Grande Guerre de l'Est (1359-1378)

1359

En cet an de disgrâce 1359, une guerre qui mobilisera toute l'Europe, peut-être à la seule exception de l'Ibérie, fut déclenchée. Sur le front Napolitain, alors que les débarquements Byzantins étaient attendus pour l'année suivante, le roi excommunié et ses récentes actions contre le catholicisme, ne passèrent pas inaperçus malgré son habile purge qui éveilla encore davantage les soupçons. Au Bénévent et près de Naples, les passions s'enflamment alors que les forces Italiennes pénètrent massivement les terres Napolitaines, près de la capitale, Naples. Le calme demeure à Tarante. Face à un raz-de-marée Russe, la Pologne contient difficilement l'ennemi qui déferle jusqu'à la hauteur de Memel en Lituanie, pareil pour le Danemark se retrouvant avec les îles Eestes et elles seules dans la région. L'est peu dense de la Pologne fut aussi sous le coup d'attaques massives. En Hongrie, situation similaire, alors que les renforts Germaniques sur la voie les troupes Byzantines déferlent en affrontant une moindre opposition en terres Croates comme Hongroises, avancant plus rapidement en Croatie et en Dalmatie Italienne ou la résistance fut plus vive. En contrepartie, en Anatolie, les Ilkhanides profitent du soutiens musulman en Erzerum pour gagner rapidement du terrain.

1360

Arrivée des Byzantins dans une Sicile troublée par son échange précipité vers l'Empire Byzantin. Les Italiens locaux suivirent leurs confrèrent du Bénévent et de la région de Naples, et les forces Byzantines purent difficilement contrôler leurs nouveaux acquis, alors qu'à Tarante ils purent maintenir la région dans la stabilité. Les forces Italo-Germaniques ont porté le siège à Naples, alors qu'avec un soutiens rebelles accru l'Apulie est presque tombée aux mains catholiques. Nombreux débarquements Grecs près de Rome, la ville est cependant bien défendue par un amoncellement de troupes provenant de partout en Europe. Les Byzantins ne purent donc pas s'ancrer dans la région. Riposte Scandinave dans les pays baltes, les Danois récupèrent une partie des Eestes et les avancées Russes sont compromises. Alors que l'est Polonais tombe, les renforts Germaniques bloquent les Russes à la hauteur de Memel, où l'éparpillement Russe commence à faire mal. Près du Kärnten, un riposte massive s'abbatit sur les positions Byzantines en Croatie. Ils durent là reculer, tandis qu'en Hongrie c'est plutôt un arrêt des avancées qu'ils vécurent. Une poignée de troupes Nogai a joint le front, ce qui n'y changea que très peu vu la situation dans laquelle est plongée le Khanat. Siège d'Ankara, ville encore majoritairement musulmane, alors que ces derniers sont acceuillis en héros par les Arméniens de Cilicie et d'Antioche.

1361

Incident majeur en Scandinavie, où la Suède participant du côté catholique aux combats se vit fortement dans l'embarras alors que d'inexplicables 2.000 soldats russes se virent postés en son territoire au début du conflit ou presque. Chasser ces derniers ne fit pas de tout repos, et alors que les Danois retiraient leurs troupes d'un proposition précaire en terres Eestes pour les déplacer vers la Pologne, où les catholiques avancent lentement mais surement sur le front, libérant la Lituanie et une poignée de terres Polonaises. Reddition Napolitaine, les Italiens occupent tout le territoire, assistés de nombreuses troupes Germaniques, avant de joindre la Sicile, où toutes les forces Byzantine attaquant la péninsule Italienne se sont concentrés. Un débarquement à Messine fut victorieux, mais le nombre de troupes Byzantine présante pour la défense de la Sicile fut trop nombreux pour affronter l'armée Italienne n'étant pas encore entièrement réunie sur ce front. Les Nogai changent de camps; confusion sur le front en Hongrie, les chrétiens en profitent pour joindre la frontière Serbe au nord. En Croatie, les Byzantins demeurent en assez bonne posture au vu de la situation devenant peu à peu davantage désastreuse, Zagreb est encore en leur possession. Les musulmans continuent de déferler dans une Anatolie peu défendue, atteignant les positions anciennement Ottomanes, et pire encore des terres à l'orée du Lykia.

