Jihad,
djihad ou
djihâd (arabe : jihād, جهاد,
lutte) est un terme arabe faisant partie du vocabulaire de l'islam et signifiant «
tâcher » ou «
combattre ». Il apparait fréquemment dans le Coran, particulièrement dans l'expression «
al-jihad fi sabil Allah » (
combat sacré dans le chemin d’Allah). Le jihad invite les musulmans à
combattre afin de s'améliorer ou d'améliorer la société. De nombreux savants musulmans interprètent le jihad comme une lutte dans un sens spirituel et comme un effort pour la
lutte contre les Infidèles.Dans l'histoire, de nombreux jihad de faible ampleur ont été déclarés, surtout contre le christiannisme. Le Jihad dont il est question est le plus grand de l'histoire de l'islam, issu d'une organisation et comprenant des attaques simultanées partout à travers l'Europe. Au cours de ces descriptions de batailles, c'est de ce grand Jihad dont il sera question.
1120Les actions Seldjoukides en Asie Mineures ont commencées tôt cette année, avec un débarquement victorieux à Chypre. La petite île, ayant perdu son plus proche allié, Antioche, est sur la voie d'une occupation ennemie rapide. Quant à Trabzon et la Géorgie, eux aussi visés par les Seldjoukides, ils ont très peu été attaqués cette année, les troupes ennemie dans la région étant plutôt concentrée sur le port d'un coup crucial dans la Guerre du Rüm. Cependant, n'oublions pas qu'ensemble, Trabzon et la Géorgie sont en mesure d'opposer une certaine résistance, quoiqu'il arrive.
Les Fatimides ayant déclaré la guerre aux nations italiennes, l'armée de ce même pays sort d'une longue période de paix et commence à s'activée. Après une occupation facile de l'île de Malte, les Fatimides ont emprunter le territoire Almoravide, et commenceront dès l'an prochain des attaques massives sur les côtes Napolitaines. Cette année a été utile pour planifier les attaques, et se positionner en Sicile.
Finalement, les Almoravides ont dévaler les massifs centraux des terres Franques, sans trop recevoir d'opposition. Des renforts arrivent actuellement par bateau. La zone d'occupation s'étant à l'Occitanie, sans plus.
L'année qui vient sera beaucoup plus riche en combats et en avancées de la part des musulmans participant au Jihad.
1121Occupation de Chypre. Trabzon et la Géorgie en déroute, les campagnes se perdent rapidement, la ville de Trébizonde est sur le point de subir un siège. Le Calabre et la région de Taranto en terres Napolitaines sont victimes de débarquements d'ampleur inimaginable. Toutes ces régions, pourtant bien défendues par une armée Napolitaine bien préparée en entraînée, sont tombées sous l'occupation ennemie, sous le poid de leur supériorité numérique abassourdissante. (Jusqu'à 50 Fatimides pour 1 Napolitain par endroits). Progressions vers Spolète, les combats y sont intenses. Moins d'activité dans le Bénévent. La Sardaigne et la Corse sont elles aussi victimes de débarquements Fatimides, alors que Gênes, Rome, Pise et Naples sont victimes d'un blocus maritime et de bombardements et de débarquements improvisés. Les troupes de la péninsule Italiennes se massent sur les côtes et en terres Napolitaines pour stopper la progression ennemie.
En Catalogne Almoravide, des attaques surprises de la part de Navarre, Leon, Castille, et en partie mineure du Portugal et de la Galice, leur ont fait perdre quelques régions des Pyrénés. Cette situation sera cependant bien vite corrigée, des renforts arrivant massivement. Année désastreuse en terres franques. Avant qu'un front ne soit constitué, tous les territoires au sud de l'Auvergne, excepté les côtes du Poitou et du Rhône, sont tombés à l'ennemi, suite à de vigoureuses batailles entre milices, paysans et troupes Almoravides. Exode francs vers le nord. Des débarquements britanniques et une défenses s'exécute en Bretagne, la marine Gotlandaise arrivera d'ici 2 ans, avec des renforts de Scandinavie.
