1347
Alors que le Caucase est plongé dans le désastre causé par l'épidémie de Peste, l'exténuée Azberaïdjan sorti anéanti d'une guerre entre les Turcs et les Mongols se dut d'affronter les Géorgiens et les Byzantins. Alors que les soldats succombaient par centaines à la maladie, l'Arménie et les confins montagneux du Caucase tombaient peu à peu sous contrôle Byzanto-Géorgien.
1348
Les combats gagnent en intensité alors que les deux armées décimées évitent la Peste pour engager enfin de crédibles combat au milieu des montagnes, près de la frontière Ilkhanide. Les Orthodoxes réussisent à mettre en déroute les Musulmans qui doivent reculer sans laisser tomber par contre. La capitale Azerbaïdjanaise, Bakou, est encore bien loin.
1349
Les Byzantins ne participent que trop peu activement aux combats, laissant les Géorgie maître d'une stratégie défficiente et aux prises avec des problèmes majeurs entre les montagnes Caucases. Cette année encore, rien ne bouge vraiment sur le front, les musulmans d'Azerbaïdjan, encore sous le choc des précédentes guerres dont ils furent les victimes il y a environ une décennie, demeurent alertes et mobilisés.
1350
Lente progression des orthodoxes cette année, les forces Azerbaïdjanaise ayant été portées à se dépasser à un tel niveau au cours des précédentes années où elles triomphait jusqu'à présent que l'essouflement stratégique comme organisationnel se fait sentir. Entre les vallées et les hautes montagnes les Orthodoxes progressent, les combats demeurent intenses, mais les musulmans perdent peu à peu l'avantage.
1351
Faillite de l'Azerbaïdjan et dissolution de l'armée nationale, les Géorgiens autant que les Byzantins en profitent pour prendre une avance inéluctable sur le front qu'ils purent en un an porter plus loin que dans les quatre précédentes années de guerre. Bakou fut presque portée à un siège, et l'Émirat en entier ou presque fut soumis au contrôle orthodoxe en très peu de temps, et ce malgré les facilement réprimées contestations populaires.
1352
Chute de Bakou et de par la même occasion de l'Azerbaïdjan en entier. Les troupes Géorgiennes victorieuses en oublièrent presque le retrait hâtif des Byzantins en début d'année, un changement de régence accompagné d'une victoire rapide paru le justifier aisément. La Géorgie s'étend conséquemment très pronfondément en terres musulmanes, et l'Azerbaïdjan torturé depuis plusieurs années par moult guerres n'est plus.