1362

Front unique en Europe du Nord, outre en Suède où le tollé continue suite à l'incident survenu avec les troupes Russes qui détiendrait encore une section de territoire près de la frontière du Södermanland. Ce front unique a permi de plus larges avancées cette année, les Polonais recouvrant beaucoup de territoire perdus et la frontière Russe atteinte pour la première fois. Les combats perdurent en Sicile, gagnant en intensité avec l'afflux constant de troupes Italiennes vers Messine, désormais sécurisée. Palerme est dans la mire des catholiques. Siège de Zagreb et de Belgrade, à cause d'une certaine infériorité et du revirement de situation Nogai la défense Byzantine est débalancée entre la Serbie, la Transylvannie et la Croatie. Les musulmans rencontrent une riposte plus forte près du Lykia et du Nikomedeia, la population grècque locale se soulève contre l'invasion musulmane, ce qui donne de très bons résultats jusqu'à présent. La guerre est de moindre ampleur par rapport à ce qui a été prévu lors de son déclenchement. En 3 ans de conflit, il est à constaté que la situation et les fronts se modifient à toute vitesse et que dans la plupart des cas la situation est défavorable puis soudainement favorable à un camps ou à un autre.

1363

La Lituanie et les terres Eestes furent les principales cibles des chrétiens cette année, alors que le front, très lentement, a joint la frontière Russe sur tout son long ou à quelque exception près, dans le nord Eeste notamment. Fin des instabilités en Scandinavie. Coup de théâtre avec la reddition de l'Empereur de Byzance, les chrétiens déferlent dans les Balkans, opposant en terres slaves une molle riposte populaire. Pour les musulmans, cette reddition fut le signe de la prise complète de l'Anatolie, mais là par contre la riposte des paysans grec se fit plus forte. Siège de Constantinople. Chute de la Sicile aux mains des Italiens, Palerme exceptée.

1364

C'en est complètement terminé de la présence des Byzantins en Sicile, de celle des Russes en terres Eestes. Sur le front Russe, le très long front Russe, les combats gagnent en intensité, les forces Catholiques incapable de percer le front ennemi alimenter par une vague de miliciens et mercenaires se mobilisant à la défense du Russe. Arrivant dans le coeur Grec de l'Empire Byzantine et en Bulgarie, les forces Catholique heurtent un mur, le mur d'une population fière allant jusqu'à donner leur vie pour l'empire malgré les ordres de cesser tout combat proférés par l'Empereur. Les avancées chrétiennes furent particulièrement ralentie à Thessalonique, au Philippopolis et au Dyrrachion. Paroxysme du siège de Constantinople, débarquements musulmans à Rhodes et en Krête et dans plusieurs autres îles grècques.

1365

Enlisement sur le front Russe cette année. Les forces équivalentes combattant sur le front ont donné leur maximum pour pouvoir effectuer une percée dans le camps ennemi, sans véritable résultat. Plus au sud, la situation est plus volatile, alors que les autorités Byzantines, au vu de la mobilisation de la population, ont décrété la remobilisation de leur armée pour la défense de la patrie, et ce alors que Constantinople est au bord de la chute, que les forces Chrétiennes gagnent du terrain au Dyrrachion et ont atteint la frontière de la Thrace. S'ajoute un imprévu débarquement Ilkhanide au Péloponnèse pour couronner cette instable situation.

1366

Les Russes repoussent les Polonais dans la région de Smolensk, où l'ennemi fut périodiquement atteint de lacunes subites. Le Rus put alors profiter de la seule percée véritable qui eut lieu cette année sur le front du nord. Les combats continuent néanmoins, alors que les victimes s'empilent et que les renforts arrivent au compte-goutte. La défense Byzantine ne sait plus ou donner de la tête. Bénéficiant d'un considérable apport en milices, ils purent bloquer les avancées Catholiques au Dyrrachion et au Philippopolis, mais ne purent empêcher le siège que portent les musulmans sur Athènes. Constantinople est tombée, les Ilkhanides traversent la Bosphore et recontre des troupes Catholiques positionnées en Thrace, qu'ils attaquent.

