1394
Les troupes Italiennes massées aux frontières Siciliennes eurent bien rapidement raison de l'ennemi inférieur en terme de nombre. La population des régions de Taranto et de Calabria, malgré les tactiques de leur suzerain pour éviter l'invasion Italienne en prêtant allégeance aux Siciliens, fut vaine, car la population se mobilise très peu à la défense de leur comté alors que les troupes Italiennes arrivent à Reggio di Calabre. Exode des derniers Grecs du sud de l'Italie vers la Sicile.
1395
Malgré le support Byzantin garant de l'appui de quelques mercenaires en provenance d'Héllénie, la Sicile fut rapidement mis dans une situation très précaire dès cette année, avec l'arrivée massive sur l'île des troupes Italiennes. Siège de Palerme. Mobilisation massive chez les musulmans et les orthodoxes qui profitaient jusque là d'un statut privilégié dans la Sicile catholique. Les combats, qui jusque là étaient gagnés sans efforts par les Italiens, deviennent plus intense et la victoire plus difficile.
1396
Chute rapide de Palerme, malgré la rispote très forte des résidents locaux et l'arrivée constante de supports Byzantins. Le fait est que la supériorité Italienne sur les maigres troupes ennemies en comparaison est indéniable. Les combats se déplacent vers le bastion musulman de la Sicile, qui demeure l'endroit le mieux protégé de l'île à cause de la ferveur de sa population. Exode orthodoxe de la Sicile vers l'Empire Byzantin.
1397
Dures combats pour les troupes Italiennes oeuvrant dans un territoire où tous semblent contre eux. Malgré tout, c'est à la mi-année que l'occupation de la Sicile pu être complétée, scellant le sort de cette guerre et celui de l'Italie dite "unifiée". La population de Sicile est encore prompt aux rébellions, mais l'occupation active facilitant les répressions à laquelle procède l'Italie devrait fidéliser à long terme les nouveau gains territoriaux siciliens et napolitains.