L'Empereur de Byzance se permet de souligner que l'Empire Celtique reste malgré tout sur la corde raide, que sa dette épongée est à cent ou deux cent $ de la cessation de paiement, et que le prix qu'il a du payer pour cette aide est le maintien de ses troupes à Jérusalem ; maintien qui le fera sans doute sombrer dans la faillite dès la décennie prochaine.