Le Saint-Empire se verra redonné le pouvoir sur son armée dès l'an prochain.
1122La ville de Trébizonde est assiégée, et la Géorgie aux trois quarts occupée. Les combats sont omniprésents, et Trabzon est coupée du monde, laissant présager une victoire Seldjoukide rapide dans la région. Les Fatimides progressent à toute allure dans le Spolète, sur les rives de la mer Adriatique, joignant presque Urbino. Les Fatimides réussissent aussi à commencer le siège de la ville de Naples. Plus au sud, à Salerne, un débarquement de troupes venant de Pise a permis de reprendre la majorité du petit comté, isolent presque la zone d'occupation Fatimide à Naples. Le Bénévent commence à être occupé, mais étant une région montagneuse où s'est réfugié les milices, il est difficile pour les musulmans de prendre ce territoire. La Sardaigne et la Corse sont occupée, et un débarquement massif a fait perdre une quantité non négligeable de territoires en Toscane, Pise est sous la menace d'un siège. Rome victime d'attaques maritimes, le pape se réfugie en Romagne.
La contre-attaque Almoravide en Ibérie pourrait être qualifiée de l'ordre du jamais vu. Presque l'Aragon en entier a été occupé, et les zones d'occupation dans les Pyrénés limitées aux plus hauts sommets. Le Navarre est en danger, la Castille est tranchée en deux par un front avec les Almoravides. À cause de ces opérations en Ibérie, rien n'a changer ou presque en terres franques, excepté l'occupation du Rhône par les musulmans. La Provence est massivement envahie, débarquements aux sud, attaques de par les montagnes. Arrivées de renforts d'Europe du Nord dès 1123.
Carte de la situation
1123Trabzon et la Géorgie sont tombés cette année. Les Seldjoukides se sont emparés des derniers lieux chrétiens de l'est de la Mer Noire. Après un léger détour par la Crimée et Olivia, les troupes postées dans la région se joigneront à celles qui attaquent actuellement Byzance. Chute du Bénévent aux mains des Fatimides, malgré la stratégie militaire Napolitaine et les divers pièges installés sur le territoire, la supériorité numérico-technologique de l'ennemi aura eu raison de Naples. La ville de Naples est conséquemment en plein siège, et risque à tout moment de tomber, n'étant presque plus approvisionnée. Au nord, les Marches Napolitaines, presque sans défensent, tombent aussi aux mains ennemis. Les combats s'intensifient en Urbino, et des débarquement mineurs frappent la Romagne. La flotte vénitienne en profite pour déclencher des batailles maritimes épiques à travers la mer Adriatique. Des musulmans ont mis le pied en terres papales, le siège de Rome devient de plus en plus inévitable. Le calme étant revenu en Toscane et au Nord, des renforts pourraient arriver rapidement aux États Papaux.
L'Aragon, la Castille et la Navarre sont tombées. Les Almoravides, combattant en territoire connu et ayant tous les avantages, progressent à vive allure, et le front est désormais en terres de León. C'est à Bordeaux et à Nantes que les troupes scandinaves et de la Baltique en général ont été débarquées par la flotte du Gotland, qui déja est repartie vers la Méditérranée, en contournant l'Ibérie. Avec l'aide des forces britanniques arrivées les années précédentes en Normandie, tous ces renforts ont permis de garder le front stable avec les Almoravides, au prix de pertes innombrables du côté chrétien. La Provence est presque entièrement occupée, et Bordeaux est sur le point d'être assiégée.
