1047La Reconquista (mot espagnol, en français Reconquête) correspond à la conquête des royaumes musulmans de la péninsule ibérique par les souverains chrétiens. Initiée en 718, elle demeure cependant fort irrégulière et peu efficace. 1047 sera une date cruciale pour la reconquista, sachant que les combats qui viendront scelleront l'avenir de la péninsule Ibère.
En cette date, des combats épars le long de la frontière sont à déploré, mais aucun front ne s'est, jusqu'à présent, constitué.
1048Début des combats décisifs en Ibérie. Des attaques farouches sont lancées vers le Portugal qui peine à maintenir un front. Le premier assault permettera à Grenade, sans réussir toutefois à prendre la ville de Porto, à isoler celle-ci du reste du pays, entourant militairement une nouvelle enclave Portugaise, isolée du reste du pays par une bande d'occupation militaire grenadine. Le Leon réussi à constituer un front, pofitant de l'absence de troupe Grenadine, cela lui permis de compenser sa propre absence de troupes. La Castille et l'Aragon, en attente d'un support Francs, se lancent dans de sanglants combats pour maintenir un front. Entre les montagnes de la régions, les front sont stables, au prix de miliers de vies humaines.
1049Siège de Porto. Fuite du gouvernement Portugais en Galice. Les territoires portugais se voient presque entièrement occupés par l'ennemi. Viennnent au secours de celles-ci quelques soldats galiciens et leonnais, rien de bien effiace en ce moment même. L'apport en troupes franques permis de défoncer le front en Aragon et en Castille. Grenade est littéralement en déroute dans cette région en ce moment même. Cependant, les mouvements de front ont rarement dépasser la centaine de kilomètres.
1050Le Portugal peut être considéré comme occupé. En outre, la Galicie maintiens un front avec Grenade, front qu'elle ne sera plus bien longtemps capable de garder. Le Leon recule légèrement. Cependant, la Castille et l'Aragon, avec l'apport Franc arrivant au compte-goutte des Pyrénés, avancent de manière inconsidérées. La ville Grenadine de Murcie est même assiégée. L'exploration annoncée par la compagnie de la Méditérranée Occidentale sera ouvertement empêchée par les troupes Grenadines qui promettent de bloquer le passage aux mondes inconnus.
1051Contre-attaque Leonaise satisfaisante au Portugal. Un front régulier se forme partout à travers l'Espagne. La Castille a quelques difficultés, première depuis le début de cette guerre, mais ce n'est pas inquiétant pour le moment. Quant aux assault de l'Aragon et des Francs; ils sont toujours aussi mordants et favorisent encore une fois de phénoménales avancées. La ville de Cordoue risque d'être assiégée dans l'année à venir, signe de cette avance indiscutable des Francs en terres Ibériques.
1052Stabilisation générale du front et des combats. Le nord du Portugal demeure le siège de virulentes attaques, tandis que le front Leonnais demeure toujours aussi dépourvu d'avances ou de batailles. À l'appréhension d'un siège de Cordoue, un mouvement de troupe grenadines permis de contenir les avances franques et aragonaises. L'on craint que cette situation de stabilisation n'entraîne un enlisement de cette guerre.
1053Le front demeure continu, mais des changements dans la compostion de celui-ci ont survenu. Des avances appréciables se sont vue au Portugal, récupéré Porto serait même envisageable dans les années à venir. Au Leon, l'on constate un recul au delà de Salamanque, ce qui n'est pas inquiétant pour le moment. Le front Aragono-Castillan commence à se stabilisé à cause des contes-attaques Grenadines (Explicant les recul au Portugal de leur part, ce fut un transfert de troupe). Les Grenadins ont conséquemment en ce moment sauver Cordoue.
1054Porto est reprise par les Catholique. De Porto à Salamanque, le front est stable. Ce n'est pas le cas du front Aragonais-Castillan, qui semble onduler tellement les avancés et recul face à l'armée Grenadine se font sur de petit secteur et sont si rapidement contrées. Ce n'est donc pas en cet an de grâce 1054 que la dite sainte Reconquista n'aura avancée, pour un côté ou l'autre. Seul fait à constater, la puissance catholique face à celle des musulmans est durement surévaluée, et les prochaines années le feront remarquer à tous.
1055La stabilisation du front permis aux troupes franques de se dispersés sur toute la longueur du front d'au lieu l'unique front Aragonnais-Castillan. Des avancées aragonaises sont à constater dans la région de Murcie, mais à part cela, les Grenadins n'ont, au même titre que les forces chrétienne, vécu d'avancées massive sur le territoire Ibérique.
