Second Jihad (1176-1191)

1176

En cet an de grâce 1176 s'est déclaré le second Jihad d'ampleur en un siècle. Cependant, bien qu'il n'aie pas été officiellement déclaré en tant que Jihad, il a été nommé ainsi sachant qu'il possède toutes les caractéristiques d'un Jihad. Un groupe de nations musulmans s'attaquent à un territoire autrefois leur appartenant dans le but de récupérer ce territoire au profit de la prospérité musulmane.

C'est ainsi que les Seldjoukides, aidés de manière mineure par les Eyalëts, ont remis les pied dans les régions montagneuses de Croatie et dans les plaines Hongroises. Leur progression de cette année aura surtout été étonnante en Hongrie, d'où ils pourraient attaquer Budapest dès l'an prochain. Progressions plus difficiles en Croatie due au relief. Les renforts chrétiens arriveront d'ici 1 an dans certains cas, jusqu'à dans 3 ans dans d'autres cas.

1177

Budapest est assiégée, la Croatie occupée jusqu'à la fin des montagnes du Dinar et de la rivière des Save. Les combats sont anarchiques et constant. La population quitte les territoire sous occupations musulmanes vers les territoires encore sous occupation chrétienne. En Hongrie, les renforts de Germanie contreront dès l'an prochain le siège de Budapest. Le gros de l'armée Seldjoukide se masse en Serbie, prête à déferler dans les Balkans. Tensions au Péloponnèse, en Serbie et en Albanie. C'est surtout en territoire grecque que les menaces de rébellions se font de plus en plus présentes, mais le coeur n'y est plus pour la population locale, lassée de ces interminables rébellions et cette occupation sans fin de l'ennemi des territoire grecques.

1178

Le siège de Budapest est maintenu grâce aux renforts germaniques arrivant de plus en plus nombreux. Cependant, en campagne, la situation n'est guerre reluisante pour les chrétiens qui perdent du terrain à vive allure, surtout en Hongrie. La Croatie est isolée de la Hongrie par une bande d'occupation se rendant jusqu'à la confédération Bavaroise. La progression musulmane stagne en Croatie. Un mouvement de troupes musulmanes quittant le front est à constaté. Le Péloponnèse s'enflamme. L'instabilité commence à gagner la Serbie et les Eyalëts. Ce dernier pays est victime de ses efforts pour se moderniser et progresser, ce qui cause des tensions vu la surchage de tâches diverses à accomplir par la population plus cultiver les terres infertiles et participer à cette guerre.

1179

Le siège de Budapest se poursuit, sauf que les rapports de force chagent subitement. Les renforts chrétiens, bien que fatigués et atrophiés par le long chemin parcouru jusqu'au front, sont à leur paroxysme, tandis que le nombre de soldat musulman sur le front demeure instable. Certaines stratégie des musulmans auraient échoué jusqu'à présent, et le siège de la ville se poursuit conséquemment. Ailleur, la stabilité gagne la Croatie, et la formation de milices dans les campagnes hongroise fait reculer les musulmans dans les régions limitrophes de la Bavière. La tension se maintiens en Serbie et aux Eyalëts, alors que des véritables rébellions éclatent du Péloponnèse à Thessalonique.

1180

Les musulmans reculent à Budapest, face à des troupes chrétiennes en force. La stabilité gagne le front Croate et Hongrois, les musulmans semblent retirer une partie de leur troupe, en laissant suffisamment pour maintenir un front. En Serbie, la situation se calme quelque peu, alors que de nombreuses localités chrétiennes des Eyalëts s'enflamment. Le Péloponnèse est sous contrôle rebelle, alors que les troupes Seldjoukides affrontent les milices grecques pour le contrôle d'Athènes et de Thessalonique. Une attaque bulgare en Thrace laisse présager le pire pour Constantinople. Les troupes Seldjoukides sont dispersées un peu partout, dans un dédale d'attaques et de défenses diverses, ce qui affaiblis considérablement leur organisation.

