Cinquième Jihad (1359-1372)

1359

Un énième Jihad contre des positions catholiques fut déclarée en fin de la présente décennie. Cette fois-ci, ce sont les territoires Ibères qui sont visés par les musulmans Nord-Africains, qui se sont heurtés à la mobilisaiton générale à la fois de l'Ibérie entière et de la France. Les tentatives de débarquement en Andalousie échouèrent donc cette année, alors que les troupes Égyptiennes arrivent peu à peu chez les Mérinides.

1360

Les forces musulmane, en quantité impressionante, se sont massées à Tanger cette année, et un débarquement réussi pu être fait dans le détroit de Gibraltar. Mais ensuite, les choses ne furent pas aussi simple. Toutes les forces armées Ibères et même plus étaient là pour répliquer, et rapidement les musulmans durent se contenter de leurs très précaires positions dans le sud de l'Andalousie. Quelques autres débarquements échouèrent, donc la seule victoire musulmane demeure Gibraltar, jusqu'à présent du moins.

1361

Les débarquements se poursuivirent près de Gilbratar, avant de mystérieusement s'arrêter à la mi-1361. Profitant de cette occasion, les chrétiens frappèrent encore plus massivement les positions musulmanes, et le criticisme de la situation eut pour eux rapidement atteint son paroxysme. Les musulmans ont été chassés d'Ibérie. Cependant, la cause de ces arrêts momentanés des débarquements, coïncidant avec l'arrivée sur le front des troupes du Basrah, fut un débarquement dans le sud improtégé de la France.

1362

Dans le sud de l'Ibérie, le calme s'est maintenu cette année, les débarquements musulmans ayant été pour la plupart mis en échec, les autres ne créerent qu'un engoument dépourvu de percée de courte durée. En France par contre, les débarquements musulmans laissent craindre le pire. Déjà, en ces vastes contrées manquant de protection, alors que même les paysans font tout pour se défendre de l'ennemi, ces derniers purent assouvir leur occupation sur tout le Languedoc en moins de quelques mois, atteignant même les frontières de la Provence et des Marches Espagnoles. Bien sur, des renforts arriveront rapidement dès l'an prochain pour contenir l'ennemi causant une situation actuellement critique dans le sud Français.

1363

Le Languedoc sous occupation musulmane, les première ripostes, d'abord de faible intensité, eurent lieu cette année, grâce à des troupes Françaises rapidement expédiée de l'Ibérie, et qui purent soi disant contenir la percée ennemie sur la plus grande partie du front. La Provence par contre, et ses troupes actuellement au nord de Naples, ne pu en rien endiguer le flot ennemi qui a presque atteint les frontières Italiennes cette année. Dans le sud de l'Ibérie, la tension est toujours palpable, mais les tentatives de débarquements deviennent rapidement moindre comparativement aux années précédentes.

1364

Les positions musulmanes au Languedoc sont fragilisée, en Provence, renforcée alors que les forces arabo-musulmanes ont atteint la frontière Italienne. Les Français réussissent enfin à faire reculer l'ennemi au Languedoc. Parmi les musulmans d'Andalousie s'est propagée une vague de révolte rapidement réprimée par les forces chrétiennes. Les musulmans en profitèrent pour remettre pied à Gibraltar pendant cette courte période d'instabilité. Malgré qu'ils eurent réussis à longtemps contenir les musulmans, les chrétiens demeurent loins de la victoire.

1365

Les musulmans se retirent peu à peu du Languedoc, Provence en premier lieu. Les troupes Catholiques affluant de partout en Ibérie et des terres Françaises contribuent à l'accélération du retrait ennemi. Pendant que Gibraltar se retrouve périodiquement moins bien défendue à cause de la répartition des troupes momentanément modifiée, les musulmans purent bien progresser sur la côte Grenadine et vers l'intérieur des terres, revenant à une zone d'occupation similaire à celle vue lors du début du Jihad.

1366

Fin du retrait musulman, qui laisse encore perplexe bon nombre de stratèges chrétiens. Les derniers musulmans furent repoussés jusqu'à la Méditérranée en opposant presque aucune résistance, alors que ces derniers avaient prévu les navires nécessaires à l'embarquement de leurs troupes. Tandis que le front Ibère se retrouve avec moins de troupes à sa disposition, les troupes du Languedoc joignirent en fin d'année celles se trouvant en Andalousie à la hauteur de Murcie. Les chrétiens éprouvent de plus en plus de difficultés à contenir l'ennemi, et les musulmans vivant en Andalousie semblent tout faire pour rendre la situation encore plus hardi et pénible.