1367

Les forces catholiques réussirent à endiguer la brèche Polonaise de la précédente année, et de par le fait même furent les seuls à faire de véritables gains sur le front Rus, notamment à l'est du territoire des Eestes, où Pskov est désormais dans la mire des Catholiques. Plus au sud, le front est beaucoup plus instable. Siège d'Athènes, le Péloponnèse sombre sous contrôle Ilkhanide. Les Catholiques sont chassés de Thrace et du Dyrrachion, le premier par les musulmans arrivant massivement d'Anatolie, le second par les milices Grecques dont le nombre n'a cesse de s'accroître.

1368

Chute de Pskov après un court siège, les Rus envoient davantage de troupe pour empêcher que la situation ne dégénère et que Novgorod ne soit assiégée par les catholiques. Plus au sud, les musulmans déferlent au Philipoppolis, risquant d'atteindre Thessalonique dès l'année suivante. Les Catholique repoussés de la Grèce ne participent qu'à peu de combats cette année, si l'on excepte bien sur la protection qu'ils exercent sur leurs positions en Bulgarie. Près d'Athènes, les Ilkhanides n'avancent plus, la défense Byzantine étant tout simplement trop pharamineuse pour qu'ils ne puissent, pour le moment, y faire quoique ce soit.

1369

Les catholiques avançant toujours très lentement à l'est des terres Eestes, progressant vers Novgorod, durent cette année reculer face à une vague de ripostes Russes. Pskov est cependant toujours sous contrôle des Catholiques. Le nombre de troupes de ce camps sur le front commence à décliner de manière inquiétante à cause de problèmes éprouvés à l'est. Dans les Balkans, Thessalonique est assiégée par les Ilkhanides qui progressent aussi au Dyrrachion. Pendant ce temps, en Bulgarie, les catholiques mettent tous leurs efforts à contenir les efforts Ilkhanides pour progresser là. La mobilisation de la population grècque pour la sauvegarde de leur nation est de l'ordre du jamais vu de par son importance. Dixième année de guerre.

1370

Percée intéressantes de résidus Byzantins au Cherson, où après plusieurs mois d'incertitude la région de Théodopolis pu lancer un assault d'envergure suffisante pour faire des gains intéressants. Les combats se déplacent dangereusement vers Pskov, l'enlisement du front du Rus est définitif partout ailleurs. Rumeurs de négociations de paix avec les Byzantins. Les Catholiques contiennent de plus en plus difficilement les musulmans en Bulgarie, et reculent littéralement au Dyrrachion face aux assaults Ilkhanides. Chute de Thessalonique. Le dernier point d'ancrage Byzantin est le Philipoppolis.

1371

Siège de Pskov, qui s'opère très lentement et comme cette guerre depuis son commencement devient rapidement le synonyme d'empilement des morts et des blessés, de destruction et de chaos. Sur le front Polonais, le Rus commence à faire une percée intéressante. Les musulmans atteignent le Zeta, la défense catholique s'organise difficilement et est prise par surprise. Siège de Sofia opéré par les musulmans. La situation sur le front tent à se clarifier et le Philipoppolis prend de plus en plus les allures d'une fragile et instable enclave au milieu d'une mare musulmane.

1372

Les Russes reprennent Pskov, et continue leur percée dont l'ampleur avait probablement été surestimée sur le front Polonais. La maigre supériorité Russe commence peu à peu à s'imposer partout sur le front. L'apport en milice et de troupes plus constant compense les autres manques, et pour la première fois au cours de cette guerre outre lors de son début expéditif, un camps semble prendre le dessus sur l'autre. Les Byzantins sont en difficultés au Philipoppolis. La mobilisation grecque n'en peut plus face à la supériorité ennemie. Chute de Sofia.

