1074Le tout nouveau royaume de France est dans de beaux draps, ayant enragé tous les comtés et duchés du nord des terres franques. Comme si la situation en terres Franques ne pourrait être plus instable. Des combats ont donc commencer entre la désorganisée armée françaises et les milices furieuses d'un peu partout. Pour l'instant, tellement la situation est instable, il est difficile d'en faire état. Chaque bourg ou presque vie une situation d'urgence.
1075La guerre prend un air de guerre civile. Ce ne sont pas l'armée des divers pays qui combattent, mais bien des miliciens paysans. Jusqu'à présent, la France est en difficultés aux frontières de Picardie, tandis que vers la Normandie, les régions rurale tombent rapidement en des mains Françaises. Le dernier roi des Francs a été guillotiné par des paysans à colère sur la place de Rouen. Pour l'instant, que des régions rurales sont touchées par cette guerre. L'on n'exclue pas que la France reprenne contrôle sur Paris dans peu de temps.
1076Paris est assiégée par divers groupes rebelles. Le nord de la France sombre pour de bon dans l'anarchie. Jusqu'aux divers villes, partout des factions différentes s'affrontent. L'armée Française elle-même fait face à divers difficultés causées par des affrontements internes. Mais, globalement, pour l'instant, personne ne semble prendre le dessu dans ce fouilli de guerre et de sang.
1077Paris n'est pas prise par les Français, qui reculent malgré eux dans les campagnes Normandes. Un appui timide des breton et le financement aux rebelles du Gotland joue contre la France. Les divers factions prônant chacun un avenir différent pour la grande région de France, divisée du tout au tout, s'affrontent constamment aux limites de fronts aussi variés que frivole. La France peut se satisfaire, elle n'a toujours pas perdu de territoire, mais au contraire, elle n'en a quand même gagné de petites parcelles.
1078Les combats se poursuivent pour une quatrième année dans le nord Franc. Les troupes françaises, face à un essouflement des milices rebelles, ripostent plus aisément aux attaques portées contre eux sur le front. Les français regagnent du terrain en Normandie, tandis qu'il est toujours aussi difficile pour eux de percer en Picardie. Paris est de nouveau assiégée. Les vassaux français voient leur risque de se rebeller contre leur suzerain, le royaume de France, en augmentation.
1079Voici une carte de la situation actuelle, alors que les combats demeurent violents et omniprésents, sans que le front ne s'en voie directement affecté.
1080La division de l'Anjou d'accentue. Les troupes françaises progressent bien en Anjou et en Normandie, occupant toujours plus de territoires. Toutefois, du côté de la Picardie, la situation est inverse. Les Français sont de nouveau chassés de Paris, et doivent ainsi reculer à la frontière française, face aux assauts constants et imperturbables des troupes picardes et flamandes. Une proposition de paix serait de mise, sinon cette guerre risque de devenir l'exemple parfait d'un enlisement à long terme.
1081Les Français ont refusé les conditions de leurs ennemis suite à la proposition de paix; les combats reprennent. Cette année sera marquée parce que aucun des camps n'aura gagné de territoires, mise à part quelques bourgs de petite taille. Le front est durement maintenu, et ni l'armée francaise, ni les milices normandes n'auront fait de concessions. En Picardie, cependant, après avoir chassé les Français de Paris, pénétrer la frontière Française est chose faites. Des villages français ont donc été victimes d'attaques, pour la première fois au cours de ce conflit.
1082Les batailles reprennent de l'intensité en Normandie. Les rebelles et miliciens réussissent à repousser généreusement les petits groupes de soldats français chargés d'occuper les territoires abandonnés de toute part, près de la ligne de front. La Picardie et la Flandre donnent des assauts en territoires Français, jusqu'au Nivernais et au Berry. La France perd peu à peu l'appuie de ses citoyens au cours de cette guerre qui s'éternise, et les pillages perpétrés par l'armée ennemie n'aident pas beaucoup non plus.
1083Après avoir subit les pillages Picards et Flamands, les Français ont réussi à repousser hors-frontière la Picardie et la Flandre. Pour pouvoir agir ainsi, il a fallu négliger le front en Normandie, qui s'est rapidement déteriorié, tombant facilement aux mains d'armées ennemies, de rebelles, de mercenaires ou de miliciens. L'an prochain, une décennie se sera écoulée depuis le début de cette guerre anarchique, ou le nombre de bélligérants et de combats dépassent les capacités de tous. Le Nord Franc (Surtout le sud de la Normandie) est détruit et tâché de la couleur rouge du sang.
1084Le front est stable. En Picardie, les français ne réussissent pas à repousser plus loin leurs adversaires, tandis que la Normandie demeure en situation d'anarchie incontrôlée. La guerre est débutée depuis une décennie, et n'a jusqu'à présent donné aucun résultat concret pour quiquonque, excepté peut-être la Flandre, qui a pu étendre son influence dans le nord francs.
1085Grâce à de récentes rentrées d'argent, les rebelles de Normandie, les Flamands et les Picards ont embauché de nombreux mercenaires du sud Francs pour combattre à leurs côtés. La situation s'en fait déja ressentir, et, bien que la Picardie ait du mal a pénétrer de nouveau les limites francaises, en Normandie, les Français ont du mal à maintenir leurs positions, étant même chassés pour la plupart en Anjou.
1086Alors que les combats continuent, voici la carte de la situation.
1087Les troupes Françaises doivent reculer jusqu'à leur propre frontière, ayant de la difficulté à maintenir un front avec les rebelles, nouvellement armés et attaquant sans la moindre relâche. Les Français subissent la même difficulté en Ajou, ou l'issu de la guerre tourne peu à peu en faveur des rebelles. La France pourra encore difficilement continuer cette guerre sans support militaire concret dans les années à venir.
1088Les Français commencent à perdre du territoire au profit des envahisseurs, progressants de part le nord à une vitesse abracadabrante. Le front tenu par les troupes françaises s'est effondré face à l'assaut des mercenaires et milices lancé au cours des dernières années. Les troupes rebelles, financées par le Gotland, sont en bon état de combattre, tout le contraire de l'armée française, qui éprouve de plus en plus de difficultés.
1089Quinzième année de guerre, marquée par la disparition de la dernière zone ennemie occupée par les troupes française. Non loin de la frontière de la France subsiste un front, massivement constitué de milices et de rebelles, qui continuent sans grands résultats leurs attaques massive. Paris est toujours hors de la portée des Français, et la France devrait s'inquiétée de l'état de la situation actuelle.
1090 Le front cède, et les milices rebelles pénètrent sans opposition le nord français, longeant la frontière ouest jusqu'en Auvergne. Du côté de la frontière bourguigonne, les avancées sont plus modestes, mais une chause ressort du lot, c'est que la défaite française devient envisageable. Le roi des Français n'a plus l'appui populaire, la population française aidant les miliciens à certains endroits.
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