1367

Toutes les troupes musulmans s'étant retirée de France progressent désormais à vive allure en Andalousie. La supériorité musulmane commence de plus en plus à s'imposer, et les difficultés catholiques à surmonter les avantages ennemies font que Cordoue fut atteinte en fin d'année par les forces musulmanes. Il ne faut pas oublier de mentionner non plus les Musulmans d'Andalousie, qui de par leurs rébellions massives ne rendirent pas du tout la tâche facile aux catholiques, dont les stratégies furent mises à rude épreuve.

1368

Siège simultané de Grenade et de Cordoue, alors que de nombreuses troupes Françaises, le peu qu'il en restait en fait après les assaults perpétrés au Languedoc, se sont retirés du front. Les Catholiques baignent moins dans la confusion que l'an dernier, mais encore la situation demeure pour eux très difficile. Exemple notable de cette nouvelle situation, outre en région rurales près des frontières de l'Aragon, les progressions musulmanes furent limitées à la côte Méditéranéenne et Atlantique, sans plus.

1369

Grenade tombe tandis que Cordoue tient le coup, et Séville est menacée tout comme Faro, au Portugal. Fuite des catholiques ves le nord. L'Ibérie est sur le point de craquer si aucune renfort n'arrive sous peu. C'est peut-être cet événement qui soulagera grandement les Catholiques; les Italiens ont cette année réussit un débarquement non loin de Tunis, ou des dizaines de milliers de leur troupe se sont massées pour assiéger une des villes les plus importantes d'Afrique du Nord. Activités similaires près de Tlemcen, mais dont la réussite serait plus modérée.

1370

Cordoue, grande ville qui au cours des siècles s'est toujours tenue face à l'envahisseur, réussit à ne pas tomber cette sous les attaques toujours plus voraces des musulmans, qui permirent de porter le siège à Séville et Murcie. Commotion au Navarre alors que des troupes en provenance d'Ibérie comme de France déferlent dans le minuscule pays qui ne tient pas très longtemps face aux assaults. Siège de Tunis, et difficultés des positions Italiennes au Tlemcen. Des troupes musulmanes en renfort aurait comme cible précisément cette région où s'opère cette percée catholique.

1371

Chute de Séville, alors qu'un front stable de la Méditérranée jusqu'à l'Atlantique semble se constituer sur la ligne de Cordoue. Les combats sont intenses, la plupart des musulmans ont joint leur camps donc les rébellions endémiques sont terminées. La mobilisation est à son maximum d'un bord comme de l'autre, alors que les Italiens sont repoussés au Tlemcen et que contre toute espérance ils prennent une Tunis en proie à la tourmente et la confusion. Des renforts musulmans commencent déjà avec succès à tenter de déloger les nouvelles positions Italiennes en Ifriqiya.

1372

Après treize ans de guerre, guerre qui aura porté à bout la plusieurs des bélligérants s'y étant impliqué, une paix est enfin trouvée en fin d'année à Grenade. La région de cette ville sera instaurée ville libre où la liberté de religion sera de mise, moyen communément accepté de redonner une part d'Ibérie aux musulmans et au final de trouver une issue à cette guerre qui ne menait nulle part et ne faisait que mettre l'Europe et les Musulmans dans une situation encore plus précaire. Les troupes se sont donc retirées et les combats se sont arrêtés peu après la signature de l'entente.

Nous sommes en l'an de grâce 1362;

J'ordonne à l'ensemble de mes troupes de se retirer des zones de conflits Sud Iberique, et de se stationner dans la capitale Andalouse, sans l'accord du pape je me permet de retirer mes faibles forces militaires du sud maintenent à peut prés paisible.
En attente d'accord diplômatique avec le suzerain Andalousien mais troupes resterons dans la cité mère d'Andalousie pour preserver celle-ci d'éventuelle rebellion musulmane comme celle qui provoquent des guerres civiles au sud.

Pour qui vous prenez vous?