1373

Les Russes prennent un bon segment de territoires polonais, dans le sud rural et peu habité de la Pologne, totalement dépourvu d'appareil défensif. Le Rus remet aussi le pied dans ses territoires Eestes sous occupation chrétienne depuis environ une décennie complète. En Lituanie, pareille situation, le Rus avance sur un front resté stable trop longtemps, ils avancent perceptiblement, mais les Chrétiens étant encore présent massivement ils avancent très lentement. Les Musulmans, après leur prise rapide du Rashka, font des leurs dans le sud de la Serbie. Occupation du Philipoppolis, essouflement de la présence musulmane en Bulgarie, ce qui permet indirectement aux Byzantins de subsister dans le nord de la Macédoine. La présence militaire Catholique atteint un creu dangereux.

1374

Traîté de paix conclu sur le front Russe. Les combats se concentreront donc à partir de cet instant exclusivement sur le front des Balkans, où les Ilkhanides sont passé près de détruire toute trace de l'Empire Byzantin cette année. Alors que la progression musulmane peut être considérée comme un tracé linéaire partant du Rashka jusqu'à Sofia, de nouveaux événements en provenance du sud-est a forcé les Ilkhanides à relâcher leur emprise dans les Balkans. Le Basrah et ses troupes déferlent en fait autant dans la vallée du Tigre et de l'Euphrate qu'au sud et nord de Tripoli.

1375

Ne maintenant dans les Balkans qu'un nombre suffisant de troupes pour maintenir leurs positions actuelles, les Ilkhanides font face à des renforts chrétiens de plus en plus nombreux. Ils sont chassés du Rashka, du Dyrrachion, de la Bulgarie et de la plus grande partie du Philippopolis. Les Ilkhanides opposent cependant une résistance rapidement au Basrah au sud d'Antioche, le Basrah est forcé de reculer. Cependant, malgré ce revirement de situation pour le Basrah, ce dernier fait un gain d'importance majeur; Mossoul.

1376

Les Ilkhanides réussissent à arrêter toute tentative ennemie de réoccupation des terres occupées par les musulmans dans les Balkans à la limite de la Thrace. À l'ouest cependant ne peuvent être empêchés les sièges de Thessalonique et d'Athène. Les Chrétiens ont des visées justes sur le Péloponnèse, et malgré la répression la population Grècque semble prête à se remobiliser pour la cause. Les Ilkhanides repoussent farouchement le Basrah au-delà de Tripoli, et assiègent un Mossoul où les forces du Basrah demeurent discrètent.

1377

Toute avançée demeure impossible au-delà de la Thrace pour les chrétiens dont les forces combattant sur le front ne cessent de s'accroître vu l'apport en milice des territoires grecs libérés. Thessalonique tombe mais Athènes résiste; un premier débarquement réussit au Péloponnèse commence à remettre sérieusement en doute l'ancrage Ilkhanide dans les Balkans. Alors que les Ilkhanides traversent la frontière de Jérusalem et à bout de combats titanesques avec les forces du Basrah déferlent vers Bagdad, d'autres se joignent aux combats. L'Émir de Médine brise son allégeance au régeant de Jérusalem pour se joindre aux Égyptiens, qui eux, assistés de leurs alliés, purent faire une percée rapide jusqu'à Acre et Jérusalem, rapidement assiégée. Les Mongols de la Horde d'Or commencent à bouger près de l'Azerbaïdjan.

1378

La Thrace résiste toujours, avec toujours davantage de force. Les Géorgiens, contrairement aux Mongols qui avancent toujours en Azerbaïdjan, menaçant Bakou de plus plus, sont encore limités à leurs propres frontières, buttant sur une Anatolie plus que bien défendue par les Ilkhanides. Athène chute aux mains des chrétiens, le Péloponnèse reste cependant en majeur partie dans le giron musulman. Après l'arrêt des combats au Rus, une trève est signée dans les Balkans à la fin de l'année 1378 et conclue début 1379.

