui leur a toujours résisté. Sautez donc sur l'occasion hein, non non on ne vous dira pas que vous êtes un roi lâche et profiteur, que vous n'oseriez jamais vous attaquer à plus faible que vous bien sûr

Courage Kalmar, restons confiants malgré tout ! Que Dieu nous vienne en aide (A moins qu'il veuille lui aussi profiter de l'occasion :p)

Croatie a écrit:

(A moins qu'il [Dieu] veuille lui aussi profiter de l'occasion :p)

HJ:

Au fait MJ, j'ai pas reçu des renforts venant de mon Etat satellite, la Transylvannie ? Il doit bien y avoir quelques brigands bulgares qui ne savent plus quoi faire de leur fourche et qui voudraient venir défendre la Croatie quand même ? ^^ [ J'ai quand même un peu de prestige]

Bien sur, sans cette aide précieuse Venise aurait peut-être déjà eu raison de vous.

Ouais heuuuu j'ai rien dis hein XD !

Merci les petits bulgares ^^

A Venise : Je voudrais parlementer avec vous, j'aimerais discuter de cette guerre. Accepteriez vous d'arrêter de nous envahir ? Voyez vous, vous êtes enlisés sur nos terres, je vous propose de stopper ce massacre.

Ne voulez vous pas discuter ?

La Hongrie m'aide, donc, je ne crois pas m'enliser encore très longtemps.
Mais je veux bien parlementer.

La Hongrie n'a pas profité de la situation, elle a aidé des alliés, Croatie. Cessez d'être paranoïaque et ou déformer des traits sans réfléchir plus profondément aux raisons...
Quand au parlementer, cela serait bien de s'arranger avec la Croatie, peut-être désirerait-elle se retirer de cette guerre et devenir neutre ?

Pardon ? Pour moi la Hongrie est une nation lache et sans honneur. Elle a profité d'un instant de faiblesse pour s'emparer des terres qu'elles convoitait depuis longtemps. Vous trouvez ça bien ? Vous trouvez que vous avez des alliés honnorables et nobles ?!

Venise, Saint Empire, je n'ai rien pour vous dans cette guerre, pas de tribut, pas de terres, rien a vous donner. Je veux bien parlementer mais n'attendez rien de ma part d'extraordinaire.

Ma neutralité ? Je veux bien en discuter. Si vous retirez vos troupes de chez moi, si vous acceptez de repartir chez vous. Vous n'y gagnez rien certes, Venise. Quant à vous Saint Empire, vous n'êtes pas en combat direct avec moi, alors ça ne changerait rien...

Par contre la Hongrie restera mon ennemi pour toujours.

Hum... Ça ne me pousse guère à faire la paix avec vous... Vous méprisez encore un allié de plus.

Donc, pour le moment je refuse, ça ne sert à rien de faire la paix avec vous si vous garder des rancunes envers moi et la Hongrie pour que vous nous faisiez du tord plus tard. .

Je ne demande aucune parlementer avec la Croatie après ce que je viens d'entendre.
La Hongrie est mon alliée, elle m'a aidé pour la simple et bonne raison que je lui ai demandé ! Si vous la Croatie, ne pouvait l'accepter et lui faites de telles menaces, je ne puis qu'espérer que la Venise et la Hongrie en finissent.
De telles paroles ne vous serons pas pardonnés, sachez apprendre à mieux négocier.

Négocier ? Non ce n'est pas de la négoce, c'est nimporte quoi ce que vous faites.

Sachez que je garderais toujours une grande rancune envers vous, mais comment pourrais-je un jour envahir vos terres, prendre vos femmes et vos bétails ?

Je n'ai plus d'armée, plus d'espoirs de conquêtes...

Je demande simplement l'arrêt des combats, une trève, partez de chez moi, je ne pourrais pas vous poursuivre ou envahir la Hongrie de toute façon ...

J'ai déjà répondu a votre demande de négociation et j'ai également déjà refusé votre offre.

Très bien. Maintenant, je sais que ma nation est condamnée.

Je mourrais Orthodoxe. C'était mon dernier shouait !

C'est donc fait. Je n'existe plus, je ne gouverne plus sur aucune terre.

Juste avant de mourir, je voudrais simplement qu'aucun mal ne sera fait au peuple. Et j'espère qu'il restera fidèle à l'Orthodoxie ! Adieu, traîtres infidèles !

De telles paroles sont dignes d'être ignorées. Votre peuple était chrétien, ce que vous venez de faire est d'une lâcheté et j'espère que ce peuple ne tiendra pas compte de tels gestes de tel monarque. Quand à ceux-ci, je ne vois pas pourquoi du mal leur serait fait, ils n'ont pas à payer pour des gestes tels que les vôtres.