Chaque soldat compte dans notre lutte contre l'infâmie musulmane! Votre retrait est inacceptable et de plus immotivable. Si vous ne retirez pas votre ordre, je me verrai en position d'appliquer des sanctions à votre envers.

La Papauté ne tolèrera pas que certaines nations se dissocient d'un plan auquel toute l'Europe participe pour son salut.

Et bien... qu'il en soit ainssi mes troupes retournerons en terres Andalouses pour combattre un enemis qui se fait rare..

(HJ: en réalité je crois que je ne doit pas servire a grand chose dans se jeu... je ne peut pas gérer mon economie a cause des compagnie desormée impossible a crée, et mes armées sont controlée par le Pape alors vraiment là... aidez moi parceque je sais pas quoi fair dans se jeu je ne peu même pas prendre d'opignon diplomatique mes armées sont indisponible... a quoi cela servirai??)

Que Sa Sainteté écoute le Navarrois qui dit vrai, l'ennemi se fait rare à Gibraltar et nous sommes assez du reste des nations ibériques pour en assurer la protection. Qu'il aille seulement à Séville, un vent de révoltes y souffle et je m'inquiète de la santé de la plèbe catholique.

France a écrit:

Que toutes les nations reviennent en France ! Il faut les chasser de ma patrie, c'est une étape obligatoire pour tous !

Boutons les hors de chez nous !

Encore une fois, Basrah est très imprévisible...

Dois-je envoyer mon armée en france?

Très bien, mais c'est à mes risques et périls car le pape m'a ordonné de tenir le front Andalou et par conséquent je risque sûrement le scalp. Néanmois si cela peut servir la cause, combien demandez vous de soldats?

Portugal ? Oseriez-vous défier l'autorité papale ? Stationnez en Andalousie tant que le Pape n'en aura pas décidé autrement !

Andalousie a écrit:

Portugal ? Oseriez-vous défier l'autorité papale ?

Pas du tout. Mais je me trouve dans une situation pour le moins inconfortable:

- soit obéir au pape en laissant crever mes alliés

- soit désobéir au pape en me faisant tuer au final

J'ai cru comprendre que la France avait besoin d'aide et je ne puis avoir la conscience tranquille en laissant tomber l'un de mes patriotes. Cruel dilemne: obéir et laisser crever ou désobéir et crever.

Citation :

Stationnez en Andalousie tant que le Pape n'en aura pas décidé autrement !

Mais vous mon cher roi d'Andalousie, je vous prierai de cesser à l'avenir d'arrêter de me traiter comme une sous merde et de me traiter avc plus de considération, je ne suis pas votre chien, alors cessez de me traitez comme vous le faîtes si vous ne voulez pas que je me fâche très vite!

Celui qui croit avoir plus de voix que le premiers des catholiques ne fait en réalité que s'égosiller. Il ne s'agit pas de vous traiter en sous-merde, comme vous dites, il s'agit que vous sachiez où est votre place. Et sur ce point là précisemment, vous semblez quelque peu perdu.
Attendez les ordres du Pape. Soyez donc sage, Portugal, ne défiez pas les plus hautes instances.

Roi d'Andalousie, j'ai parfaite compréhension qu'il ne faut pas agir trop vite. C'est pourquoi je ne fais qu'essayer de comprendre si la situation de la France recquiert attention ou non. Je ne compte pas envoyer mes soldats sans accord mais simplement de trouver une entente entre tout le monde. Ainsi, je ne fais que montrer ma symphatie pour la France. Si nécéssaire, je peux bien entendu demander à ma population catholique de se révolter contre les envahisseurs de l'Est afin d'augmenter le nombre de mes soldats et de faire en sortes que tout le monde soit content.

Ensuite, pourquoi ne pas me demander gentillement de prendre part au conflit au lieu de me donner des ordres sans cesse? Comprenez bien que cette situation est très difficile pour moi...

J'attends les ordres du pape et également d'avoir une idée plus claire sur la situation et les forces un peu partout et voir comment je peux aider. Comprenez donc, cher ami, que mon but n'est que d'aider la papauté mais également mes autres alliés qui ont, à en juger les paroles, besoin d'un peu d'aide...

Comme vous êtes bon, cher ami. Et sage de reconnaître votre place et d'y attendre les ordres de la papauté.