État du Front (Ligne Rouge)
Mauve= Forces Chrétiennes
Beige= Forces Musulmanes
1056Les Grenadins maintiennent leurs position au Portugal. Ils prennent même un léger avantage en lancant, pour une seconde fois en une décennie, un siège sur Porto. Même chose au Leon. Les Grenadins avancent lentement, mais chacune de leur avance s'en voie plus douloureuse pour les soldats devant abandonner leurs défenses disposées la depuis for longtemps. Pendant ce temps, le front Castillan-Aragonais est stable, l'apport de troupes franques compensant pour les mouvements de troupes Grenadines.
1057Les nouvelles positions des troupes franques permirent aux troupes chrétiennes de reprendre le dessus sur presque tous les fronts. Ainsi, l'on note la Reprise de Porto, la reprise de la région de Salamanque, et des positions assez bonne pour mettre en danger les villes grenadines de Tolède et de Cordoba. Bien que ceci laisse présager une fin rapide de cette guerre, les problèmes monétaires des Francs risquent de changer la donne bien trop rapidement aux yeux de plusieurs...
1058Le Portugal est repris, et, de même qu'au Leon, les forces chrétiennes pénètrent en cette région Grenade. Sans l'aide des francs, jamais cela n'aurait pu se produire. En Castille, stabilisation du front. Tous le contraire de l'Aragon, qui, ayant reçue la majeur partie des troupes franques en Ibérie, entâme simultanément le siège des villes de Tolède et de Murcie. Cependant, plusieurs continuent de croire qu'un revirement de la situation est inévitable, que la technologie Grenadine réussira à prendre le dessus sur le nombre des troupes chrétiennes. Jusqu'à présent, cette théorie n'a toujours pas été prouvée.
1059Le fait que les Almoravides se joignent à cette guerre pourrait changer bien des choses dans le tournant de celle-ci. Rien qu'en cette année, les Almoravide ont récupéré Constantine, et ont exécuter un débarquement réussi dans les iles Baléares. Les forces chrétiennes attendent dans le doute leur arrivée en Ibérie. Cependant, en Ibérie, cette année, la situation n'est pas digne d'une victoire musulmane. Les Portugais et les Léonais pénètrent le territoire Grenadin tandis que les Aragonais-Castillan consolident leurs positions dans les régions occupées pour faire face aux anticipées attaques almoravides, tout en maintenant aisément un front stable avec les Grenadins.
1060Treizième année de guerre. Les Almoravides s'ancrent dans les îles Baléares, et planifient un débarquement sur les côtes Aragonnaises dès l'an prochain. Le front en Ibérie avance légèrement au détriment de Grenade, et ce principalement à l'Ouest. Fait majeur cependant, Tolède et Murcie, suite à un long siège, sont finalement prises par les forces chrétiennes. Usure du front en Portugal-Leon.
1061Barcelone est assiégée. Les Almoravides ont effectué plusieurs débarquement aux tour de la ville ce qui leur permis de l'assiégée. En fait, toute la côte catalane est en proie à de nombreux débarquement. Tandis que cela n'affecte que peu le stable front du Portugal-Leon, c'est tous le contraire pour le front Aragono-Castillan, qui, en greffant des troupes à la Catalogne pour endiguer les attaques Almoravide, a du abandonner ses avances face à Grenade. Grenade en a donc profiter pour reprendre Tolède et Murcie.
1062Les Almoravides et les Grenadins continuent leurs progressions. Barcelone tient le coup et est toujours assiégée en cette quinzième année de conflit. Voici la carte de la situation.
Musulmans: Verts
Chrétiens: Bleus
1063Tandis qu'au Portugal la situation maintient son rythme (pareil pour le Leon), le relâchement francs entraîne une recul considérable du front aragono-Castillan. Les Grenadins atteignent même la frontière Castillane tandis que les Almoravides réussissent à joindres leurs deux zones d'occupations. Barcelone est toujours assiégée et l'on craint que les Almoravides ne joignent la côte Narbonnaise.
1064Progressions franques en Aragon, Barcelone est de nouveau sur le ligne de front. Situation différente ailleur en Ibérie. Lleida est menacée, le Portugal et le Leon recule, et les musulmans pénètrent le territoire castillan, pillant et dévastant tout sur leur passage. Le Navarre se retire de la Guerre. Les Asturies font cessetion du Royaume de Castille, déclenchant une guerre civile en ce royaume. La Galice songe à se retirer de la guerre pendant qu'il est encore temps!