1181

Les troupes de l'Eyalët sont trop peu nombreuses pour résister à un front d'une telle ampleur. C'est une catastrophe sur le front des Balkans pour les musulmans, qui perdent Budapest et les campagnes du centre de la Hongrie, sans parler du front Croate, qui a reculé jusqu'au Rashka, avec la supériorité progressivement écrasante des chrétiens dans cette région. Explosions des tensions en Serbie, des rébellions chrétiennes éclatent, alors que le siège de Thessalonique et d'Athène se poursuit, les rebelles grecs prenant de l'avance du Dyrrachion. La Thrace tombe sous contrôle Bulgare, les Seldjoukides sont en difficultés en Europe, Constantinople est à risque. Le fait est que l'armée Seldjoukide est tellement imposante qu'une crise comme celle qui est vécue actuellement est ingérable.

1182

La frontière nord des Eyalëts est maintenant un front. L'instabilité politique aux Eyalëts s'acroissent vu certains dires du dirigeant des Eyalëts tenant certains propos choquants envers les chrétiens, causant des remous parmi la population locale. Les chrétiens avancent tellement bien qu'ils peuvent désormais supporter les rébellions en Serbie. Les Seldjoukides se ressasissent en Grèce. Les rebelles sont chassés de Thessalonique, et un front est constitué. Les Bulgares sont bloqués à quelques kilomètres de Constantinople par les troupes musulmane. Dans la région de la Caspienne, où stratégiquement un mur et une partie de l'armée Seldjoukide s'étaient postés en attente d'une attaque ennemie, une centaine de soldats apparament russes sont venus se buter à cette défense inconcevablement bien établie. Les soldats ont tous été tués.

1183

Les Eyalëts sont à feu et à sang. Les chrétiens ont à peine pénétré le territoire à la frontière nord que la population albanaise chrétienne des Eyalëts en profite pour se rebeller. Actuellement, la petite nation en question est morcelée en diverses zones d'occupation, et la survie de cet état tient à un fil. En Serbie, stabilisation du front avec l'arrivée de renforts Seldjoukides. Les Bulgares sont à leur tout repoussés en Thrace. Les rébellions sont plus sévèrement réprimées au Péloponnèse, sans succès pour l'instant. Le siège d'Athènes se poursuit. Rébellions en Crimées. Les troupes musulmanes en Caspienne attendent les ordres.

1184

La situation anarchique se poursuit dans les Eyalëts, les troupes chrétiennes contournent la Serbie seldjoukide mieux défendue par les Eyalëts pour lancer des assaults en Macédoine. L'émir des Eyalëts est forcé de fuir, alors qu'il est difficile de déterminer qui occupe le pays tellement les groupes de milices et de soldats sont nombreux. En Serbie, les Seldjoukide réussissent à repousser les chrétiens, signe que les musulmans ont repris contrôle du front à cet endroit. Le front Bulgare est stable. Athènes tombe aux mains des rebelles, qui eux progressent dans le Dyrrachion et approchent dangereusement de Thessalonique. Les troupes en Caspienne attendent toujours les ordres.

1185

Les Eyalëts sont en grande partie considérés comme un territoire occupé. Les troupes chrétiennes ont quant à elle joint les rebelles du Péloponnèse au Dyrrachion, et concentrent désormais leurs efforts sur la Macédoine et la Serbie, où les Seldjoukides demeurent solidement implantés. Le siège de Thessalonique est entâmé timidement. Un problème de plus en plus majeur s'impose chez les chrétien, en plus d'une attrition déjà gargantuesque, la désorganisation sévie, certaines troupes combattant à plusieurs milliers de kilomètres de leur lieu d'origine. Malgré tout, les chrétiens sont dans une bonne position à cet instant. Les Bulgares reprennent le contrôle de la Thrace après un relâchemenet Seldjoukide, mais la situation ne saurait perdurée si les troupes musulmanes en Caspienne recevrait des ordres supplémentaires.