1124Sans trouver d'oppostion, les troupes seldjoukides ont occupé une Crimée déstabilisée, et un Olivia sans défense. Les troupes ayant participé à ces ocucpations territoriales sont déjà en route vers Constantinople. Les populations juives de Crimée demeurent cependant quelque peu récalcitrantes. Impossible à imaginer quelques années plus tôt, tout le territoire Napolitain est occupé, à l'exception de la ville de Naples, assiégée. Urbino est occupé et le front, complètement aux mains des Fatimides, avance à une vitesse folle en Romagne. La traversée du Pô pourrait cependant causer des problèmes. Venise pourrait être victime d'attaques musulmane d'ici un an ou deux. Sur la côte Méditéranéenne, les avancées musulmanes sont plus modestes. Les États Papaux n'ont plus qu'une frontière avec la Toscane pour les rassurés, cerné de toute part, victime de débarquement et d'attaques de par les montagnes, Rome est sous le coup d'un siège, et le petit pays chutera d'ici l'an prochain à coup sur. La Toscane et Pise sont encore peu attaqués par l'ennemi, sauf que des batailles maritimes majeures ont lieu sur les rives de Ligurie, dans la région.
Le Leon est tombé, et la Galice ainsi que le Portugal sont en pleine occupation, les troupes Almoravides n'affrontant pas de résistance. La flotte du Gotland est en pleine bataille dans le détroit de Gibraltar, les Almoravides tentant à tout prix de ne pas laisser passer les navires du Gotland. Cependant, l'on s'attend à une victoire facile de cette grande flotte Scandinave, peu affectée par les milliers de kilomètres parcourus jusqu'à présent. En territoire Francs, le front demeure sans grand changement, les Almoravides se concentrant encore sur l'Ibérie. La situation pourra cependant rapidement changer. Chute de Bordeaux.
1125Cinquième année du plus grand Jihad de l'histoire musulmane. Un front stable a été constitué sur le Pô, en Romagne, face aux Fatimides, qui eux se sont plutôt concentrés sur la côte Méditéranéenne de l'Italie cette année. Rome est assiégée, et les États Papaux sont tombés sous les pillages et la destruction, sort qui frappe actuellement la Toscane et les campagnes des environs de Pise. Événement majeur de l'année, chute de Naples, avec la fin du siège de 2 ans sur la ville sud Italienne. Le roi a du se réfugier dans son satellite de Forcalquier. Des débarquements musulmans se multiplies entre la Provence occupée et la région de Gêne, Forcalquier est en difficulté. La marine du Gotland s'occupe actuellement de stopper l'approvisionnement des troupes en Toscane et au nord, par le biais d'attaques maritimes. Les grandes villes italiennes sont en état d'alerte, les banques de Gênes, Pise, Milan, Turin, Venise et Rome sont fermées, ainsi que la bourse de Venise. Le pape se trouverait en territoire Autrichien actuellement.
La côte Galicienne et la ville de Porto. Voici ce qui reste de l'Ibérie chrétienne. La ville de Porto, assiégée, est tout ce qui reste du Portugal, qui, face à l'assaut Almoravide, aura plier en moins de quelques mois. Pareil sort pour la Galice, qui elle subsiste de peu grâce à une bande côtière bien défendue, héritée de la seconde Reconquista. En territoires Francs, les mouvements Almoravides recommencent, l'usure ayant frappé les forces chrétiennes, qui viennent en partie de trop loin, de Scandinavie et des iles Britanniques. Les forces franques ne font cependant pas exception, après avoir maintenu un front pendant 4 ans dans des conditions atrocément difficiles. Nantes est en danger, et la Bourgogne sombre dans l'anarchie face aux avancées musulmanes.
