1045
C'est un empire Rus fatigué par des années de guerres et des tensions ethniques qui déclarent la guerre aux paiens barbares de Karélie. La guerre qui s'entâme sera hardu, les territoires nordiques de Karélie étant for bien défendu, les troupes rus, trop peu préparées à ce type de terrain. Cependant, le début des hostilité en cet an de grâce 1045 créa quelques batailles frontalières, mais aucune avancée. Les paiens songent à s'unir sous le sigle d'une coalition, étant tannés d'être attaqués de tout bord tout côtés depuis quelques temps...
1046
L'Herjedalen et le Suomi déclarent les hostilités face au Rus, pour ainsi dire protéger la Karélie, qui se trouve être pour eu un écran empêchant les envahisseur de la Volga et de l'Oural d'attaquer la Finlande. C'est ainsi que la guerre commenca à se produire sur plusieurs fronts. Dans un Eeste dépourvu de soldats, l'armée entière étant supposée attaquer la Karélie sans devoir faire face à des revirements de situation, les troupes finnoises ont effectué des débarquements à Narva. Acceuillis en héros par les populations paiennes locales, les finnois risquent de lancer leurs assault sur Novgorod. Face à la situation, les troupes du Rus se divisent pour contenir les finnois. Cependant, cela empêchera toute progression en Karélie cette année.
1047
Les paiens sont écartés de Novgorod, avec grand soulagement de la part du Rus. Ceux-ci sont cependant encore incrustés dans la région eeste de Narva. Aucune percée karélienne à déplorée, au contraire, le Rus, bien qu'il est actuellement difficile pour lui de faire avancer le front, a, jusqu'à présent, réussi à fortement affaiblir à Karélie.
1048
Le Novgorod continu de limiter les païens à l'Eeste. Le problème majeur dans cette situation est le ressentiment des païens de la Baltique face aux envahisseurs s'étant si on peut dire, récemment dans l'histoire, acharné sur eux. Ainsi, s'ajoutent aux troupes finnoises des paiens rebellés. En Karélie-même, les avancées demeurent pénibles, mais sur les terres finoises, le Rus progresse de manière satisfaisante. Les troupes polonaises sont à la hauteur de Peyreslalv; elle devraient arriver sur le front d'ici 1 à 2 ans.
1049
Le siège de Novgord s'entâme une seconde fois suite à un imprévisble hausse des effectifs paiens, pour la plupart, en plus des rebelles Eestes, des rebelles Lives et Zemigaliens. Le troupes Polonaises sont rendues à Pskov et atteindront le front dès le début de l'an prochain. Un hiver tout particulièrement rigoureux en Karélie a limiter la progression du Rus. Le Rus, bien qu'ayant, au cours des dernières années, subit une expansion rapide, n'a toujours pas une armée ayant eue le temps de se regenérée complètement, et certains soldats portent encore des séquelles de précédentes guerres.
1050
L'apport des troupes polonaises permet de repousser les assault finnois et de progresser modestement en Karélie. Peu de polonais ont survécu indemne à leur voyage de miliers de kilomètre et les troupes Rus sont fatiguées, mais voila, une avance constante se constate. En eeste, cependant, les rebelles paiens, tout comme au Zemigale, continuent de maintenir leurs zones d'occupation.
1051
Les terres paiennes de la Baltique demeurent hors de porté. Les problèmes économiques du Rus et de la Pologne entrainant des problèmes dans le paiement des soldats, les avancés sont difficiles. Les structures militaires ainsi sont désorganisés et peu efficace. Cependant, l'actuelle position en Karélie se maintiens. Les troupes adverses semblent en bon point, ce qui risque de mal auguré pour le Rus et la Pologne dans les années à venir.
1052
Novgorod serait de nouveau menacée. Le front avec la Baltique n'est plus stabilisés et des Zemigaliens lancent des pillages contre les paysans Rus du Pskov. En Karélie, le front, en plein usure, commence à reculer au profit des Karéliens. Le seul espoir d'un revirement de situation viens des troupes fraîches provenant du sud du pays, qui pourrait changer le moral général de l'armée. Plusieurs des soldats Rus en services le sont depuis trop longtemps et souffrent d'épuisement accumulé.
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Le pire n'a su être évité à temps, Novgorod est assiégée. La situation dans le Pskov et catastrophique, les Zemigaliens occupant presque le territoire si ne ce serait des paysans locaux opposant une farouche opposition à l'envahisseur. Les appréhensions de l'effondrement du front en Karélie s'avèreront fausse, le front demeure stable, malgré qu'il cause plus mortalités parmis les troupes. Les renforts arriveront droit sur Novgorod dans l'année qui viendra. Les troupes polonaises, quant à eux, sont disséminées et désorganisés sur tous les fronts en même temps.
1054
Les assaillant ont été de peine et de misère repoussé de Novgorod dans un effort ultime. L'apport en troupes fraîches permis même de chasser du Pskov les indésirables millices Zemigaliennes. En Karélie, léger recul du Rus. Généralement, cette reprise en main est fortement bénéfique pour le Rus. Toutefois, le dit enlisement de cette guerre affecte le prestige du roi à travers l'Empire Rus, et lla stabilité des ex-régions Coumanes du sud du pays risque de s'en voir affectée.
1055
Cette dixième année de guerre sera aussi la dernière. Cette guerre s'est soldée par la perte Rus des territoires Baltes, et par l'anéantissement quasi-complet de l'armée polonaise. Marquante cette guerre restera, car elle aura été le début des grandes révoltes paiennes face aux envahisseurs hésitant trop à déployer des moyens de conversions massivement. (Cette remarque ne fait pas nécessairement référence à la politique religieuse du Rus)