Etes sourds aux paroles qui courent dans tous les royaumes ? La Provence craint elle aussi les Musulmans, ils entament même des percées en son territoire !
Quant à la question du Portugal, regardez donc la réaction papale face à la demande du Navarre de simplement se retirer en ma capitale ...

France et Andalousie, vous avez tout les deux raison. Malgré tout, je commence à être un peu à bout...

Mettez vous donc d'accord et je verrai en fonction. Je fais un post qui me prépare, et je dis bien prépare à aller vers els endroits que la France indique, mais je n'y irai pas sans accord du pape, sans quoi je resterai sur mes positions.

PS: Papautée, j'ai conscience que vous aurez du mal à tout gérer à la fois, mais ne m'enguelez pas et demandez moi simplement de vous faire confiance et je vous suivrai. C'est précisément le fait d'être sous pression qui me fait douter à ce point...

Il n'y a pas de quoi douter, l'ami. Soyez assuré que la Papauté agit pour le bien des fidèles ... Par les guerres qui assurent son bien, elle assure le nôtre ...

Oh! Mes amis limitrophes et Iberiens, je vous en conjure, entendez raison et ne vous fachez point pour des broutilles et des paroles!

Quand a vous Suzerain de France vous comprendrai que mon aide dans le sud de la france est quasi impossible, Sa Sainteté m'en ferais payer le prix je n'en doute pas, je fait stationner mes troupe dans Seville en annulant le récent ordre pour prevenir de vos guerres civiles, Andalous. Le pape n'y verra aucun inconvenient j'en suis sur, mes armées reste a quelques kilomêtres de gibraltar tout en rétblissant l'ordre en Andalousie d'une main de fer!

Il serait également souhaitable que sa Saiteté ordonne aux évéques de Pamplona, Saragosse, Valence, Madrid et autres grandes citées Iberiques, une campagne de convertion dans tout le sud Iberique pour être certain que des réseaux rebels islamistes ne s'infiltrent en territoires Iberiques, se qui rendrait plus difficile la circulation d'éventuels de renforts alliés.

En voilà des paroles sages et néanmoins intelligentes !
Navarre, il se peut que nous ayons à discuter bientôt ...

Oh mais je n'en doute pas chère suzerain d'Andalousie. Vous m'avez enlevé les mot de la bouche!

Mais voyons donc, vous ne comprenez absolument pas ce que le Pape attend de vous!

Lorsque vous disiez retirer vos troupes du front ou cesser la guerre, il est compréhensible que je ne m'oppose à votre décision.

Mais de là à questionner votre pouvoir décisionnel quant à savoir s'il vous faut protéger le sud de la France, je pense que vous allez beaucoup trop loin!

Bien sur, vous avez la liberté de combattre sur ce nouveau front tant que l'autre n'est pas abandonné, la seule chose que je demande est que vous teniez un front, qu'importe soit-il, mais que vous en teniez un comme le font toutes les pieuses nations catholiques.


Et Navarre, la guerre ne durera pas éternellement

Et se front est tenus mais ailleur là est la difference. mes troupes sont et resterons en Seville pour assurer la paix dans le reste du territoir Andalousien et eviter de nouvelles guerres civiles dans cette partie de l'Iberie, si il est nécéssaire mes troupe sont a une journée de gibraltar.

Le risque de rébellions n'est en rien criant, alors pourquoi rester inutilement à Séville alors que les musulmans pourraient à tout moment débarquer à Gibraltar, et votre journée de retard pourrait être cruciale dans ce cas.

Et si des rebellions éclataient dans Seville et que l'andalousie serais prise dans une guerre civile, à l'inverse toutes les armées de la cohallition serait a un jour se qui laisserai le temps au musulmans d'attaquer, alors que l'utilité de mes 2115 soldat serait bien plus utiles pour assurés la sécurité des andalous pendant que les 60 000 autres soldats de la cohalition stationnent au detroit de gibraltar.

Je ne crois pas être la guoutte d'eau qui feras deborder le vase, si nous pouvons prevenir une rebellion en Andalousie cela est préférable, d'auten plus que la prise de Seville par des rébéllions islamiste ne serait pas la bienvenu en présence d'une ouverture aux musulmans chez nos voisins les francais.