1126En Serbie, les Seldjoukides commencent à faire quelques avancées dans le Kosovo, ayant percé la ligne de combat chrétienne. Sur les rives Croates, par contre, un nouveau phénomène de mauvais augure laisse présager consternation parmi le christiannisme. De nombreuses îles croates sont victimes de débarquements Fatimides en provenance d'Italie, et c'est de par là qu'un support aux Seldjouk en Serbie sera lancé. Un peu plus au nord, le siège de Venise, ville la plus fortifiée au nord de Byzance, s'entâme paresseusement. La Romagne est entièrement occupée, et beaucoup d'Italiens trouvent refuge dans les Alpes. Rome encore assiégée, bénéficie d'un pont maritime d'approvisionnement de par la Méditérannée, permettant à la ville sainte attaquée de toute part de résister. Pour la Toscane, c'est déjà terminer, occupation Fatimide, et siège de Pise. Le territoire Milanais est déjà envahi par les musulmans, et Turin est assiégée de par les Almoravides en Provence. Gênes est toujours le siège de conflits maritimes.
C'en est fini de l'Ibérie chrétienne, qui est depuis cette année entièrement occupé. La situation du Portugal ne semble cependant pas scellée, le dialogue s'étant ouvert face aux musulmans. En terres franques, rien n'augure vers le mieux. Bien que des renforts venant d'aussi loin que la Baltique soit en route, la progression musulmane devient inquiétante, la Bretagne ayant été victime d'attaques. Les combats font rage en Bourgogne, en Lorraine, dans les Alpes, et de plus en plus près de Paris.
1127Voici la carte de la situation, alors qu'en Italie, les Fatimides semblent prendre repos suite à leurs invasions intensives des cinq dernières années, que les terres franques sombrent dans le chaos, et que l'incertitude reigne en Croatie et un recul inexorable se trame en Serbie.
1128Le front a éclaté en Serbie, et les troupes seldjouk commencent déjà à parcourir les montagnes kosovars en direction du coeur de la Serbie et de la Voïvodine. Pour vous donner un exemple de l'avance étonnante des musulmans malgré le reliefs défavorable, il est confirmé que des combats ont eu lieu dans le Rashka de par la Serbie. La défense catholique dans cette région est en pleine panique, et l'organisation militaire sombre dans le chaos. Les Fatimides lancent des assauts en Croatie, pays jusqu'à présent sans défense. Le siège de Venise se poursuit, tout comme le siège de Milan, Turin, Pise et Rome. L'ensemble de ses villes tiennent bien le coup, excepté Rome, sur le point de tomber. La Toscane n'est plus, presque pareil pour les autres nations Italiennes, qui vivent une destruction chaotique.
Les Almoravides, au nord des Alpes, progressent à vive allure dans le Wurtemburg. Les avancées se font plus modestes en Bretagne et en terres Franques, le climat commençant à être défavorable aux Almoravides. Les troupes du Rus sont rendu à la hauteur du Rhin, excepté cela, les mouvements de troupe restent rare. La marine du Gotland, ce qui en reste, défend avec véhémence le port de Gênes, sans grands espoirs.
1129Entre Dubrovnik et Belgrade, la constatation d'un échec de l'effort de défense chrétien est à constaté. Alors que les Seldjoukides progressent sans opposition en Serbie et dans le Rashka, les Fatimides s'occupent d'occuper toute la côte croate et ce que les Seldjoukides épargnent du Rashka. Des révoltes chrétiennes ont éclaté dans ce qui était la Grèce Bynzantine, sans grand succès.
Rome, Turin et Pise sont tombés. Le siège de Venise, de Gênes et de Milan continuent cependant. Le nord de l'Italie se résoud à quelques enclaves et ces villes subissant un siège. D'ici peu, l'entier pourtour de la Méditérranée sera sous contrôle musulman, perte inqualifiable pour les chrétien. L'occupation Almoravide en terres franques ralentit, les troupes almoravides étant de plus en plus mis dans des situations de combats, de reliefs et de climat auxquels ils ne sont pas préparés. Les avancées musulmanes se font alors outre-alpes, quoique de manière modeste. Parlant des Alpes, ceux-ci demeurent encerclées, mais aucun musulman ne s'y aventure, créant une enclave et protégeant l'Autriche d'assauts futurs.