Oh, vous ne nous avez pas repoussés à l'intérieur de nos frontières, c'est là toute la différence : vous n'avez fait jusque là que réduire nos avancées dans vos frontières .

Dans cette optique, quelqu'un pourrait-il me retrouver l'époque de l'Empire Alémanique je vous pris?

Je suis pas sur de comprendre pourquoi vous etes à la recherche de cette information, mais si l'on parle du meme il datent du 5ième siècle du moin c'est la date retenu de leur arrivée. Leur seconde poussée se fit entre le 11ieme et 13ieme siècle ils gagnèrent alors les contrée de Bienne à Douanne

Je parle dans le jeu

Moi je comprend pas non plus...

C'est pas si compliqué

Je vais le faire moi-même...
Tient, voilà. An 940.
https://europa-feudale.forumsrpg.com/mises-a-jour-des-statistiques-f6/mise-a-jour-an-940-t363.htm

Bon, l'Empire Alémanique, qui couvre la surface d'Anatolie et de Grèce, était un état satellite du Saint-Empire.

Ce qui veut dire, vous devez bien l'attendre.

Que cette victoire est possible. Et que de plus elle fut déjà réalisée par le passé. Voila ce que je voulais vous démontrer en demandant l'époque de l'Empire Alémanique.

A pour moi ce n'était pas du tout cela c'était en Suisse/Alsace/Allemagne, pas en Turquie

Justement, la Germanie étant l'auteur de cet empire Chrétien en terres Turques, elle lui a conféré ce nom.

A d'accord je comprend mieux je voyais pas mais alors pas du tout....

Ce n'est pas grave

Messages aux Russes diffusé par dans tout les villes et villages par des crieurs Publique.

Russes, aux armes,

l'ennemie Catholique se rapproche des frontières du territoire qui nous appartiens de droit. Ils prendront nos terres de forces et cela ne leur dérangera certainement pas de tuer la population Russe qu'il juge faible. Affluer vers la frontière Polonaise, aider l'armé Russe, laver l'honneur Russe que les Catholiques ont bafoué. Montrer leur que la fierté Russe est beaucoup trop forte pour eux, qu'il s'attaque à une puissance, à la puissance de la Nation Russe.

Comme les ennemies venuent de l'Est, les Mongols, ceux venant de l'Ouest veulent maintenant prendre pied sur nos terres durement gagné. Montrer leur la force des Russes, montrer leur que notre religion, qu'il considère comme rien, il nous considère de la même facon que les Musulmans au Nord. Il nous considère pareil comme les Mongols, cette situation doit cesser.

Aux armes peuplent Russes.

Notre alliance va vous vaincre!

Catholique-mongol-musulman

contre

orthodoxe

Les Mongols et les Musulmans ne sont pas nos alliés

Ils ne font que participer participer à la même guerre que nous, faites la distinction, car je ne tolérerai pas d'être intégré injustement à une alliance dont ils feraient partie.

Chers soldats de la Hongrie, vous venez à peine de recevoir ce message sans doute, voici la bonne nouvelle, l'Empire Byzantin replit toute son armée. Je vous demande de continuer l'avance avec les autres armées à moins que le Pape demande autre chose. Donc, ne faites qu'avancée, si les soldats byzantins qui sont rentrés chez eux tentent des attaques contre vous, tuez les! Si les civils vous attaquent, faites de même. Voici nouveaux ordres:

1. Continuer l'avancé le plus loin possible.
2. Tenté de se rendre à Constantinople et rencontre leur Empereur.
3. Détruisez les attaques causées par l'armée byzantine et les civils.
4. Ne tuez pas les civils innocents et les soldats n'opposants aucunes résistances.
5. Ne pas piller les maisons, villages, villes, richesses byzantines.
6. Tentez de controlez la Grèce

Je demande au Pape s'il est d'accord avec ces ordres

Le peuple ne sera touché que s'il agit pour l'être, sinon nous n'avons aucune raison de lui faire du mal.

Cependant, dès que la paix sera revenue, nous ne devrons pas éviter bien longtemps la question de la conversion des terres conquises