106518ième année de guerre. Faces aux menaces d'excommunions papales face au Navarre et à la Galice, ceux-ci ne bronchent pas; ils refusent unilatéralement de continuer cette incessante guerre. Alors que Porto au Portugal est de nouveau assiégée, que les musulmans atteignent une avancée incomparable au Leon, que le siège de Barcelone recommence et que la Castille est victime d'une guerre civile, tous se posent la même question; qu'en est-il de cette guerre? L'armée franque décimée d'un pays en faillite et en guerre civile, qui soutiens cette guerre, ne pourra pas tenir une décennie de plus. L'Ibérie a besoin d'aide.
1066En Ibérie se forme petit à petit un front régulier sur toute sa longueur. Barcelone est toujours assiégée, tandis que Lleida est victime d'attaque. Les Almoravides progressent rapidement en Castille, pays éprouvé par la guerre civile de laquelle elle est affligée face aux Asturies, et comptant sur les Francs pour maintenir leurs front, cela explique les avancées ennemis. Le Leon recule tandis que le Portugal tiens le coup, le siège de Porto se poursuit. Dès l'an prochain, cela fera deux décennies que cette guerre aura débuter.
106720 ans de guerre. Et encore au point de départ. Barcelone et Porto assiégés, un front stable se contitue au coeur même des états catholiques d'Ibérie. Les batailles continuent le long du front, la menace toujours plus grande pèse sur Barcelone. Sans parler de la guerre civile en Castille, qui permet aux Grenadins de progresser trop rapidement en cette région, laissant présager l'isolement du Leon et Portugal du reste de l'Europe par une bande d'occupation Grenadine.
1068Barcelone est perdue. S'en suit une dégringolade du front en Catalogne, les Almoravides progressant si rapidement qu'ils atteignent presque la frontière Franque. Ailleur en Ibérie, cette débandade chrétienne se fait moins ressentir, les autres nation maintenant leur front stable, du mieux qu'ils peuvent. Exode Catalan vers la Castille. Tous les comptoirs de la région de Barcelone sont fermés et la ville est pillée et détruite.
1069Carte de la situation, avec les récentes avancées Almoravides et la stabilité grenadine.
1070Dernière année certaine de guerre. La déclaration de faillite franque a des risques d'être annoncée incessament, empêchant ainsi l'armée de ce pays de continuer les combats en Ibérie, n'étant plus financés. Cependant, la guerre a continué cette année, et le front est stable. Au Portugal, les Grenadins avancent, mais Porto demeure assiégée. La Castille continue de reculer, modérément. Cependant, les Almoravides pousuivent leurs avancent, pénétrant même dans la région de Perpignan, non loin de Narbonne, en terres Franques.
1071La situation incertaine des francs fait flancher le front, plusieurs soldats non-payés ayant désertés. L'Aragon est presque entièrement occupée et les Almoravides traversent la frontière franques et assiègent Perpignan. Le Portugal ne peut plus tenir le front et est en peu de temps complètement occupé par les troupes grenadines. Le Leon tiens le coups, tandis que la Castille demeure occupée à moitiée. Les musulmans sont en train de triompher des chrétiens en Ibérie.
1072Dissolution de l'armée franque, ce qui crée une véritable débandade chrétienne sur le front. Le Portugal est occupé, le Leon est en difficulté, la Castille peu à peu partagée entre les Musulmans et les rebelles Asturiens. L'Aragon est totalement occupée par les Almoravide, qui ayant mis un pied en terres franques, ne voient plus rien capable de les arrêter, ayant même dépasser Narbonne, menaçant Toulouse. La situation est très inquiétante, non seulement pour l'Ibérie, mais le catholicisme en entier.
1073Capitulation du Portugal et du Leon. Suite à une entente avec les dirigeants grenadins, les frontières des occupations actuelles deviendront les frontières officielles entre ces états. Le Portugal est conséquemment complètement annexé. La Castille, divisée, n'existe plus, elle aussi, partagée entre les rebels et les Musulmans. L'avenir de l'Aragon n'est toujours pas scéller, la région étant toujours lieu de virulents combats, principalement en terres franques, où Toulouse est assiégée.
1074 Fin prématurée de la Reconquista. 27 ans de combats auront été pure perte pour les chrétiens. Les derniers territoires francs du sud conquis, les Almoravides et Grenadins, bien que victime de l'usure de tant d'année de guerre, sortent incontestable vaincqueur, ce qui laisse un gout amer dans la bouche des chrétiens. C'en est fini de cette simili-croisade, en Ibérie, les musulmans auront triomphé, du moins, jusqu'à présent.