1186

Les Eyalëts demeurent en situation d'occupation, sauf dans le nord-est du pays, où le recul des chrétiens face aux Seldjoukides de Serbie a permi la reprise de quelques territoire. Situation identique pour quelques enclaves en Grèce et en Croatie. Les chrétiens stabilisent le front ailleur aux Balkans. Recul des Bulgares. Fuite de la bourgeoisie Seldjoukide de Byzance, par craintes face à la guerre actuelle. Thessalonique est toujours assiégée. Mutineries des officiers et généraux en Caspienne, une partie de l'armée Seldjoukide est dissoute, ce qui risque d'aggraver les problèmes actuels. Ceci est la dixième année de guerre.

1187

Le front se maintiens sur la ligne Serbie-Eyalëts, sauf que les Seldjoukides sont en voie de prendre le dessu. Les Bulgares reprennent quelques territoires en Thrace, mais la stabilité est loi. En Grèce, les musulmans doivent se replier dans le Philipoppolis, les milices et les armées chrétiennes ayant consolidé leur occupation du territoire. Rébellions chrétiennes mineures en Serbie. Après la Crimée, c'est au Trabzon de faire sécession des Seldjoukide, et vu que l'armée Seldjoukide est absente de cette région, rien ne semble en voie de les empêcher. Les musulmans ont été amputés de plus de 50.000 soldats vu la mutinerie de la Caspienne, et les soldats restant combattent sans directives dans une désorganisation complète, car à l'apparance de défaite actuelle, les musulmans sont virtuellement au moins deux fois plus puissants que les chrétiens.

1188

Stabilité sur le front des Eyalëts. Les rébellions chrétiennes en Serbie retarde les avancées Seldjoukides, stabilité dans cette région aussi. Le risque que la Serbie devienne une enclave musulmane s'accentue alors que les milices grecques repoussent le front en Grèce. Il est envisageable que dans les prochaines années ils puissent même aller jusqu'à porter secours aux Bulgares sur le front de Byzance. Rébellions en Géorgie et au Trabzon. Le Caucase s'enflamme sous les rébellions. Les ordres du Calife des Seldjoukide étant absentes, la situation de désorganisation chronique se maintient.

1189

Treizième année de guerre. Révoltent des musulmans des Eyalëts, les chrétiens perdent de nombreux territoire près de Tirana. En contre partie, les Seldjoukides reculent en Serbie, et les chrétiens maintienne une superficie d'occupation similaire à celle de l'an dernier. Les Grecs continuent d'avancer dans le Philipoppolis, faisant craindre le pire aux Seldjoukide, qui amassent plus de 100.000 hommes à Byzance dans le but de réorganiser leur défense. Les Bulgares demeurent menacant, alors que le nord et l'est orthodoxe Seldjoukide continue de se rebeller presque sans opposition.

1190

Les pires craintes Seldjoukides se concrétisent. La Serbie est devenue une enclave, entourée de catholiques réussissant à amenuir les forces Seldjoukides prisonnières de l'enclave. Les musulmans des Eyalëts réussissent à reprendre une bonne parcelle de leur territoire, mais les chrétiens semblent stratégiquement leur laisser prendre du terrain. Le gros des forces chrétiennes, alliés aux milices grecquo-balkaniques et aux troupes bulgares progressent à vive allure vers Byzance, prête à subir un siège.

1191

Éclatement de l'enclave serbe des Seldjoukides. Coupés d'approvisionnement, d'ordres de la part de leurs supérieurs à Byzance et de point de repère, les troupes musulmanes ont implosé dans cette région. Les Eyalëts semblent avoir été oubliés des chrétiens, et les musulmans de cette région en sont bien content et limitent leur progression aux anciennes frontières de leur pays. Contre toute attente il y a une décennie, c'est une succession de bourdes musulmanes et de bons coups chrétiens qui aura mené au siège de Byzance, qui s'entâme cette année. Les forces en présence; 70.000 soldats chrétiens et plus de 300.000 milices chrétiennes contre 135.000 soldats musulmans et un peu moins de 10.000 milices musulmanes. Ce sera le nombre contre l'entraînement et la technologie. Les combats ont déjà commencés.

Je tien a le présiser, ce n'est pas vraiment une Jihad, je n'est jamais déclarer au chrétien en ten que tel, juste a deux pays en haut du mien, alors arreter donc, moi personnellement je ne veut pas plus de territoire mais je le donne a Eyalëts, arreter donc de croire, je parle au chrétien, que c'est contre vous que je me bat, je n'est pas apres l'intention de continuer, je ne sais pas pour Eyalëts mais moi non, de toute facon les probleme administratif serais trop grand, mais bon, croyez se que vous voulez.

Selon les prédispositions et les actions actuelles, c'est techniquement un jihad et non une guerre habituelle.

C'est comme si par exemple l'Italie déclarait la guerre à Jérusalem. Ce ne serait qu'une simple guerre, mais n'empêche qu'elle prendrait le nom de croisade. Ou de reconquista en Espagne, même si ce n'est qu'une simple guerre.

Maître du Jeu a écrit:

Selon les prédispositions et les actions actuelles, c'est techniquement un jihad et non une guerre habituelle.

C'est comme si par exemple l'Italie déclarait la guerre à Jérusalem. Ce ne serait qu'une simple guerre, mais n'empêche qu'elle prendrait le nom de croisade. Ou de reconquista en Espagne, même si ce n'est qu'une simple guerre.

Oui, mais pas si elle déclarais la guerre a fatimide, car ce n'est pas une terre sainte, exactement comme moi.

Oui, ce serait quand même une croisade, désolé de vous contredire. Et même si vous dites seulement désirer l'invasion de deux pays, les chrétiens l'on interpréter autrement. Mais ce n'est qu'une appellation, ça ne changera en rien la teneur de la guerre.

Ben la on va encore terminer dans une guerre sans fin.

Nous ne continurons pas à envahir après la guerre sauf si nous y sommes obligé. Et arreter de dire que je suis un moins que rien car j'ai développer tout le plan d'attaque de cette guerre.

C'est vrai il est un tres bon stratege.

Merci vous êtes un très bon allié et un très bon soldat et vous monsieur le pape vous êtes un très bon glouton.

Oui, et aller, comment vous l'appeler encore, a oui, aller au Diable, en ENFER.

Petit comique.

Nous arretons toutes progression de l'invasion pour créer un front pour résister au chrétiens.

Je confirme.

C'est drôle de voir votre courage et vos ambitions s'envolés...

Tu devrais être content on va pouvoir se battre à l'épée et ensuite je te jure que je te ramène à Eyalëts et tu aura ta tête couper en plein milieu de ma capitale.

Faire de telle menace... mon dieu, quel sadisme. Moi, je prierai dieu que vous perissiez dans les flammes.

Et si c'est moi qui vous capture, en tant qu'homme plus généreux que vous, je vous jure que je vous laisse la vie sauve, mais ça seras la prisons a vie dans une cachot ou quelque chose du genre avec aucun confort ou distraction

Attent je vais être généreux tu auras droit de travailler sur les chantiers à te faire fouéter pour le reste de ta vie.

T'inquiète, tu ne me captureras jamais vivant

Tant mieux j'avais honte de toucher un chrétien.

Vous êtes capable d'éprouver de la honte?

Non, seulement de lancer des âneries

Juste envers les chrétiens. Mais allons discuter ailleur.

Venise a écrit:

C'est drôle de voir votre courage et vos ambitions s'envolés...

Du courage, la moitié des personne qui nous attaque son sous la contrainte du pape sous peine detre excomunier, je comprend que vous soyer nombreux, vous n'avez pas le choi.

si vous ne voulez pas que j'ajoute 2 tetes a notre tableau de chasse en lorraine vous etes mieux de ne plus parlez contre mon allié venise et mes autre allié de religion!

je jure devant dieu que vous serrez brulez sur le duchez vivant!

je vous l'avait dit seldjoukide il y a des années de cela je vous lavait dit!que vous verrez une armée venant par des kilomètre vers vous et elle vous anéhantira!!!!

à mort les musulmans qu'ils pourrissent tous en enfer!!!